C'est aujourd'hui qu'auront lieu les élections relatives au renouvellement partiel des membres du Conseil de la nation. La bataille s'annonce rude entre les partis politiques qui vont se disputer âprement les 48 sièges (un élu par wilaya) mis en jeu lors de ce scrutin. C'est aujourd'hui qu'auront lieu les élections relatives au renouvellement partiel des membres du Conseil de la nation. La bataille s'annonce rude entre les partis politiques qui vont se disputer âprement les 48 sièges (un élu par wilaya) mis en jeu lors de ce scrutin. Ce sera le cas notamment entre les candidats du FLN et ceux du RND. Le vieux parti est arrivé en tête lors des élections locales du 29 novembre en remportant 7.191 sièges aux assemblées populaires communales (APC) et 685 sièges aux assemblées populaires de wilaya (APW). Le FLN a été suivi, en deuxième position, par le RND qui, lui, a obtenu 5.988 sièges aux APC et 487 aux APW. Pour ces deux partis ce sera un énième duel et tous les moyens seront mis à profit pour gagner le maximum de sièges. Le secrétaire général du parti du FLN, Abdelaziz Belkhadem, ne cesse d'afficher son optimisme en réitérant à chaque fois que son parti sortira vainqueur de ce rendez-vous électoral qui revêt une importance cruciale pour lui d'abord et pour son parti ensuite. Car Abdelaziz Belkhadem, déjà fortement critiqué pour les résultats obtenus puisque le vieux parti n'a pu atteindre la barre de 1.000 APC comme il le souhaitait, jouera son va-tout. Une défaite ou un mauvais résultat le fragiliserait davantage au sein du parti à la veille de la tenue d'une session ordinaire du comité central, prévue à la mi-janvier. Ses détracteurs au sein de cette instance l'attendent d'ailleurs de pied ferme puisqu'ils tenteront, de nouveau, de le destituer de son poste de secrétaire général. Le secrétaire général du RND, Ahmed Ouyahia, est presque dans la même situation. Car un mauvais résultat arrangerait incontestablement les affaires de ses opposants qui ne cessent d'affirmer que Ouyahia «est fini». Ces deux partis risquent de laisser des plumes car cette fois-ci ils devront se méfier de la montée en puissance d'autres partis politiques, mais aussi des indépendants. Ces deux derniers, grâce au jeu des alliances, ont déjà remporté plusieurs APC et APW au détriment du FLN et du RND. Et rien ne porte à croire que les deux partis ne vont pas réaliser les scores qu'ils espèrent. C'est dire que la bataille d'aujourd'hui sera, contrairement aux fois précédentes, relativement indécise. Cela dit en plus des 48 sièges mis en jeu, ce renouvellement partiel concernera aussi la moitié des sièges du tiers présidentiel, soit 24 sièges. Le pourvoi de ces sièges relève, conformément aux dispositions de la Constitution, des prérogatives du président de la République. Et Abdelaziz Bouteflika est appelé à lever le voile sur le nom du successeur du président du Conseil de la nation, Abdelkader Bensalah, dont le mandat de six ans entamé en 2007 est arrivé à son terme. Bouteflika va- t-il renouveler sa confiance à Bensalah pour un nouveau mandat de six ans ? Tout laisse à penser que ce sera le cas car, jusqu'à hier, aucun nom n'a été cité comme probable successeur de Abdelkader Bensalah. Un homme qui semble jouir de la confiance du chef de l'Etat. Assemblée populaire nationale Reprise des travaux mardi 8 janvier 2013 Par Lakhdari Brahim Lors d'une réunion, tenue jeudi dernier et présidée par Larbi Ould Khélifa, le bureau de l'APN a décidé de la reprise des travaux en séance plénière mardi 8 janvier 2013. Cette reprise débutera par l'examen et le vote du projet de loi portant approbation de l'accord de délimitation des frontières maritimes entre les républiques algérienne et tunisienne conclu le 11 janvier 2011, a indiqué un communiqué de l'APN. La séance sera marquée également par la validation de la qualité de membre d'un nouveau député, précise encore la même source. Le même