Le secrétaire général du FLN, Abdelaziz Belkhadem, se tourne vers les jeunes. Un clin d'œil à destination de la jeunesse pour les inciter à voter pour son parti. Le patron qui du FLN était à Bouteldja (El Tarf), où il a tenu un meeting populaire dans le cadre de la campagne électorale pour les législatives du 10 mai prochain, a souligné que son parti a un programme «ambitieux» et «porteur d'espoir» pour la jeunesse. Selon Abdelaziz Belkhadem, le FLN est une école de «formation politique». Dans le même sillage, il souligne que le FLN restera «fort et rayonnant» à l'image de l'Algérie pour laquelle notre parti a «tant donné», appelant les partis en lice pour le prochain rendez-vous électoral à «respecter les règles de la démocratie» et de «l'alternance au pouvoir». Le premier responsable du vieux parti a exprimé le soutien du FLN aux sinistrés des inondations qui ont affecté la wilaya d'El Tarf en février dernier indiquant que son parti veillera à ce que toutes ces personnes soient «indemnisées», avant d'appeler à un vote massif le 10 mai prochain pour donner «la meilleure réponse à ceux qui sèment le doute à l'encontre d'une Algérie de la démocratie, du multipartisme et de la tolérance». Il a lancé le même appel à partir d'Annaba pour «répondre à ceux qui doutent du processus de construction de la démocratie en Algérie». Animant un meeting populaire au théâtre régional Azzedine-Medjoubi, il soutient qu'une forte participation à ce rendez-vous électoral sera «la meilleure réponse à ceux qui veulent du mal au pays». Il affirme que le FLN qui demeurera «la colonne vertébrale de la vie politique en Algérie», n'est «pas contre l'alternance au pouvoir», soulignant dans ce sens que les partis qui veulent accéder à la gestion des affaires du pays «devront le faire en présentant des programmes répondant aux exigences du développement du pays et aux préoccupations des citoyens». Il estime qu'«en l'absence de programmes électoraux dignes d'intérêt, les partis qui reprochent, à tort, au FLN des manquements dans la gestion des affaires du pays, font des promesses électorales fausses et dénuées de fondements», soutenant que la conduite du développement du pays et la prise en charge des préoccupations des citoyens exigent «une vision politique et des solutions concrètes et objectives». S. B. Amara Benyounes (MPA) : «Le changement dans le calme et la sérénité» Le secrétaire général du Mouvement populaire algérien (MPA), Amara Benyounès, a estimé qu'une participation massive à ces élections pourrait conduire au «changement souhaité par tous», faisant toutefois remarquer que celui-ci doit se faire «dans le calme et loin de toute forme de violence». Depuis Aïn Defla, où il a animé un meeting populaire dans le cadre des législatives du 10 mai prochain, le leader du MPA a insisté sur le fait que le changement se fasse dans la sérénité et dans le calme afin que le pays puisse relever les nombreux défis qui l'attendent, fustigeant, dans la foulée, les partis politiques qui utilisent la religion pour arriver, a-t-il dit, à «des fins inavouées». Il a considéré que la réussite de ce scrutin contribuerait à «sauver l'Algérie» face aux nombreux défis qui l'attendent, d'autant plus importants que la future Assemblée nationale aura la tâche de mettre au point une nouvelle Constitution. Prônant la «culture du pardon» et mettant en exergue le rôle de la réconciliation nationale dans le recouvrement de la stabilité du pays, Benyounès a mis en garde cependant contre «l'oubli» de ce qui s'est passé durant les années noires du terrorisme, et a rendu hommage, à l'occasion, à «tous ceux grâce auxquels le pays est resté debout». Les «nombreux» problèmes quotidiens du citoyen, il les situe notamment dans les secteurs de la santé, l'éducation et la formation, l'administration publique, le logement et le travail. Sur la conjoncture internationale, dans la sous-région arabe notamment, et ses conséquences sur le pays, cet ancien chef de parti a tenu à observer que l'Algérie, qui a ses spécificités et sa propre histoire récente, «n'avait de leçons à recevoir de personne en matière de démocratie et de droits de l'homme». S. B. Mohamed Saïd (PLJ) : «Le député doit rendre des comptes chaque année» Le président du Parti de la liberté et de la justice (PLJ), Mohamed Saïd, a affirmé, lundi soir à Sidi Bel-Abbès, que le député doit privilégier l'intérêt général et jouir d'une «bonne moralité». Devant une assistance peu nombreuse, lors du meeting qu'il a animé dans le cadre de la campagne électorale des législatives prochaines, le patron du PLJ a indiqué qu'il appartient au député de briguer un poste non pas pour «avoir de l'argent mais pour