Comme de coutume ces dernières années, le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, consacrera les veillées ramadhanesques pour l'audition des membres du gouvernement. Les séances d'audition seront entamées demain dimanche, troisième jour de ce mois sacré, et tous les ministres qui sont actuellement en poste auront à exposer les bilans de leurs secteurs, les lacunes ainsi que les perspectives. Le premier magistrat du pays écoutera ainsi les rapports des ministres et émettra, comme il a l'habitude de le faire, des remarques et les orientations nécessaires à même d'atteindre les objectifs assignés à chaque département ministériel pour l'actuel plan quinquennal. Comme de coutume ces dernières années, le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, consacrera les veillées ramadhanesques pour l'audition des membres du gouvernement. Les séances d'audition seront entamées demain dimanche, troisième jour de ce mois sacré, et tous les ministres qui sont actuellement en poste auront à exposer les bilans de leurs secteurs, les lacunes ainsi que les perspectives. Le premier magistrat du pays écoutera ainsi les rapports des ministres et émettra, comme il a l'habitude de le faire, des remarques et les orientations nécessaires à même d'atteindre les objectifs assignés à chaque département ministériel pour l'actuel plan quinquennal. Des sources proches du gouvernement ont indiqué que les ministres ont été informés à l'avance de la tenue de ces auditions afin de préparer les rapports nécessaires. Ils ont même bénéficié d'un congé de 15 jours avant d'entamer la réalisation des documents à soumettre au président de la République, en concertation, bien évidemment, avec les cadres supérieurs des ministères dont ils ont la charge. Notre source n'a pas précisé le nom du ministre qui sera entendu, ni le nombre de séances à tenir par semaine. Il semble, toutefois, que tous les dossiers sont prêts et chaque ministre tentera de convaincre le président de la République par «des avancées considérables réalisées durant son mandat». L'enjeu est de taille cette fois-ci. Car chacun veut figurer parmi la nouvelle formation gouvernementale qui devra être formée avant la fin de l'année en cours. L'activité est pratiquement gelée depuis l'annonce officielle des résultats des élections législatives du 10 mai dernier. Le Premier ministre n'a pas, pour l'instant, présenté sa démission et Abdelaziz Boteflika a préféré garder quelques têtes, sans, pour autant, remplacer ceux qui ont gagné des sièges à l'Assemblée populaire nationale (APN). Le pays s'est donc retrouvé avec des ministres qui gèrent d'autres secteurs en sus des leurs. Ces ministres auront donc à se présenter à deux reprises devant le président de la République dans l'objectif de défendre les bilans de deux secteurs. Les ministres de la Santé, Djamel Ould Abbès, de l'Energie,Youcef Yousfi, de l'Habitat, Nouredine Moussa et de la Jeunesse et des Sports Hachemi Djiar, des Ressources en eau, Abdelmalek Sellal et l'Intérieur, Dahou Ould Kablia, auront ainsi à défendre les bilans des départements dont ils assurent l'intérim, à savoir le Travail, la Poste et les Technologies de l'information et de la communication, les Travaux publics, l'Enseignement supérieur, les Transports et l'Aménagement du territoire. La décision de mener les auditions signifie clairement que la nomination d'un nouveau gouvernement, annoncé par certains observateurs avant la rentrée sociale, n'aura finalement pas lieu durant ce mois sacré de Ramadhan. Toutefois, certains observateurs estiment qu'il est inconcevable de responsabiliser un ministre qui a pris un autre secteur de façon intérimaire depuis à peine deux mois. Il est attendu que le président prenne des mesures urgentes afin de remédier aux retards énormes constatés dans la réalisation de plusieurs projets de développement, surtout qu'on est à quelques mois de l'arrivée à terme de l'actuel quinquennat ( 2010-2014). Des sources proches du gouvernement ont indiqué que les ministres ont été informés à l'avance de la tenue de ces auditions afin de préparer les rapports nécessaires. Ils ont même bénéficié d'un congé de 15 jours avant d'entamer la réalisation des documents à soumettre au président de la République, en concertation, bien évidemment, avec les cadres supérieurs des ministères dont ils ont la charge. Notre source n'a pas précisé le nom du ministre qui sera entendu, ni le nombre de séances à tenir par semaine. Il semble, toutefois, que tous les dossiers sont prêts et chaque ministre tentera de convaincre le président de la République par «des avancées considérables réalisées durant son mandat». L'enjeu est de taille cette fois-ci. Car chacun veut figurer parmi la nouvelle formation gouvernementale qui devra être formée avant la fin de l'année en cours. L'activité est pratiquement gelée depuis l'annonce officielle des résultats des élections législatives du 10 mai dernier. Le Premier ministre n'a pas, pour l'instant, présenté sa démission et Abdelaziz Boteflika a préféré garder quelques têtes, sans, pour autant, remplacer ceux qui ont gagné des sièges à l'Assemblée populaire nationale (APN). Le pays s'est donc retrouvé avec des ministres qui gèrent d'autres secteurs en sus des leurs. Ces ministres auront donc à se présenter à deux reprises devant le président de la République dans l'objectif de défendre les bilans de deux secteurs. Les ministres de la Santé, Djamel Ould Abbès, de l'Energie,Youcef Yousfi, de l'Habitat, Nouredine Moussa et de la Jeunesse et des Sports Hachemi Djiar, des Ressources en eau, Abdelmalek Sellal et l'Intérieur, Dahou Ould Kablia, auront ainsi à défendre les bilans des départements dont ils assurent l'intérim, à savoir le Travail, la Poste et les Technologies de l'information et de la communication, les Travaux publics, l'Enseignement supérieur, les Transports et l'Aménagement du territoire. La décision de mener les auditions signifie clairement que la nomination d'un nouveau gouvernement, annoncé par certains observateurs avant la rentrée sociale, n'aura finalement pas lieu durant ce mois sacré de Ramadhan. Toutefois, certains observateurs estiment qu'il est inconcevable de responsabiliser un ministre qui a pris un autre secteur de façon intérimaire depuis à peine deux mois. Il est attendu que le président prenne des mesures urgentes afin de remédier aux retards énormes constatés dans la réalisation de plusieurs projets de développement, surtout qu'on est à quelques mois de l'arrivée à terme de l'actuel quinquennat ( 2010-2014).