Le front social bouillonne ces derniers temps, du moins dans la wilaya de Boumerdès. Hier, en effet les employés du pré-emploi de l'APC de Chabet El-Ameur ont observé un arrêt de travail en signe de solidarité avec leur collègue, Ammor Abdelkader, également président de la section syndicale de wilaya des travailleurs du pré-emploi affiliée à la Snapap, licencié mardi dernier par la même APC. Ils ont réclamé sa réintégration à son poste d'emploi comme condition préalable pour mettre fin à leur action de protestation. Près d'une trentaine d'employés de pré-emploi ont suivi le mot d'ordre de l'arrêt de travail en signe de protestation contre la décision du maire de ladite localité du sud-est de Boumerdès de mettre fin à leurs contrats et dénoncent énergiquement ces manœuvres qu'ils croyaient révolues. Cette action, ajoute le représentant de wilaya du pré-emploi, une occasion de réitérer leurs revendications liées au versement de leurs salaires et à leur permanisation. A titre indicatif, près de 120 individus sont enrôlés dans le cadre du pré- emploi au niveau de cette localité. Notons que la présidente nationale du pré-emploi, Malika Fellil, a été également licenciée par son employeur. Le dossier de distribution des logements sociaux a également refait, hier, surface sur la scène locale. En effet, près d'une centaines de citoyens de la commune de Bordj Ménaïel se sont agglutinés devant le siège de la daïra de la même localité, qu'ils ont fermé durant la matinée d'hier à l'aide de barricades improvisées et troncs d'arbres pour protester contre le retard mis dans leur relogement. Leurs noms ont été affichés dans la liste des bénéficiaires de logements sociaux en juin dernier et depuis ils attendent en vain de recevoir les clefs de leurs logements. Les protestataires ont exigé la présence du premier responsable de la wilaya pour lui transmettre leur doléance. Vers midi, le chef de daïra a accepté de recevoir une délégation de protestataires. A l'heure où nous mettons sous presse, la réunion n'était pas encore achevée et aucune information n'a filtrée sur les décisions prises. Notons que 400 logements avaient été distribués au mois de juin dernier, opération suivie immédiatement d'actions de protestation de citoyens lesquels dénoncent des anomalies constatées lors de la distribution desdits logements. Dans la commune des Issers, 144 logements sociaux ne sont toujours pas distribués et la liste des bénéficiaires n'est pas encore connue. Les étudiants, de leur côté, ont paralysé totalement, hier, les facultés des sciences ex-Inim, des sciences économiques de droit et des sciences de l'ingénieur, pour protester contre les conditions exigées pour le passage à l'année supérieure, jugées excessives, notamment en ce qui concerne le système de rachat. Ce débrayage provoqué selon les étudiants par les agissements unilatéraux et sans concertation par l'administration, risque de perdurer encore et compromettre ainssi leurs cursus universitaires. Le front social bouillonne ces derniers temps, du moins dans la wilaya de Boumerdès. Hier, en effet les employés du pré-emploi de l'APC de Chabet El-Ameur ont observé un arrêt de travail en signe de solidarité avec leur collègue, Ammor Abdelkader, également président de la section syndicale de wilaya des travailleurs du pré-emploi affiliée à la Snapap, licencié mardi dernier par la même APC. Ils ont réclamé sa réintégration à son poste d'emploi comme condition préalable pour mettre fin à leur action de protestation. Près d'une trentaine d'employés de pré-emploi ont suivi le mot d'ordre de l'arrêt de travail en signe de protestation contre la décision du maire de ladite localité du sud-est de Boumerdès de mettre fin à leurs contrats et dénoncent énergiquement ces manœuvres qu'ils croyaient révolues. Cette action, ajoute le représentant de wilaya du pré-emploi, une occasion de réitérer leurs revendications liées au versement de leurs salaires et à leur permanisation. A titre indicatif, près de 120 individus sont enrôlés dans le cadre du pré- emploi au niveau de cette localité. Notons que la présidente nationale du pré-emploi, Malika Fellil, a été également licenciée par son employeur. Le dossier de distribution des logements sociaux a également refait, hier, surface sur la scène locale. En effet, près d'une centaines de citoyens de la commune de Bordj Ménaïel se sont agglutinés devant le siège de la daïra de la même localité, qu'ils ont fermé durant la matinée d'hier à l'aide de barricades improvisées et troncs d'arbres pour protester contre le retard mis dans leur relogement. Leurs noms ont été affichés dans la liste des bénéficiaires de logements sociaux en juin dernier et depuis ils attendent en vain de recevoir les clefs de leurs logements. Les protestataires ont exigé la présence du premier responsable de la wilaya pour lui transmettre leur doléance. Vers midi, le chef de daïra a accepté de recevoir une délégation de protestataires. A l'heure où nous mettons sous presse, la réunion n'était pas encore achevée et aucune information n'a filtrée sur les décisions prises. Notons que 400 logements avaient été distribués au mois de juin dernier, opération suivie immédiatement d'actions de protestation de citoyens lesquels dénoncent des anomalies constatées lors de la distribution desdits logements. Dans la commune des Issers, 144 logements sociaux ne sont toujours pas distribués et la liste des bénéficiaires n'est pas encore connue. Les étudiants, de leur côté, ont paralysé totalement, hier, les facultés des sciences ex-Inim, des sciences économiques de droit et des sciences de l'ingénieur, pour protester contre les conditions exigées pour le passage à l'année supérieure, jugées excessives, notamment en ce qui concerne le système de rachat. Ce débrayage provoqué selon les étudiants par les agissements unilatéraux et sans concertation par l'administration, risque de perdurer encore et compromettre ainssi leurs cursus universitaires.