L'Union de wilaya de Tizi-Ouzou de la Coordination des collectivités locales (dépendant de l'Union générale des travailleurs algériens-UGTA) exige, des pouvoirs publics, que le statut particulier et le régime indemnitaire des travailleurs du secteur soient promulgués et mis en œuvre. Le bureau du syndicat sus-cité s'est réuni le 1er mars dernier en conseil extraordinaire en présence des cadres syndicaux du bureau de coordination des collectivités locales. À l'issue de cette rencontre, le syndicat en question a dénoncé "la politique monsengère initiée depuis déjà longtemps par les pouvoirs publics avec la complicité active de la Fédération nationale des collectivités locales contre la parent pauvre de la Fonction publique qui n'est autre que le travailleur collunal". "Si le salaire dans sa définition doit répondre à ce qui est nécessaire pour vivre et satisfaire les besoins légitimes des ménages, la rémunération allouée impose aux fonctionnaires de jongler avec le minimum vital et de vivoter en se privant de tout", souligne la Coordination des collectivités locales dans une déclaration rendue publique hier. Et d'ajouter : "L'espoir de voir le statut et le régime indemnitaire promulgués, pour atténuer un tant soit peu la fracture sociale, s'amenuise de jour en jour et inquiète sérieusement les travailleurs du secteur, victimes d'une «hogra» flagrante en raison de la mise des même statuts et régimes indemnitaires sous une température de congélation extrême au niveau de la DGFP". Pour l'union de wilaya de la Coordination des collectivités locales, "il est plus qu'une certitude mais une conviction que cette atteinte aux droits des garants du service public local, découle de manière délibérée d'agissements d'une bande d'incompétants et de je-m'en-foutistes atteints de paresse mentale". Les syndicalistes interpellent qui de droit sur la situation d'indigence dans laquelle sont plongés les travailleurs et exigent dans l'immédiat à ce que l'article 87 bis de la loi 90-11 soit aboli, la révision de la situation de tous les contractuels et enfin, la suppression des vacations de cinq heures. Lounès Bougaci L'Union de wilaya de Tizi-Ouzou de la Coordination des collectivités locales (dépendant de l'Union générale des travailleurs algériens-UGTA) exige, des pouvoirs publics, que le statut particulier et le régime indemnitaire des travailleurs du secteur soient promulgués et mis en œuvre. Le bureau du syndicat sus-cité s'est réuni le 1er mars dernier en conseil extraordinaire en présence des cadres syndicaux du bureau de coordination des collectivités locales. À l'issue de cette rencontre, le syndicat en question a dénoncé "la politique monsengère initiée depuis déjà longtemps par les pouvoirs publics avec la complicité active de la Fédération nationale des collectivités locales contre la parent pauvre de la Fonction publique qui n'est autre que le travailleur collunal". "Si le salaire dans sa définition doit répondre à ce qui est nécessaire pour vivre et satisfaire les besoins légitimes des ménages, la rémunération allouée impose aux fonctionnaires de jongler avec le minimum vital et de vivoter en se privant de tout", souligne la Coordination des collectivités locales dans une déclaration rendue publique hier. Et d'ajouter : "L'espoir de voir le statut et le régime indemnitaire promulgués, pour atténuer un tant soit peu la fracture sociale, s'amenuise de jour en jour et inquiète sérieusement les travailleurs du secteur, victimes d'une «hogra» flagrante en raison de la mise des même statuts et régimes indemnitaires sous une température de congélation extrême au niveau de la DGFP". Pour l'union de wilaya de la Coordination des collectivités locales, "il est plus qu'une certitude mais une conviction que cette atteinte aux droits des garants du service public local, découle de manière délibérée d'agissements d'une bande d'incompétants et de je-m'en-foutistes atteints de paresse mentale". Les syndicalistes interpellent qui de droit sur la situation d'indigence dans laquelle sont plongés les travailleurs et exigent dans l'immédiat à ce que l'article 87 bis de la loi 90-11 soit aboli, la révision de la situation de tous les contractuels et enfin, la suppression des vacations de cinq heures. Lounès Bougaci