La filère avicole a besoin de plus de dynamisme et de régulation pour répondre aux besoins du marché, et par voie de conséquence, à la demande constante des consommateurs dont le souhait se résume à la baisse des prix de la viande blanche. Ainsi, le minsitre de l'Agriculture et du Développement rural, Rachid Benaïssa, a reçu, hier, les représentants du Comité national interprofessionnel de la filière avicole afin de chercher les moyens et les voies du renforcement du dialogue et de la concertation avec les acteurs de la filière avicole. Cette rencontre a permis, notamment, selon un communiqué parvenu à notre rédaction, "de passer en revue la situation de la filière, d'évaluer la dynamique enclenchée et la mise en œuvre des mesures de modernisation et de régulation prises dans le cadre du Renouveau agricole et d'étudier les propositions avancées par les professionnels de cette filière". L'important dans le développement de la filière avicole réside dans l'encouragement des éleveurs et la prise en charge de leurs préoccupations pour mieux cerner la problématique de la hausse des prix du poulet et la disponibilté de la viande blanche à des prix raisonnables. Le communiqué ajoute que "lors de cette rencontre, Benaïssa a exprimé la disponibilité des pouvoirs publics à accompagner les professionnels de la filière en vue d'améliorer leur organisation d'une manière durable la production de viandes blanches et répondre ainsi aux besoins croissants de la population". Il a également décidé " le biais des abattoirs publics et privés, de la surproduction de volaille, au prix de référence 150 DA hors taxe le kilogramme, et constituer ainsi un stock de régulation" tout en précisant que "le Syrpalac vise à éponger les surplus de production et à mettre sur le marché des quantités stockées à des périodes de forte demande, protégeant ainsi les revenus des agriculteurs et le pouvoir d'achat des consommateurs".Pour la mise en œuvre de ce système de régulation, le ministre a insisté sur "la nécessité de mettre en place des partenariats entre les abattoirs publics et privés et les aviculteurs avec la possibilité d'élargir le crédit R'fig à la filière avicole".Mais, les participants à cette rencontre ont aussi mis l'accent sur la nécessité d'une meilleure organisation de l'approvisionnement en intrants (maïs et soja) afin d'éviter la spéculation sur l'aliment de bétail. Ainsi, le ministre a réaffirmé la volonté et la disponibilité des pouvoirs publics à étudier, méthodiquement, les voies et moyens pour améliorer le marché et l'approvisionnement des aviculteurs en aliments ainsi que les capacités de stockage. Cette stratégie vise notamment à prévenir un éventuel dysfonctionnement du marché et son corrolaire l'augmentation des prix des viandes blanches, mais égalemnt à assurer la sécurité alimentaire, l'une des priorités de Benaïssa et du chef de l'Etat, comme le stipule la politique nationale agricole se basant sur la production massive et dégager un excédent pour l'exportation. La filère avicole a besoin de plus de dynamisme et de régulation pour répondre aux besoins du marché, et par voie de conséquence, à la demande constante des consommateurs dont le souhait se résume à la baisse des prix de la viande blanche. Ainsi, le minsitre de l'Agriculture et du Développement rural, Rachid Benaïssa, a reçu, hier, les représentants du Comité national interprofessionnel de la filière avicole afin de chercher les moyens et les voies du renforcement du dialogue et de la concertation avec les acteurs de la filière avicole. Cette rencontre a permis, notamment, selon un communiqué parvenu à notre rédaction, "de passer en revue la situation de la filière, d'évaluer la dynamique enclenchée et la mise en œuvre des mesures de modernisation et de régulation prises dans le cadre du Renouveau agricole et d'étudier les propositions avancées par les professionnels de cette filière". L'important dans le développement de la filière avicole réside dans l'encouragement des éleveurs et la prise en charge de leurs préoccupations pour mieux cerner la problématique de la hausse des prix du poulet et la disponibilté de la viande blanche à des prix raisonnables. Le communiqué ajoute que "lors de cette rencontre, Benaïssa a exprimé la disponibilité des pouvoirs publics à accompagner les professionnels de la filière en vue d'améliorer leur organisation d'une manière durable la production de viandes blanches et répondre ainsi aux besoins croissants de la population". Il a également décidé " le biais des abattoirs publics et privés, de la surproduction de volaille, au prix de référence 150 DA hors taxe le kilogramme, et constituer ainsi un stock de régulation" tout en précisant que "le Syrpalac vise à éponger les surplus de production et à mettre sur le marché des quantités stockées à des périodes de forte demande, protégeant ainsi les revenus des agriculteurs et le pouvoir d'achat des consommateurs".Pour la mise en œuvre de ce système de régulation, le ministre a insisté sur "la nécessité de mettre en place des partenariats entre les abattoirs publics et privés et les aviculteurs avec la possibilité d'élargir le crédit R'fig à la filière avicole".Mais, les participants à cette rencontre ont aussi mis l'accent sur la nécessité d'une meilleure organisation de l'approvisionnement en intrants (maïs et soja) afin d'éviter la spéculation sur l'aliment de bétail. Ainsi, le ministre a réaffirmé la volonté et la disponibilité des pouvoirs publics à étudier, méthodiquement, les voies et moyens pour améliorer le marché et l'approvisionnement des aviculteurs en aliments ainsi que les capacités de stockage. Cette stratégie vise notamment à prévenir un éventuel dysfonctionnement du marché et son corrolaire l'augmentation des prix des viandes blanches, mais égalemnt à assurer la sécurité alimentaire, l'une des priorités de Benaïssa et du chef de l'Etat, comme le stipule la politique nationale agricole se basant sur la production massive et dégager un excédent pour l'exportation.