jour et jusqu'à mercredi 9 janvier, les travaux de l'APN seront consacrés au débat général du projet de loi modifiant et complétant la loi numéro 05/07 du 28 avril 2005 relatif aux hydrocarbures et qui sera voté en séance plénière lundi 21 janvier, souligne le communiqué. Ce sera le cas notamment entre les candidats du FLN et ceux du RND. Le vieux parti est arrivé en tête lors des élections locales du 29 novembre en remportant 7.191 sièges aux assemblées populaires communales (APC) et 685 sièges aux assemblées populaires de wilaya (APW). Le FLN a été suivi, en deuxième position, par le RND qui, lui, a obtenu 5.988 sièges aux APC et 487 aux APW. Pour ces deux partis ce sera un énième duel et tous les moyens seront mis à profit pour gagner le maximum de sièges. Le secrétaire général du parti du FLN, Abdelaziz Belkhadem, ne cesse d'afficher son optimisme en réitérant à chaque fois que son parti sortira vainqueur de ce rendez-vous électoral qui revêt une importance cruciale pour lui d'abord et pour son parti ensuite. Car Abdelaziz Belkhadem, déjà fortement critiqué pour les résultats obtenus puisque le vieux parti n'a pu atteindre la barre de 1.000 APC comme il le souhaitait, jouera son va-tout. Une défaite ou un mauvais résultat le fragiliserait davantage au sein du parti à la veille de la tenue d'une session ordinaire du comité central, prévue à la mi-janvier. Ses détracteurs au sein de cette instance l'attendent d'ailleurs de pied ferme puisqu'ils tenteront, de nouveau, de le destituer de son poste de secrétaire général. Le secrétaire général du RND, Ahmed Ouyahia, est presque dans la même situation. Car un mauvais résultat arrangerait incontestablement les affaires de ses opposants qui ne cessent d'affirmer que Ouyahia «est fini». Ces deux partis risquent de laisser des plumes car cette fois-ci ils devront se méfier de la montée en puissance d'autres partis politiques, mais aussi des indépendants. Ces deux derniers, grâce au jeu des alliances, ont déjà remporté plusieurs APC et APW au détriment du FLN et du RND. Et rien ne porte à croire que les deux partis ne vont pas réaliser les scores qu'ils espèrent. C'est dire que la bataille d'aujourd'hui sera, contrairement aux fois précédentes, relativement indécise. Cela dit en plus des 48 sièges mis en jeu, ce renouvellement partiel concernera aussi la moitié des sièges du tiers présidentiel, soit 24 sièges. Le pourvoi de ces sièges relève, conformément aux dispositions de la Constitution, des prérogatives du président de la République. Et Abdelaziz Bouteflika est appelé à lever le voile sur le nom du successeur du président du Conseil de la nation, Abdelkader Bensalah, dont le mandat de six ans entamé en 2007 est arrivé à son terme. Bouteflika va- t-il renouveler sa confiance à Bensalah pour un nouveau mandat de six ans ? Tout laisse à penser que ce sera le cas car, jusqu'à hier, aucun nom n'a été cité comme probable successeur de Abdelkader Bensalah. Un homme qui semble jouir de la confiance du chef de l'Etat. Assemblée populaire nationale Reprise des travaux mardi 8 janvier 2013 Par Lakhdari Brahim Lors d'une réunion, tenue jeudi dernier et présidée par Larbi Ould Khélifa, le bureau de l'APN a décidé de la reprise des travaux en séance plénière mardi 8 janvier 2013. Cette reprise débutera par l'examen et le vote du projet de loi portant approbation de l'accord de délimitation des frontières maritimes entre les républiques algérienne et tunisienne conclu le 11 janvier 2011, a indiqué un communiqué de l'APN. La séance sera marquée également par la validation de la qualité de membre d'un nouveau député, précise encore la même source. Le même jour et jusqu'à mercredi 9 janvier, les travaux de l'APN seront consacrés au débat général du projet de loi modifiant et complétant la loi numéro 05/07 du 28 avril 2005 relatif aux hydrocarbures et qui sera voté en séance plénière lundi 21 janvier, souligne le communiqué.