Aucune revendication n'a encore été faite par les ravisseurs du vraquier «MV Blida», qui a fait, samedi dernier, l'objet d'un acte de piraterie en haute mer dans le Golfe d'Aden. Selon les informations recueillies, hier, auprès de la cellule de crise installée par le ministère des Affaires étrangères, «les ravisseurs ne se sont pas encore manifestés et n'ont émis aucune revendication pour le moment». Le personnel de la cellule qui est fonctionnelle de jour comme de nuit, a-t-on, indiqué, se veut rassurant à ce stade. «Nous rassurons du mieux que possible les familles des marins en leur expliquant les mesures prises par le gouvernement», a-t-on affirmé. L'Algérie, a-t-on ajouté, a pris des mesures d'urgence en vue de trouver une issue à cette situation. L'appareil diplomatique, à savoir consulats et ambassades algériens, dans la région du Golfe d'Aden, selon notre interlocuteur, ont été mobilisé à ce propos. Le pays a également pris contact avec plusieurs institutions onusiennes, pays amis et proches, dans la région, a-t-on indiqué, pour obtenir toutes les informations pouvant permettre de localiser le bateau en question mais aussi de «sauver la vie des marins pris en otages». En l'absence de tout contact avec les pirates somaliens, seuls ravisseurs pointés du doigt, les doutes persistent et la situation devient ainsi un peu plus inquiétante jour après jour. De son côté, l'armateur IBC (International Bulk Carriers), une filiale de CNAN Group, s'est dit être toujours sans nouvelle du sort du vraquier MV BLIDA. «Nous sommes sans nouvelle du vraquier et de son équipage», a indiqué une source d'IBC, qui a reçu, au courant de la journée d'hier, les proches et familles des 17 Algériens membres de l'équipage du navire. Les familles, quant à elles, restent inquiètent quant au sort de leurs proches en otage, alors qu'aucune information n'est disponible à leur sujet. Le navire, qui est la propriété de la Compagnie nationale algérienne de navigation (CNAN), a été affrété pour le compte du groupe jordanien CTI et transportait une cargaison de céréales. Il a été détourné, samedi dernier, à 150 miles nautiques au sud-est du port de Salalah (Oman) alors qu'il se dirigeait vers le port de Mombasa au Kenya. A son bord, 17 personnes de nationalité algérienne. Le capitaine du navire ainsi que 5 membres d'équipage sont de nationalité ukrainienne. Les 4 autres membres sont de nationalité philippine (2), jordanienne (1) et indonésienne (1), selon un communiqué émis par le ministère des Affaires étrangères. Aucune revendication n'a encore été faite par les ravisseurs du vraquier «MV Blida», qui a fait, samedi dernier, l'objet d'un acte de piraterie en haute mer dans le Golfe d'Aden. Selon les informations recueillies, hier, auprès de la cellule de crise installée par le ministère des Affaires étrangères, «les ravisseurs ne se sont pas encore manifestés et n'ont émis aucune revendication pour le moment». Le personnel de la cellule qui est fonctionnelle de jour comme de nuit, a-t-on, indiqué, se veut rassurant à ce stade. «Nous rassurons du mieux que possible les familles des marins en leur expliquant les mesures prises par le gouvernement», a-t-on affirmé. L'Algérie, a-t-on ajouté, a pris des mesures d'urgence en vue de trouver une issue à cette situation. L'appareil diplomatique, à savoir consulats et ambassades algériens, dans la région du Golfe d'Aden, selon notre interlocuteur, ont été mobilisé à ce propos. Le pays a également pris contact avec plusieurs institutions onusiennes, pays amis et proches, dans la région, a-t-on indiqué, pour obtenir toutes les informations pouvant permettre de localiser le bateau en question mais aussi de «sauver la vie des marins pris en otages». En l'absence de tout contact avec les pirates somaliens, seuls ravisseurs pointés du doigt, les doutes persistent et la situation devient ainsi un peu plus inquiétante jour après jour. De son côté, l'armateur IBC (International Bulk Carriers), une filiale de CNAN Group, s'est dit être toujours sans nouvelle du sort du vraquier MV BLIDA. «Nous sommes sans nouvelle du vraquier et de son équipage», a indiqué une source d'IBC, qui a reçu, au courant de la journée d'hier, les proches et familles des 17 Algériens membres de l'équipage du navire. Les familles, quant à elles, restent inquiètent quant au sort de leurs proches en otage, alors qu'aucune information n'est disponible à leur sujet. Le navire, qui est la propriété de la Compagnie nationale algérienne de navigation (CNAN), a été affrété pour le compte du groupe jordanien CTI et transportait une cargaison de céréales. Il a été détourné, samedi dernier, à 150 miles nautiques au sud-est du port de Salalah (Oman) alors qu'il se dirigeait vers le port de Mombasa au Kenya. A son bord, 17 personnes de nationalité algérienne. Le capitaine du navire ainsi que 5 membres d'équipage sont de nationalité ukrainienne. Les 4 autres membres sont de nationalité philippine (2), jordanienne (1) et indonésienne (1), selon un communiqué émis par le ministère des Affaires étrangères.