Les Etats-Unis ont accusé mardi le gouvernement iranien d'être impliqué dans un projet d'assassinat de l'ambassadeur saoudien à Washington, accentuant les tensions avec Téhéran qui dément en bloc. Regain de tension entre les Etats-Unis et l'Iran. Les autorités américaines accusent deux Iraniens, dont l'un est naturalisé américain, d'avoir fomenté des attentats contre les ambassades israélienne et saoudienne à Washington, ainsi que l'assassinat de l'ambassadeur saoudien. Arbabsiar, Iranien de son état, a été arrêté en transit à l'aéroport JFK de New York le 29 septembre. Il aurait alors accepté de coopérer avec les autorités américaines et téléphoné sous leur contrôle à Gholam Chakouri, que Washington présente comme un membre de la force Al Qods. Ignorant tout de l'arrestation d'Arbabsiar, ce dernier lui aurait donné le feu vert pour mettre le projet à exécution. Ce projet a été conçu, financé et dirigé depuis l'Iran, a précisé l'Attorney General (ministre de la Justice) Eric Holder. Arbabsiar, qui a coopéré avec les autorités américaines, a reconnu l'existence de ce complot et fourni des informations sur l'implication du gouvernement iranien, selon l'administration Obama. Selon les autorités américaines, le complot aurait été piloté par les Pasdaran, les gardiens de la révolution, pilier du régime iranien, et leur branche opérationnelle, la force Al Qods. Les autorités iraniennes ont "catégoriquement démenti ces allégations fausses et sans fondement", selon les termes du porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Ramin Mehmanparast, qui a dénoncé sur la chaîne publique anglophone Press TV "un scénario monté de toutes pièces". A Ryad, un responsable du gouvernement saoudien a prévenu qu'"à la suite de cet incident, de nombreuses personnes dans le royaume vont s'attendre à ce que le royaume prenne des mesures, au moins le rappel de l'ambassadeur saoudien en Iran". Les Etats-Unis ont accusé mardi le gouvernement iranien d'être impliqué dans un projet d'assassinat de l'ambassadeur saoudien à Washington, accentuant les tensions avec Téhéran qui dément en bloc. Regain de tension entre les Etats-Unis et l'Iran. Les autorités américaines accusent deux Iraniens, dont l'un est naturalisé américain, d'avoir fomenté des attentats contre les ambassades israélienne et saoudienne à Washington, ainsi que l'assassinat de l'ambassadeur saoudien. Arbabsiar, Iranien de son état, a été arrêté en transit à l'aéroport JFK de New York le 29 septembre. Il aurait alors accepté de coopérer avec les autorités américaines et téléphoné sous leur contrôle à Gholam Chakouri, que Washington présente comme un membre de la force Al Qods. Ignorant tout de l'arrestation d'Arbabsiar, ce dernier lui aurait donné le feu vert pour mettre le projet à exécution. Ce projet a été conçu, financé et dirigé depuis l'Iran, a précisé l'Attorney General (ministre de la Justice) Eric Holder. Arbabsiar, qui a coopéré avec les autorités américaines, a reconnu l'existence de ce complot et fourni des informations sur l'implication du gouvernement iranien, selon l'administration Obama. Selon les autorités américaines, le complot aurait été piloté par les Pasdaran, les gardiens de la révolution, pilier du régime iranien, et leur branche opérationnelle, la force Al Qods. Les autorités iraniennes ont "catégoriquement démenti ces allégations fausses et sans fondement", selon les termes du porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Ramin Mehmanparast, qui a dénoncé sur la chaîne publique anglophone Press TV "un scénario monté de toutes pièces". A Ryad, un responsable du gouvernement saoudien a prévenu qu'"à la suite de cet incident, de nombreuses personnes dans le royaume vont s'attendre à ce que le royaume prenne des mesures, au moins le rappel de l'ambassadeur saoudien en Iran".