Le tribunal criminel près la Cour de Relizane a acquitté, jeudi, cinq personnes poursuivies pour "financement et apologie du terrorisme". Les faits de cette affaire remontent, selon l'arrêt de renvoi, au 26 décembre 2003, lorsqu' une personne de Had Chekala (sud-est de la wilaya de Relizane), fut arrêtée par les éléments de la Gendarmerie nationale pour avoir "approvisionné en denrées alimentaires un groupe terroriste et lui avoir fourni des informations". Ce dernier aurait déclaré aux gendarmes, après son arrestation, que lui-même et ses co-accusés, vivant dans la même région, "avaient financé ce groupe terroriste". Les 5 inculpés, âgés de 32 à 72 ans, ont nié devant le tribunal les accusations porté contre eux, affirmant avoir été au contraire victimes, eux et leurs familles, d'actes terroristes. Dans sa plaidoirie, leur défense avait insisté sur l'absence de preuves, ajoutant que même s'ils sont reconnus coupables, ils devraient bénéficier des mesures de la réconciliation nationale. Le procureur général avait requis une peine de 5 ans de prison ferme assortie d'une amende de 30.000 DA à l'encontre de chacun d'entre eux. Le tribunal criminel près la Cour de Relizane a acquitté, jeudi, cinq personnes poursuivies pour "financement et apologie du terrorisme". Les faits de cette affaire remontent, selon l'arrêt de renvoi, au 26 décembre 2003, lorsqu' une personne de Had Chekala (sud-est de la wilaya de Relizane), fut arrêtée par les éléments de la Gendarmerie nationale pour avoir "approvisionné en denrées alimentaires un groupe terroriste et lui avoir fourni des informations". Ce dernier aurait déclaré aux gendarmes, après son arrestation, que lui-même et ses co-accusés, vivant dans la même région, "avaient financé ce groupe terroriste". Les 5 inculpés, âgés de 32 à 72 ans, ont nié devant le tribunal les accusations porté contre eux, affirmant avoir été au contraire victimes, eux et leurs familles, d'actes terroristes. Dans sa plaidoirie, leur défense avait insisté sur l'absence de preuves, ajoutant que même s'ils sont reconnus coupables, ils devraient bénéficier des mesures de la réconciliation nationale. Le procureur général avait requis une peine de 5 ans de prison ferme assortie d'une amende de 30.000 DA à l'encontre de chacun d'entre eux.