Faisant allusion aux récentes émeutes ayant éclaté dans plusieurs localités de la capitale, où des citoyens ont violemment exprimé leur mécontentement, se disant exclus des programmes de relogement, Noureddine Moussa n'a pas caché son étonnement tout en appelant les citoyens à la retenue. Faisant allusion aux récentes émeutes ayant éclaté dans plusieurs localités de la capitale, où des citoyens ont violemment exprimé leur mécontentement, se disant exclus des programmes de relogement, Noureddine Moussa n'a pas caché son étonnement tout en appelant les citoyens à la retenue. Le ministre de l'Habitat et de l'Urbanisme a qualifié «d'inconcevable et pas possible» que des citoyens affichent leur mécontentement «au moment où l'Etat annonce des réalisations et des chantiers de logements à grande échelle», hier sur les ondes de la Chaîne III. Faisant bien entendu allusion aux récentes émeutes ayant éclaté dans plusieurs localités de la capitale, où des citoyens ont violemment exprimé leur mécontentement, se disant exclus des programmes de relogement, Noureddine Moussa n'a pas caché son étonnement tout en appelant les citoyens à la retenue. «Les programmes de relogement ne s'arrêteront pas après 2010 (…) l'Etat continuera à construire des logements et tous les citoyens éligibles seront relogés, il faut juste patienter et faire confiance à l'Etat», a-t-il rassuré, rappelons que 1.045.000 logements ont été réceptionnés entre 2004-2009, et 550.000 autres sont en chantier. Concernant le programme de Relogement de l'habitat précaire (RHP), le premier responsable du secteur a nettement tranché sur cette question, en précisant «qu'aucune demande ne sera adjointe à la liste des bénéficiaires de relogement au titre du RHP». Cette liste établie au premier semestre 2007, a fixé à 45. 000 cas les bénéficiaires de ces relogements dans la wilaya d'Alger. Noureddine Moussa a, dans ce sens, mis en garde contre la falsification de documents et les tricheries pour l'obtention d'un logement. «Nous travaillons avec un fichier national, et nous traduirons en justice tous les tricheurs», a-t-il martelé, affirmant de là même que les OPGI ont été instruites pour user de leurs prérogatives et poursuivre en justice tous ceux qui ont triché. Le ministre n'a de cesse de rappeler que les logements attribués par l'Etat «appartiennent à la collectivité et doivent être sauvegardés», car les bénéficiaires «ne sont que des locataires». Par ailleurs, le ministre de l'Habitat et du Logement a mis l'accent sur la nécessité d'impliquer les entreprises nationales dans la réalisation du programme quinquennal de 2 millions d'unités, dont 1,2 million seront livrés à l'horizon 2014. «Je n'ai aucun doute quant à notre capacité de réaliser ce programme (…) nous ambitionnons de faire le maximum de ce programme par les moyens nationaux», a-t-il souhaité, tout en exigeant des différents intervenants dans l'acte de bâtir à faire de la qualité des ouvrages « une démarche » et pas seulement «un slogan». D'ailleurs, il est exigé désormais des bureaux d'études et autres entrepreneurs de présenter un plan de qualité avant l'amorce des travaux, de même que le respect des délais de réalisation, portés à 24 et 26 mois. Le ministre de l'Habitat et de l'Urbanisme a qualifié «d'inconcevable et pas possible» que des citoyens affichent leur mécontentement «au moment où l'Etat annonce des réalisations et des chantiers de logements à grande échelle», hier sur les ondes de la Chaîne III. Faisant bien entendu allusion aux récentes émeutes ayant éclaté dans plusieurs localités de la capitale, où des citoyens ont violemment exprimé leur mécontentement, se disant exclus des programmes de relogement, Noureddine Moussa n'a pas caché son étonnement tout en appelant les citoyens à la retenue. «Les programmes de relogement ne s'arrêteront pas après 2010 (…) l'Etat continuera à construire des logements et tous les citoyens éligibles seront relogés, il faut juste patienter et faire confiance à l'Etat», a-t-il rassuré, rappelons que 1.045.000 logements ont été réceptionnés entre 2004-2009, et 550.000 autres sont en chantier. Concernant le programme de Relogement de l'habitat précaire (RHP), le premier responsable du secteur a nettement tranché sur cette question, en précisant «qu'aucune demande ne sera adjointe à la liste des bénéficiaires de relogement au titre du RHP». Cette liste établie au premier semestre 2007, a fixé à 45. 000 cas les bénéficiaires de ces relogements dans la wilaya d'Alger. Noureddine Moussa a, dans ce sens, mis en garde contre la falsification de documents et les tricheries pour l'obtention d'un logement. «Nous travaillons avec un fichier national, et nous traduirons en justice tous les tricheurs», a-t-il martelé, affirmant de là même que les OPGI ont été instruites pour user de leurs prérogatives et poursuivre en justice tous ceux qui ont triché. Le ministre n'a de cesse de rappeler que les logements attribués par l'Etat «appartiennent à la collectivité et doivent être sauvegardés», car les bénéficiaires «ne sont que des locataires». Par ailleurs, le ministre de l'Habitat et du Logement a mis l'accent sur la nécessité d'impliquer les entreprises nationales dans la réalisation du programme quinquennal de 2 millions d'unités, dont 1,2 million seront livrés à l'horizon 2014. «Je n'ai aucun doute quant à notre capacité de réaliser ce programme (…) nous ambitionnons de faire le maximum de ce programme par les moyens nationaux», a-t-il souhaité, tout en exigeant des différents intervenants dans l'acte de bâtir à faire de la qualité des ouvrages « une démarche » et pas seulement «un slogan». D'ailleurs, il est exigé désormais des bureaux d'études et autres entrepreneurs de présenter un plan de qualité avant l'amorce des travaux, de même que le respect des délais de réalisation, portés à 24 et 26 mois.