La wilaya de Médéa est à l'abri du phénomène de la drogue, comparativement aux autres wilayas notamment celles frontalières. Toutefois, la consommation de cette substance connaît une montée en puissance, par rapport aux années précédentes. La wilaya de Médéa est à l'abri du phénomène de la drogue, comparativement aux autres wilayas notamment celles frontalières. Toutefois, la consommation de cette substance connaît une montée en puissance, par rapport aux années précédentes. C'est ce qu'a déclaré, hier à Médéa, le lieutenant-colonel Bouziane Koreiche, commandant du groupement de la Gendarmerie nationale de ladite wilaya, exposant le bilan des activités de ses «troupes» pour l'année 2010. Concernant cette lutte, les gendarmes de Médéa ont récupéré, outre des quantités de kif traité, pas moins de 1.156 comprimés hallucinogènes l'année écoulée, alors qu'en 2009, 38 comprimés psychotropes ont été saisis. Le nombre d'affaires traitées a diminué, passant de 39 à 37, contrairement à celui des arrestations qui a enregistré une hausse de 8 personnes. La hausse fulgurante dans le nombre des psychotropes saisis est, selon M. Koreiche, due à l'omniprésence de ses éléments, avec un taux de couverture sécuritaire de près de 86%. Il a, en outre, noté que ses services ont mis la main sur deux gros lots. L'un agissant sur renseignements et l'autre suite à une patrouille de contrôle effectuée l'année dernière. M. Koreiche a, dans ce contexte, indiqué que cette substance provenait essentiellement de la wilaya de Blida. Dans la wilaya du Titteri, le nombre d'affaires relatives au crime ordinaire est de 1.089, alors qu'il était en 2009 de 1.402, soit une baisse de 313 délits et crimes. 1.348 arrestations dont 29 femmes ont été enregistrés par les gendarmes contre 1.711 en 2009. 30 associations de malfaiteurs, dont 3 spécialisées dans le crime organisé, ont été mises hors d'état de nuire. 144 malfaiteurs ont été interpellés dont 98 écroués. 5 ressortissants syriens, un tunisien et un autre de nationalité palestinienne ont été interpellés pour «séjour illégal». Par ailleurs, 2.022 personnes recherchées ont été arrêtées et présentées devant la justice, dont 75 écrouées. La police économique, relevant de la Gendarmerie nationale a, quant à elle, arrêté 427 individus. Une hausse de 14% a été enregistrée particulièrement en ce qui concerne la lutte contre le commerce illicite. Sur ce dernier point, il convient de noter que la somme des produits saisis est supérieure à 8 milliards de centimes. Concernant l'identification par le système automatique des empreintes digitales AFIS, 1.170 individus ont été identifiés, soit une moyenne de 3 personnes par jour. En termes de sécurité routière, le taux des accidents de la circulation a considérablement diminué avec moins de 137 accidents. Le nombre des points noirs a également baissé, passant de 77 en 2009 à 28 l'année passée. Dans ce sens, M. Koreiche a tenu à saluer les efforts consentis par l'Escadron de la sécurité routière (ESR) de son groupement. Notons enfin que l'activité criminelle à Médéa ne dépasse pas les disputes, généralement entre membres d'une même famille à cause de litiges sur les biens immobiliers, ou alors les vols. C'est dire que la wilaya, qui a payé un lourd tribut au terrorisme, semble être en mesure d'acueillir les investisseurs dans ces terres fertiles. C'est ce qu'a déclaré, hier à Médéa, le lieutenant-colonel Bouziane Koreiche, commandant du groupement de la Gendarmerie nationale de ladite wilaya, exposant le bilan des activités de ses «troupes» pour l'année 2010. Concernant cette lutte, les gendarmes de Médéa ont récupéré, outre des quantités de kif traité, pas moins de 1.156 comprimés hallucinogènes l'année écoulée, alors qu'en 2009, 38 comprimés psychotropes ont été saisis. Le nombre d'affaires traitées a diminué, passant de 39 à 37, contrairement à celui des arrestations qui a enregistré une hausse de 8 personnes. La hausse fulgurante dans le nombre des psychotropes saisis est, selon M. Koreiche, due à l'omniprésence de ses éléments, avec un taux de couverture sécuritaire de près de 86%. Il a, en outre, noté que ses services ont mis la main sur deux gros lots. L'un agissant sur renseignements et l'autre suite à une patrouille de contrôle effectuée l'année dernière. M. Koreiche a, dans ce contexte, indiqué que cette substance provenait essentiellement de la wilaya de Blida. Dans la wilaya du Titteri, le nombre d'affaires relatives au crime ordinaire est de 1.089, alors qu'il était en 2009 de 1.402, soit une baisse de 313 délits et crimes. 1.348 arrestations dont 29 femmes ont été enregistrés par les gendarmes contre 1.711 en 2009. 30 associations de malfaiteurs, dont 3 spécialisées dans le crime organisé, ont été mises hors d'état de nuire. 144 malfaiteurs ont été interpellés dont 98 écroués. 5 ressortissants syriens, un tunisien et un autre de nationalité palestinienne ont été interpellés pour «séjour illégal». Par ailleurs, 2.022 personnes recherchées ont été arrêtées et présentées devant la justice, dont 75 écrouées. La police économique, relevant de la Gendarmerie nationale a, quant à elle, arrêté 427 individus. Une hausse de 14% a été enregistrée particulièrement en ce qui concerne la lutte contre le commerce illicite. Sur ce dernier point, il convient de noter que la somme des produits saisis est supérieure à 8 milliards de centimes. Concernant l'identification par le système automatique des empreintes digitales AFIS, 1.170 individus ont été identifiés, soit une moyenne de 3 personnes par jour. En termes de sécurité routière, le taux des accidents de la circulation a considérablement diminué avec moins de 137 accidents. Le nombre des points noirs a également baissé, passant de 77 en 2009 à 28 l'année passée. Dans ce sens, M. Koreiche a tenu à saluer les efforts consentis par l'Escadron de la sécurité routière (ESR) de son groupement. Notons enfin que l'activité criminelle à Médéa ne dépasse pas les disputes, généralement entre membres d'une même famille à cause de litiges sur les biens immobiliers, ou alors les vols. C'est dire que la wilaya, qui a payé un lourd tribut au terrorisme, semble être en mesure d'acueillir les investisseurs dans ces terres fertiles.