Le rôle et l'engagement de l'Algérie ainsi que son soutien au mouvement syndical en Afrique ont été soulignés, hier,à Alger par les participants au 10ème congrès de l'Organisation syndicale de l'Unité africaine (OUSA). «Nous sommes reconnaissants aux positions éclairées de l'Algérie à l'occasion des congrès et fora internationaux quant à la défense des droits des travailleurs, comme elle l'avait déjà fait dans les années 1960 et 1970 en étant à l'avant-garde des mouvements de libération en Afrique", a indiqué le président de OUSA, M.Ahmed Ibrahim Ghandour. Il a relevé que ce 10ème congrès est un "message fort" de l'Algérie qui est à l'avant-garde du "mouvement de libération syndicale", allant dans le sens, a-t-il dit, de la "libération de l'Afrique aux plans politique, économique et social". Tout en affirmant que l'OUSA poursuivra la lutte de libération du continent, M. Ghandour a appelé les représentants des syndicats africains présents au congrès à "persévérer" dans leur lutte et combat pour amener les peuples et travailleurs africains à plus de développement et de prospérité. Pour ce faire, le président de l'OUSA a "encouragé" les syndicats africains à s'opposer aux multinationales qui exploitent les travailleurs et les richesses du continent. De son côté, le secrétaire général de l'OUSA, M. Hassen Sunmono, a estimé que le continent est épargné des conséquences de la crise économique qui touche l'Europe, et ce, en évitant les politiques néolibérales dictées notamment par le Fonds monétaire international (FMI) qui conduisent à des faillites". Le rôle et l'engagement de l'Algérie ainsi que son soutien au mouvement syndical en Afrique ont été soulignés, hier,à Alger par les participants au 10ème congrès de l'Organisation syndicale de l'Unité africaine (OUSA). «Nous sommes reconnaissants aux positions éclairées de l'Algérie à l'occasion des congrès et fora internationaux quant à la défense des droits des travailleurs, comme elle l'avait déjà fait dans les années 1960 et 1970 en étant à l'avant-garde des mouvements de libération en Afrique", a indiqué le président de OUSA, M.Ahmed Ibrahim Ghandour. Il a relevé que ce 10ème congrès est un "message fort" de l'Algérie qui est à l'avant-garde du "mouvement de libération syndicale", allant dans le sens, a-t-il dit, de la "libération de l'Afrique aux plans politique, économique et social". Tout en affirmant que l'OUSA poursuivra la lutte de libération du continent, M. Ghandour a appelé les représentants des syndicats africains présents au congrès à "persévérer" dans leur lutte et combat pour amener les peuples et travailleurs africains à plus de développement et de prospérité. Pour ce faire, le président de l'OUSA a "encouragé" les syndicats africains à s'opposer aux multinationales qui exploitent les travailleurs et les richesses du continent. De son côté, le secrétaire général de l'OUSA, M. Hassen Sunmono, a estimé que le continent est épargné des conséquences de la crise économique qui touche l'Europe, et ce, en évitant les politiques néolibérales dictées notamment par le Fonds monétaire international (FMI) qui conduisent à des faillites".