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Le taux de participation, principal enjeu des législatives au Maroc
Maroc
Publié dans Le Midi Libre le 24 - 11 - 2011

Plus de 13 millions (13.475.435) de Marocains dont 54,9 % d'hommes et 45,10 % de femmes sont appelés à voter, vendredi, pour l'élection des 395 membres de la prochaine Chambre des représentants lors d'un scrutin anticipé dont l'enjeu principal reste le taux de participation. Cet enjeu de taille permettrait de jauger l'adhésion ou le rejet par la population des "réformes" introduites par la nouvelle constitution, adoptée le premier juillet dernier, suite à une série de manifestations sans précédent initiées par le Mouvement du 20 février, né dans le sillage des révoltes dans certains pays arabes. Malgré les amendements apportés à certaines dispositions de la loi fondamentale notamment dans son volet politique qui prévoit que le prochain chef du gouvernement sera issu du parti vainqueur aux législatives, les contestataires qui réclament, depuis plus de neuf mois, des changements démocratiques en profondeur considèrent que ces élections sont "biaisées". Le Mouvement de jeunes du 20 février, l'Association Al Adl Wa Ihsane (Justice et bienfaisance, islamiste non reconnue mais tolérée), le Parti socialiste unifié (PSU), le Parti de l'avant-garde démocratique et social (PADS) et Annahj Addimocrati (extrême gauche) qui ont appelé au boycott de ces législatives estiment que leurs revendications principales n'ont pas été satisfaites. Ils considèrent que cette opération électorale n'apportera "rien de nouveau" puisque la nouvelle constitution que les futurs députés doivent mettre en pratique ne répond pas aux critères d'une constitution démocratique et aux principes et normes d'une monarchie parlementaire dont le fondement est la séparation des pouvoirs. Selon des analystes politiques, la nouvelle constitution proposée par le roi Mohammed VI, le 9 mars dernier, délègue, plus ou moins, une partie des attributions du souverain mais préserve sa prééminence sur la vie politique, juridique, et religieuse avec le pouvoir de nomination des principaux responsables de l'Etat tout en gardant la présidence du conseil des ministres. Ainsi donc, la crédibilité de la future assemblée dépendrait, vendredi, de l'adhésion ou non des électeurs. Les 34 partis qui prennent part à ces législatives n'ont pas cessé, lors de la campagne électorale, d'appeler quotidiennement à un vote massif tout en dénonçant les partisans de la politique de la "chaise vide".
Yémen
Saleh à Ryadh pour signer un plan de sortie de crise
Le président yéménite Ali Abdallah Saleh est arrivé mercredi matin à Ryadh pour signer un accord sur le transfert de pouvoir, a-t-on annoncé à Sanaa. La Télévision officielle yéménite a précisé que M. Saleh allait "assister à la signature de l'initiative des pays du Golfe et de son mécanisme d'application". Le déplacement de M. Saleh intervient alors qu'un émissaire de l'Onu a annoncé mardi la finalisation d'un accord entre le pouvoir et l'opposition sur un plan de sortie de crise, conformément à une initiative des pays du Conseil de coopération du Golfe (CCG). Auparavant, le secrétaire général du parti présidentiel au Yémen, Sultan al-Barakani, a indiqué que la signature, prévue mardi, de l'accord sur un plan de sortie de crise dans ce pays a été reportée. "Le président Saleh tient à la présence d'un ministre du CCG, outre celle du secrétaire général du CCG Abdellatif Zayani, à la cérémonie de signature", a déclaré Sultan al-Barakani, indiquant "s'attendre à ce que la cérémonie de signature ait lieu jeudi ou vendredi". Le plan proposé au printemps par le CCG prévoit le départ de M. Saleh du pouvoir en échange de l'immunité pour lui-même et ses proches. Il doit remettre le pouvoir pour une période intérimaire à son vice-président, Abd Rabbo Mansour Hadi.
Plus de 13 millions (13.475.435) de Marocains dont 54,9 % d'hommes et 45,10 % de femmes sont appelés à voter, vendredi, pour l'élection des 395 membres de la prochaine Chambre des représentants lors d'un scrutin anticipé dont l'enjeu principal reste le taux de participation. Cet enjeu de taille permettrait de jauger l'adhésion ou le rejet par la population des "réformes" introduites par la nouvelle constitution, adoptée le premier juillet dernier, suite à une série de manifestations sans précédent initiées par le Mouvement du 20 février, né dans le sillage des révoltes dans certains pays arabes. Malgré les amendements apportés à certaines dispositions de la loi fondamentale notamment dans son volet politique qui prévoit que le prochain chef du gouvernement sera issu du parti vainqueur aux législatives, les contestataires qui réclament, depuis plus de neuf mois, des changements démocratiques en profondeur considèrent que ces élections sont "biaisées". Le Mouvement de jeunes du 20 février, l'Association Al Adl Wa Ihsane (Justice et bienfaisance, islamiste non reconnue mais tolérée), le Parti socialiste unifié (PSU), le Parti de l'avant-garde démocratique et social (PADS) et Annahj Addimocrati (extrême gauche) qui ont appelé au boycott de ces législatives estiment que leurs revendications principales n'ont pas été satisfaites. Ils considèrent que cette opération électorale n'apportera "rien de nouveau" puisque la nouvelle constitution que les futurs députés doivent mettre en pratique ne répond pas aux critères d'une constitution démocratique et aux principes et normes d'une monarchie parlementaire dont le fondement est la séparation des pouvoirs. Selon des analystes politiques, la nouvelle constitution proposée par le roi Mohammed VI, le 9 mars dernier, délègue, plus ou moins, une partie des attributions du souverain mais préserve sa prééminence sur la vie politique, juridique, et religieuse avec le pouvoir de nomination des principaux responsables de l'Etat tout en gardant la présidence du conseil des ministres. Ainsi donc, la crédibilité de la future assemblée dépendrait, vendredi, de l'adhésion ou non des électeurs. Les 34 partis qui prennent part à ces législatives n'ont pas cessé, lors de la campagne électorale, d'appeler quotidiennement à un vote massif tout en dénonçant les partisans de la politique de la "chaise vide".
Yémen
Saleh à Ryadh pour signer un plan de sortie de crise
Le président yéménite Ali Abdallah Saleh est arrivé mercredi matin à Ryadh pour signer un accord sur le transfert de pouvoir, a-t-on annoncé à Sanaa. La Télévision officielle yéménite a précisé que M. Saleh allait "assister à la signature de l'initiative des pays du Golfe et de son mécanisme d'application". Le déplacement de M. Saleh intervient alors qu'un émissaire de l'Onu a annoncé mardi la finalisation d'un accord entre le pouvoir et l'opposition sur un plan de sortie de crise, conformément à une initiative des pays du Conseil de coopération du Golfe (CCG). Auparavant, le secrétaire général du parti présidentiel au Yémen, Sultan al-Barakani, a indiqué que la signature, prévue mardi, de l'accord sur un plan de sortie de crise dans ce pays a été reportée. "Le président Saleh tient à la présence d'un ministre du CCG, outre celle du secrétaire général du CCG Abdellatif Zayani, à la cérémonie de signature", a déclaré Sultan al-Barakani, indiquant "s'attendre à ce que la cérémonie de signature ait lieu jeudi ou vendredi". Le plan proposé au printemps par le CCG prévoit le départ de M. Saleh du pouvoir en échange de l'immunité pour lui-même et ses proches. Il doit remettre le pouvoir pour une période intérimaire à son vice-président, Abd Rabbo Mansour Hadi.


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