La gestion des phénomènes des changements climatiques et la persistance de multiples interrogations sur le concept du développement durable, à la veille de la Conférence de Rio+20 (au Brésil), sont les exemples illustratifs de cette situation, a déclaré M. Mourad Medelci, ministre des Affaires étrangères aux travaux du 12e Forum de Doha (du 20 au 22 mai). M. Medelci, qui s'est rendu à Doha à l'invitation de Cheikh Hamad Ben Jassem Ben Jaber Al-Thani, Premier ministre et ministre des Affaires étrangères du Qatar, a affirmé que "notre Forum qui se tient à un mois de cette importante échéance est une précieuse étape de concertation et de préparation». Il a précisé, entre autres, "ne pas avoir la prétention, dans l'immédiateté de ce Forum, d'apporter des solutions à des problèmes de cette ampleur" quel que soit le pays représenté. «Par contre, nous pouvons libérer, à l'occasion de ce Forum, des messages conscients les uns et les autres, qu'il s'agit là d'un objectif qui ne peut être réalisé sans que des prises de consciences globales sortent du domaine intellectuel pour aller vers le domaine politique, dans le respect du multilatéralisme que nous considérons comme une option incontournable pour gérer les affaires du monde», a-t-il affirmé La gestion des phénomènes des changements climatiques et la persistance de multiples interrogations sur le concept du développement durable, à la veille de la Conférence de Rio+20 (au Brésil), sont les exemples illustratifs de cette situation, a déclaré M. Mourad Medelci, ministre des Affaires étrangères aux travaux du 12e Forum de Doha (du 20 au 22 mai). M. Medelci, qui s'est rendu à Doha à l'invitation de Cheikh Hamad Ben Jassem Ben Jaber Al-Thani, Premier ministre et ministre des Affaires étrangères du Qatar, a affirmé que "notre Forum qui se tient à un mois de cette importante échéance est une précieuse étape de concertation et de préparation». Il a précisé, entre autres, "ne pas avoir la prétention, dans l'immédiateté de ce Forum, d'apporter des solutions à des problèmes de cette ampleur" quel que soit le pays représenté. «Par contre, nous pouvons libérer, à l'occasion de ce Forum, des messages conscients les uns et les autres, qu'il s'agit là d'un objectif qui ne peut être réalisé sans que des prises de consciences globales sortent du domaine intellectuel pour aller vers le domaine politique, dans le respect du multilatéralisme que nous considérons comme une option incontournable pour gérer les affaires du monde», a-t-il affirmé