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«De réelles opportunités de partenariat entre les entreprises françaises et algériennes» Thierry Carment, directeur des ventes internationales Midest, au Midi Libre
Les entreprises algériennes de la sous-traitance industrielle qui ont réalisé un grand boom, ces dernières années, en favorisant le partenariat avec des sociétés et firmes étrangères, auront l'occasion, durant le Salon international de la sous-traitance, prévu du 6 au 9 novembre prochain en France, de décrocher plusieurs contrats à l'international. Le directeur des ventes internationales Midest –Maintenavce Expo Sistep Midest, Thierry Carment, convie les entreprises algériennes à participer à cette manifestation ayant un triple caractère, à savoir économique, commercial et industriel afin de décrocher le maximum de contrats à l`international et investir, ainsi, le marché européen, en général, et le marché français, en particulier. Midi Libre : Comment évaluez-vous la participation des entreprises algériennes au Salon international Midest 2012 sur la sous-traitance et sur quel thème s`articule la rencontre avec les opérateurs économiques nationaux qui a eu lieu à l'Agence algérienne de promotion du commerce extérieur (Algex) ? Thierry Carment : Il s'agit de jauger les potentialités des entreprises algériennes et déceler les opportunités existantes sur le marché européen et plus particulièrement le marché français. Puisqu'il s'agit d'un marché qui est ouvert et que les donneurs d'ordres internationaux ou français sont à la recherche de nouveaux partenaires. Ils ont toutes leurs chances de présenter, en fait, à ces visiteurs l'offre, qui est l'offre algérienne au sein d'un pavillon Algérie qui est un pavillon officiel répertorié dans les ministères, et ils peuvent également participer dans les bourses de sous-traitance avec l'Algex pour pouvoir, en fait, s'adresser à ces industriels. Les opportunités de partenariat et de coopération entre les entreprises algériennes et les entreprises françaises sont importantes. Comment les exploiter et les fructifier, selon vous ? Il existe de réelles possibilités et d'opportunités pour les entreprises algériennes, que ce soit directement en termes de commerce pour répondre à des contrats directement, soit éventuellement en termes d'alliances industrielles, voire de partenariat commerciaux et technologiques. C'est une occasion qui va un peu dans tous les sens, car le Midest 2012 c'est la plate-forme de cinq jours à Paris où ils auront le plus de chances de rencontrer tous ces gens spécialisés et ces intervenants sur le marché industriel. Y aura-t-il des rencontres de type business to business et des rencontres d'affaires personnalisées entre les différents participants afin de booster les relations de partenariat et rechercher des voies et des moyens de stimuler la collaboration technique et industrielle durant ces cinq jours de cette importante manifestation économique, commerciale et industrielle où des contrats et des accords de joint-venture sont susceptibles d'être conclus ? Il existe un système que nous avons mis en place, il y a deux années, pour multiplier les rencontres d'affaires et qui est chapeauté par la Chambre de commerce et d'industrie du Grand Duché du Luxembourg. Il s'agit d'une plate-forme de rencontres d'affaires, donc des rendez-vous qui sont organisés en avance et, par conséquent, nous attendons que les entreprises algériennes viennent y participer. Quel est le message que vous voulez adresser aux opérateurs économiques algériens versés dans le secteur de la sous-traitance ? Les entreprises algériennes doivent se sentir prêtes à l'exportation et elles doivent également avoir des atouts pour pouvoir exporter leurs produits. L'objectif de la rencontre a été de présenter, en fait, le marché, les tendances qu'ils vont pouvoir retrouver comme types d'offres à l'intérieur de ce marché, et puis pouvoir leur présenter le Salon international de la sous-traitance prévu du 6 au 9 novembre qui se déroulera à Paris Nord Villepinte. Les entreprises peuvent directement intégrer ce marché. Quelle est la finalité et la portée internationale de ce salon pour les entreprises participantes ? Midest est le premier salon de la sous-traitance industrielle du monde avec une participation de 1.800 exposants, dont plus de 650 venus de 36 pays, y compris les pays du Maghreb, dont l'Algérie, en ajoutant à cela la proximité culturelle, car il y a des échanges faciles entre la France et les pays du Maghreb. Les entreprises algériennes ont un rôle à jouer dans cette plate-forme. Comment évaluez-vous la participation des entreprises algériennes à la précédente édition ? La participation des entreprises algériennes au Midest 2011 a été bonne, notamment par le biais des bourses de partenariat depuis 1984. Des bourses de partenariat algériennes y participent activement depuis les années 1990 au salon et nous avons un pavillon officiel algérien depuis 2008 lors de la première participation où il y avait huit entreprises dans ce pavillon, et puis les choses se sont accélérées et évoluées puisque nous sommes arrivés à 31 entreprises algériennes qui ont pris part à cet événement l'année dernière. Cela pour ce qui est des exposants, et pour les visiteurs, nous avons un "visitorat" plus important des pays du Maghreb et de l'Algérie