Depuis le début du mois de Ramadhan, les plages de l'Algérois connaissent, de jour comme de nuit, une affluence de visiteurs en quête de distraction et de fraîcheur, surtout en ces jours où le mercure atteint des pics insupportables et où l'air chaud s'abat comme une chape de plomb dès que l'on quitte les lieux climatisées. Depuis le début du mois de Ramadhan, les plages de l'Algérois connaissent, de jour comme de nuit, une affluence de visiteurs en quête de distraction et de fraîcheur, surtout en ces jours où le mercure atteint des pics insupportables et où l'air chaud s'abat comme une chape de plomb dès que l'on quitte les lieux climatisées. La ruée vers la Grande Bleue crée une atmosphère festive et les nuits du Ramadhan motivent et incitent les gens à sortir et à profiter d'une ambiance particulière, une occasion de prendre du bon temps avec sa famille et ses amis. Les plages ne désemplissent pas tout au long de la semaine Pour les jeunes, c'est la chaleur suffocante de la maison qui les pousse à se rendre au bord de la mer à la recherche d'un peu d'air frais. Une virée dans certains quartiers de la capitale suffit pour s'en convaincre. A Bab El-Oued, la plage El Kettani est assaillie par les visiteurs, en majorité des jeunes, venus y passer un moment en attendant la rupture du jeûne. Après «l'Iftar», plusieurs familles se rendent à la plage pour se rafraîchir après une journée caniculaire. A une dizaine de mètres de la plage, une petite aire de loisirs annonce un climat festif. Les enfants, souvent accompagnés de leurs parents, s'en donnent à cœur joie de jour comme de nuit. D'autres enfants préfèrent se baigner, de jour, sous le regard bienveillant de leurs parents à l'image de Houssem et Fares (8 et 10 ans). Non loin de là, pieds dans l'eau, en foulant le sable, un groupe de jeunes, âgés entre 17 et 20 ans, profitent de la fraîcheur de la mer en ces journées caniculaires préférant s'adonner à une baignade qui les rafraîchit et les détend. Youcef, 17 ans, affirme être conscient, lui et ses amis, que le fait de plonger la tête dans l'eau risquerait d'annuler le jeûne, c'est pourquoi il dit éviter au même titre que ses amis de rester longtemps dans l'eau. Les femmes d'un certain âge ont elles aussi fui la fournaise des appartements pour se rendre en bord de mer et profiter d'un peu de fraîcheur, comme c'est le cas au niveau de la plage El-Kettani à Bab El-Oued, a constaté l'APS. La plage Franco, dans la commune de Raïs Hamidou est, elle aussi, prise d'assaut, notamment par des jeunes et des enfants qui viennent des quartiers avoisinants. La plage de Sidi Fredj ne déroge pas à la règle puisqu'elle draine un grand nombre de familles en quête de fraîcheur en ces journées caniculaires. En dépit de ses dangers et des mises en garde des services de la Protection civile, de nombreux jeunes s'adonnent à la baignade de nuit. Ces téméraires risquent leur vie car outre le manque d'éclairage, les plages ne sont pas surveillées au-delà de 19h, a souligné la direction générale de la Protection civile. La ruée vers la Grande Bleue crée une atmosphère festive et les nuits du Ramadhan motivent et incitent les gens à sortir et à profiter d'une ambiance particulière, une occasion de prendre du bon temps avec sa famille et ses amis. Les plages ne désemplissent pas tout au long de la semaine Pour les jeunes, c'est la chaleur suffocante de la maison qui les pousse à se rendre au bord de la mer à la recherche d'un peu d'air frais. Une virée dans certains quartiers de la capitale suffit pour s'en convaincre. A Bab El-Oued, la plage El Kettani est assaillie par les visiteurs, en majorité des jeunes, venus y passer un moment en attendant la rupture du jeûne. Après «l'Iftar», plusieurs familles se rendent à la plage pour se rafraîchir après une journée caniculaire. A une dizaine de mètres de la plage, une petite aire de loisirs annonce un climat festif. Les enfants, souvent accompagnés de leurs parents, s'en donnent à cœur joie de jour comme de nuit. D'autres enfants préfèrent se baigner, de jour, sous le regard bienveillant de leurs parents à l'image de Houssem et Fares (8 et 10 ans). Non loin de là, pieds dans l'eau, en foulant le sable, un groupe de jeunes, âgés entre 17 et 20 ans, profitent de la fraîcheur de la mer en ces journées caniculaires préférant s'adonner à une baignade qui les rafraîchit et les détend. Youcef, 17 ans, affirme être conscient, lui et ses amis, que le fait de plonger la tête dans l'eau risquerait d'annuler le jeûne, c'est pourquoi il dit éviter au même titre que ses amis de rester longtemps dans l'eau. Les femmes d'un certain âge ont elles aussi fui la fournaise des appartements pour se rendre en bord de mer et profiter d'un peu de fraîcheur, comme c'est le cas au niveau de la plage El-Kettani à Bab El-Oued, a constaté l'APS. La plage Franco, dans la commune de Raïs Hamidou est, elle aussi, prise d'assaut, notamment par des jeunes et des enfants qui viennent des quartiers avoisinants. La plage de Sidi Fredj ne déroge pas à la règle puisqu'elle draine un grand nombre de familles en quête de fraîcheur en ces journées caniculaires. En dépit de ses dangers et des mises en garde des services de la Protection civile, de nombreux jeunes s'adonnent à la baignade de nuit. Ces téméraires risquent leur vie car outre le manque d'éclairage, les plages ne sont pas surveillées au-delà de 19h, a souligné la direction générale de la Protection civile.