Le ministre de l'Intérieur libanais, Marwan Charbel, a confirmé, vendredi 1er juillet, les noms de quatre suspects du Hezbollah cités dans les mandats d'arrêt émis par le tribunal de l'ONU enquêtant sur l'assassinat en 2005 de l'ex-Premier ministre Rafic Hariri. M. Charbel a indiqué que le procureur du Tribunal spécial pour le Liban lui avait donné les mandats vendredi matin et a confirmé les identités de quatre suspects comme étant Moustafa Badreddine, Salim Ayyash, Assad Sabra et Hussein Anaissi. Moustafa Badreddine est le beau-frère d'Imad Moughineh, un des dirigeants du Hezbollah tué en 2008 dans une voiture piégée à Damas. Il est soupçonné d'être le cerveau de l'attentat dans lequel Rafic Hariri avait été tué le 14 février 2005. Salim Ayyash, également un haut responsable du parti qui détient la nationalité américaine, est soupçonné d'avoir mené l'attaque. Assad Sabra et Hussein Anaissi sont soupçonnés d'avoir collaboré avec Ahmad Abou Adas, un Palestinien qui avait contacté la télévision Al-Jazira après l'assassinat pour le revendiquer. Le tribunal de l'ONU enquêtant sur l'assassinat en 2005 du dirigeant Rafic Hariri a remis jeudi un acte d'accusation sous scellés et quatre mandats d'arrêt au procureur général à Beyrouth, Said Mirza. Le ministre de l'Intérieur libanais, Marwan Charbel, a confirmé, vendredi 1er juillet, les noms de quatre suspects du Hezbollah cités dans les mandats d'arrêt émis par le tribunal de l'ONU enquêtant sur l'assassinat en 2005 de l'ex-Premier ministre Rafic Hariri. M. Charbel a indiqué que le procureur du Tribunal spécial pour le Liban lui avait donné les mandats vendredi matin et a confirmé les identités de quatre suspects comme étant Moustafa Badreddine, Salim Ayyash, Assad Sabra et Hussein Anaissi. Moustafa Badreddine est le beau-frère d'Imad Moughineh, un des dirigeants du Hezbollah tué en 2008 dans une voiture piégée à Damas. Il est soupçonné d'être le cerveau de l'attentat dans lequel Rafic Hariri avait été tué le 14 février 2005. Salim Ayyash, également un haut responsable du parti qui détient la nationalité américaine, est soupçonné d'avoir mené l'attaque. Assad Sabra et Hussein Anaissi sont soupçonnés d'avoir collaboré avec Ahmad Abou Adas, un Palestinien qui avait contacté la télévision Al-Jazira après l'assassinat pour le revendiquer. Le tribunal de l'ONU enquêtant sur l'assassinat en 2005 du dirigeant Rafic Hariri a remis jeudi un acte d'accusation sous scellés et quatre mandats d'arrêt au procureur général à Beyrouth, Said Mirza.