Les Groupes de légitime défense (GLD) et les patriotes reviennent à la charge et envisagent d'organiser une marche le 10 mai courant à destination du Palais du gouvernement dans la capitale. Dans une déclaration rendue publique, ces deux corps de sécurité désapprouvent les propos du ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, qui a expliqué que les indemnisations financières bénéficieront seulement aux personnes invalides des patriotes et des éléments des GLD. « Nous revendiquons les mêmes droits pour l'ensemble des patriotes et éléments des GLD et non pas une partie d'entre eux (…) nous allons nous diriger, le 10 mai, vers le siège du Premier ministère après avoir constaté que nous avons été omis lors du dernier Conseil des ministres », lit-on dans ladite déclaration élaborée par la Commission nationale de défense des Groupes de légitime défense et patriotes. Tout en rappelant les promesses non tenues par le président de l'Assemblée populaire nationale, celui du Conseil de la Nation et celui de la Commission de la défense l'APN, la Commission regrette « la lenteur mise par les décideurs dans le règlement de notre dossier, depuis 16 ans, (et) que nous n'existons pas dans les dispositifs de la réconciliation nationale, malgré les nombreuses contestations organisées à travers les wilayas, et, récemment, à la place des Martyrs ». Et de rappeler les principales revendications des patriotes et des GLD qui s'articulent autour de leur réhabilitation, l'indemnisation financière pour 16 ans passés au service du pays, la prise en compte de ces années dans la Caisse de retraite, la réinsertion aux postes d'emploi qu'ils occupaient auparavant, ou leur transfert à l'intérieur ou dans l'armée en plus d'une pension permanente fixée par l'Etat. Pour rappel, les patriotes et les Groupes de légitime défense ont « campé » plusieurs jours à la Place des Martyrs dans la capitale avant d'être chassés des lieux par les services de sécurité. Les Groupes de légitime défense (GLD) et les patriotes reviennent à la charge et envisagent d'organiser une marche le 10 mai courant à destination du Palais du gouvernement dans la capitale. Dans une déclaration rendue publique, ces deux corps de sécurité désapprouvent les propos du ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, qui a expliqué que les indemnisations financières bénéficieront seulement aux personnes invalides des patriotes et des éléments des GLD. « Nous revendiquons les mêmes droits pour l'ensemble des patriotes et éléments des GLD et non pas une partie d'entre eux (…) nous allons nous diriger, le 10 mai, vers le siège du Premier ministère après avoir constaté que nous avons été omis lors du dernier Conseil des ministres », lit-on dans ladite déclaration élaborée par la Commission nationale de défense des Groupes de légitime défense et patriotes. Tout en rappelant les promesses non tenues par le président de l'Assemblée populaire nationale, celui du Conseil de la Nation et celui de la Commission de la défense l'APN, la Commission regrette « la lenteur mise par les décideurs dans le règlement de notre dossier, depuis 16 ans, (et) que nous n'existons pas dans les dispositifs de la réconciliation nationale, malgré les nombreuses contestations organisées à travers les wilayas, et, récemment, à la place des Martyrs ». Et de rappeler les principales revendications des patriotes et des GLD qui s'articulent autour de leur réhabilitation, l'indemnisation financière pour 16 ans passés au service du pays, la prise en compte de ces années dans la Caisse de retraite, la réinsertion aux postes d'emploi qu'ils occupaient auparavant, ou leur transfert à l'intérieur ou dans l'armée en plus d'une pension permanente fixée par l'Etat. Pour rappel, les patriotes et les Groupes de légitime défense ont « campé » plusieurs jours à la Place des Martyrs dans la capitale avant d'être chassés des lieux par les services de sécurité.