L'ex-rébellion ivoirienne alliée à Alassane Ouattara, reconnu président par la communauté internationale, a démenti samedi soir avoir perdu le contrôle d'une localité de l'ouest du pays, comme l'avaient affirmé plus tôt les forces armées fidèles au président sortant Laurent Gbagbo. Dans un communiqué lu à la télévision d'Etat, les Forces de défense et de sécurité (FDS) loyales à M. Gbagbo avaient affirmé avoir repris dans la nuit de vendredi à samedi aux ex-rebelles des Forces nouvelles (FN) la localité de Doké, conquise par les FN le 13 mars. Mais les FN, qui depuis fin février ont pris quatre localités aux FDS, dont l'importante ville de Toulépleu, ont démenti avoir perdu Doké. ''Nous sommes bel et bien présents à Doké, il n'y a pas eu de combats'', a affirmé à la presse Laciné Mara, responsable de la communication des FN pour la zone de Man, grande ville de l'ouest. Des responsables FN contactés auparavant par un correspondant de presse n'avaient alors ni confirmé ni infirmé l'affirmation du camp Gbagbo. L'ex-rébellion ivoirienne alliée à Alassane Ouattara, reconnu président par la communauté internationale, a démenti samedi soir avoir perdu le contrôle d'une localité de l'ouest du pays, comme l'avaient affirmé plus tôt les forces armées fidèles au président sortant Laurent Gbagbo. Dans un communiqué lu à la télévision d'Etat, les Forces de défense et de sécurité (FDS) loyales à M. Gbagbo avaient affirmé avoir repris dans la nuit de vendredi à samedi aux ex-rebelles des Forces nouvelles (FN) la localité de Doké, conquise par les FN le 13 mars. Mais les FN, qui depuis fin février ont pris quatre localités aux FDS, dont l'importante ville de Toulépleu, ont démenti avoir perdu Doké. ''Nous sommes bel et bien présents à Doké, il n'y a pas eu de combats'', a affirmé à la presse Laciné Mara, responsable de la communication des FN pour la zone de Man, grande ville de l'ouest. Des responsables FN contactés auparavant par un correspondant de presse n'avaient alors ni confirmé ni infirmé l'affirmation du camp Gbagbo.