en particulier. Donc, tout le monde est invité à venir visiter le salon et participer en tant qu'exposants. Les entreprises algériennes de la sous-traitance industrielle qui ont réalisé un grand boom, ces dernières années, en favorisant le partenariat avec des sociétés et firmes étrangères, auront l'occasion, durant le Salon international de la sous-traitance, prévu du 6 au 9 novembre prochain en France, de décrocher plusieurs contrats à l'international. Le directeur des ventes internationales Midest –Maintenavce Expo Sistep Midest, Thierry Carment, convie les entreprises algériennes à participer à cette manifestation ayant un triple caractère, à savoir économique, commercial et industriel afin de décrocher le maximum de contrats à l`international et investir, ainsi, le marché européen, en général, et le marché français, en particulier. Midi Libre : Comment évaluez-vous la participation des entreprises algériennes au Salon international Midest 2012 sur la sous-traitance et sur quel thème s`articule la rencontre avec les opérateurs économiques nationaux qui a eu lieu à l'Agence algérienne de promotion du commerce extérieur (Algex) ? Thierry Carment : Il s'agit de jauger les potentialités des entreprises algériennes et déceler les opportunités existantes sur le marché européen et plus particulièrement le marché français. Puisqu'il s'agit d'un marché qui est ouvert et que les donneurs d'ordres internationaux ou français sont à la recherche de nouveaux partenaires. Ils ont toutes leurs chances de présenter, en fait, à ces visiteurs l'offre, qui est l'offre algérienne au sein d'un pavillon Algérie qui est un pavillon officiel répertorié dans les ministères, et ils peuvent également participer dans les bourses de sous-traitance avec l'Algex pour pouvoir, en fait, s'adresser à ces industriels. Les opportunités de partenariat et de coopération entre les entreprises algériennes et les entreprises françaises sont importantes. Comment les exploiter et les fructifier, selon vous ? Il existe de réelles possibilités et d'opportunités pour les entreprises algériennes, que ce soit directement en termes de commerce pour répondre à des contrats directement, soit éventuellement en termes d'alliances industrielles, voire de partenariat commerciaux et technologiques. C'est une occasion qui va un peu dans tous les sens, car le Midest 2012 c'est la plate-forme de cinq jours à Paris où ils auront le plus de chances de rencontrer tous ces gens spécialisés et ces intervenants sur le marché industriel. Y aura-t-il des rencontres de type business to business et des rencontres d'affaires personnalisées entre les différents participants afin de booster les relations de partenariat et rechercher des voies et des moyens de stimuler la collaboration technique et industrielle durant ces cinq jours de cette importante manifestation économique, commerciale et industrielle où des contrats et des accords de joint-venture sont susceptibles d'être conclus ? Il existe un système que nous avons mis en place, il y a deux années, pour multiplier les rencontres d'affaires et qui est chapeauté par la Chambre de commerce et d'industrie du Grand Duché du Luxembourg. Il s'agit d'une plate-forme de rencontres d'affaires, donc des rendez-vous qui sont organisés en avance et, par conséquent, nous attendons que les entreprises algériennes viennent y participer. Quel est le message que vous voulez adresser aux opérateurs économiques algériens versés dans le secteur de la sous-traitance ? Les entreprises algériennes doivent se sentir prêtes à l'exportation et elles doivent également avoir des atouts pour pouvoir exporter leurs produits. L'objectif de la rencontre a été de présenter, en fait, le marché, les tendances qu'ils vont pouvoir retrouver comme types d'offres à l'intérieur de ce marché, et puis pouvoir leur présenter le Salon international de la sous-traitance prévu du 6 au 9 novembre qui se déroulera à Paris Nord Villepinte. Les entreprises peuvent directement intégrer ce marché. Quelle est la finalité et la portée internationale de ce salon pour les entreprises participantes ? Midest est le premier salon de la sous-traitance industrielle du monde avec une participation de 1.800 exposants, dont plus de 650 venus de 36 pays, y compris les pays du Maghreb, dont l'Algérie, en ajoutant à cela la proximité culturelle, car il y a des échanges faciles entre la France et les pays du Maghreb. Les entreprises algériennes ont un rôle à jouer dans cette plate-forme. Comment évaluez-vous la participation des entreprises algériennes à la précédente édition ? La participation des entreprises algériennes au Midest 2011 a été bonne, notamment par le biais des bourses de partenariat depuis 1984. Des bourses de partenariat algériennes y participent activement depuis les années 1990 au salon et nous avons un pavillon officiel algérien depuis 2008 lors de la première participation où il y avait huit entreprises dans ce pavillon, et puis les choses se sont accélérées et évoluées puisque nous sommes arrivés à 31 entreprises algériennes qui ont pris part à cet événement l'année dernière. Cela pour ce qui est des exposants, et pour les visiteurs, nous avons un "visitorat" plus important des pays du Maghreb et de l'Algérie en particulier. Donc, tout le monde est invité à venir visiter le salon et participer en tant qu'exposants.