servir ceux qui lui ont donné leur confiance», soulignant que sa formation politique a pris des précautions en obligeant l'élu à «prêter serment sur le Saint Coran dès l'annonce officielle de sa victoire et à rendre des comptes après une année de son élection». Il a, par ailleurs, loué les efforts fournis par les autres partis durant cette campagne électorale pour convaincre les citoyens de l'importance d'aller aux urnes le 10 mai prochain pour accomplir leur devoir électoral, relevant que le peuple algérien est «immunisé contre ce qu'ils appellent le printemps arabe, compte tenu des affres vécues par le pays durant 10 années de destruction, de sang et larmes». Le leader du PJL a rendu hommage, dans ce sens, aux services de l'ordre qui ont maîtrisé avec professionnalisme les «protestations» qu'a connues le pays au début de l'année 2011 » S. B. Abdelmadjid Menasra, (FC) : «Ne pas rater la possibilité de changement» Le président du Front du changement (FC), Abdelmadjid Menasra, a appelé lundi à Batna les électeurs à ne pas laisser passer «la possibilité de changement» qu'offrent les élections législatives du 10 mai prochain. Réunissant ses sympathisants et militants à la maison de la culture Mohamed-Laïd-Al-Khalifa, il a souligné que le changement, «longtemps souhaité par le peuple algérien exige des figures nouvelles et efficaces» à la hauteur des ambitions des Algériens. Selon lui, le temps du changement est arrivé et il se fera avec la volonté du peuple et ses voix librement exprimées pour ouvrir une nouvelle ère où le peuple sera le seul souverain. Dans ce sillage, il a appelé l'assistance à une participation forte aux prochaines législatives pour faire échec à ceux qui «sèment le désespoir et poussent les jeunes à l'abstention» et à ceux qui veulent «éparpiller les voix des électeurs pour une Assemblée faible, dispersée et incapable de résoudre les problèmes des Algériens». S'adressant aux jeunes, il a estimé qu'ils doivent «avoir foi» dans leurs capacités à «changer les choses par les urnes» en accordant leurs voix aux candidats aptes à mener le changement et non pas à ceux qui sont «responsables de la paupérisation des Algériens». Affirmant que les ennemis de son parti sont «la corruption et la fraude», Menasra a achevé son meeting en affirmant que son parti sera «fidèle à la volonté du peuple». Le secrétaire général du FLN, Abdelaziz Belkhadem, se tourne vers les jeunes. Un clin d'œil à destination de la jeunesse pour les inciter à voter pour son parti. Le patron qui du FLN était à Bouteldja (El Tarf), où il a tenu un meeting populaire dans le cadre de la campagne électorale pour les législatives du 10 mai prochain, a souligné que son parti a un programme «ambitieux» et «porteur d'espoir» pour la jeunesse. Selon Abdelaziz Belkhadem, le FLN est une école de «formation politique». Dans le même sillage, il souligne que le FLN restera «fort et rayonnant» à l'image de l'Algérie pour laquelle notre parti a «tant donné», appelant les partis en lice pour le prochain rendez-vous électoral à «respecter les règles de la démocratie» et de «l'alternance au pouvoir». Le premier responsable du vieux parti a exprimé le soutien du FLN aux sinistrés des inondations qui ont affecté la wilaya d'El Tarf en février dernier indiquant que son parti veillera à ce que toutes ces personnes soient «indemnisées», avant d'appeler à un vote massif le 10 mai prochain pour donner «la meilleure réponse à ceux qui sèment le doute à l'encontre d'une Algérie de la démocratie, du multipartisme et de la tolérance». Il a lancé le même appel à partir d'Annaba pour «répondre à ceux qui doutent du processus de construction de la démocratie en Algérie». Animant un meeting populaire au théâtre régional Azzedine-Medjoubi, il soutient qu'une forte participation à ce rendez-vous électoral sera «la meilleure réponse à ceux qui veulent du mal au pays». Il affirme que le FLN qui demeurera «la colonne vertébrale de la vie politique en Algérie», n'est «pas contre l'alternance au pouvoir», soulignant dans ce sens que les partis qui veulent accéder à la gestion des affaires du pays «devront le faire en présentant des programmes répondant aux exigences du développement du pays et aux préoccupations des citoyens». Il estime qu'«en l'absence de programmes électoraux dignes d'intérêt, les partis qui reprochent, à tort, au FLN des manquements dans la gestion des affaires du pays, font des promesses électorales fausses et dénuées de fondements», soutenant que la conduite du développement du pays et la prise en charge des préoccupations des citoyens exigent «une vision politique et des solutions concrètes et objectives». S. B. Amara Benyounes (MPA) : «Le changement dans le calme et la sérénité» Le secrétaire général du Mouvement populaire algérien (MPA), Amara Benyounès, a estimé qu'une participation massive à ces élections pourrait conduire au «changement souhaité par tous», faisant toutefois remarquer que celui-ci doit se faire «dans le calme et loin de toute forme de violence». Depuis Aïn Defla, où il a animé un meeting populaire dans le cadre des législatives du 10 mai prochain, le leader du MPA a insisté sur le fait que le changement se fasse dans la sérénité et dans le calme afin que le pays puisse relever les nombreux défis qui l'attendent, fustigeant, dans la foulée, les partis politiques qui utilisent la religion pour arriver, a-t-il dit, à «des fins inavouées». Il a considéré que la réussite de ce scrutin contribuerait à «sauver l'Algérie» face aux nombreux défis qui l'attendent, d'autant plus importants que la future Assemblée nationale aura la tâche de mettre au point une nouvelle Constitution. Prônant la «culture du pardon» et mettant en exergue le rôle de la réconciliation nationale dans le recouvrement de la stabilité du pays, Benyounès a mis en garde cependant contre «l'oubli» de ce qui s'est passé durant les années noires du terrorisme, et a rendu hommage, à l'occasion, à «tous ceux grâce auxquels le pays est resté debout». Les «nombreux» problèmes quotidiens du citoyen, il les situe notamment dans les secteurs de la santé, l'éducation et la formation, l'administration publique, le logement et le travail. Sur la conjoncture internationale, dans la sous-région arabe notamment, et ses conséquences sur le pays, cet ancien chef de parti a tenu à observer que l'Algérie, qui a ses spécificités et sa propre histoire récente, «n'avait de leçons à recevoir de personne en matière de démocratie et de droits de l'homme». S. B. Mohamed Saïd (PLJ) : «Le député doit rendre des comptes chaque année» Le président du Parti de la liberté et de la justice (PLJ), Mohamed Saïd, a affirmé, lundi soir à Sidi Bel-Abbès, que le député doit privilégier l'intérêt général et jouir d'une «bonne moralité». Devant une assistance peu nombreuse, lors du meeting qu'il a animé dans le cadre de la campagne électorale des législatives prochaines, le patron du PLJ a indiqué qu'il appartient au député de briguer un poste non pas pour «avoir de l'argent mais pour servir ceux qui lui ont donné leur confiance», soulignant que sa formation politique a pris des précautions en obligeant l'élu à «prêter serment sur le Saint Coran dès l'annonce officielle de sa victoire et à rendre des comptes après une année de son élection». Il a, par ailleurs, loué les efforts fournis par les autres partis durant cette campagne électorale pour convaincre les citoyens de l'importance d'aller aux urnes le 10 mai prochain pour accomplir leur devoir électoral, relevant que le peuple algérien est «immunisé contre ce qu'ils appellent le printemps arabe, compte tenu des affres vécues par le pays durant 10 années de destruction, de sang et larmes». Le leader du PJL a rendu hommage, dans ce sens, aux services de l'ordre qui ont maîtrisé avec professionnalisme les «protestations» qu'a connues le pays au début de l'année 2011 » S. B. Abdelmadjid Menasra, (FC) : «Ne pas rater la possibilité de changement» Le président du Front du changement (FC), Abdelmadjid Menasra, a appelé lundi à Batna les électeurs à ne pas laisser passer «la possibilité de changement» qu'offrent les élections législatives du 10 mai prochain. Réunissant ses sympathisants et militants à la maison de la culture Mohamed-Laïd-Al-Khalifa, il a souligné que le changement, «longtemps souhaité par le peuple algérien exige des figures nouvelles et efficaces» à la hauteur des ambitions des Algériens. Selon lui, le temps du changement est arrivé et il se fera avec la volonté du peuple et ses voix librement exprimées pour ouvrir une nouvelle ère où le peuple sera le seul souverain. Dans ce sillage, il a appelé l'assistance à une participation forte aux prochaines législatives pour faire échec à ceux qui «sèment le désespoir et poussent les jeunes à l'abstention» et à ceux qui veulent «éparpiller les voix des électeurs pour une Assemblée faible, dispersée et incapable de résoudre les problèmes des Algériens». S'adressant aux jeunes, il a estimé qu'ils doivent «avoir foi» dans leurs capacités à «changer les choses par les urnes» en accordant leurs voix aux candidats aptes à mener le changement et non pas à ceux qui sont «responsables de la paupérisation des Algériens». Affirmant que les ennemis de son parti sont «la corruption et la fraude», Menasra a achevé son meeting en affirmant que son parti sera «fidèle à la volonté du peuple».