âgés entre 13 et 18 ans, 204 mineurs ont fugué durant l'année 2012, rapporte un bilan de la cellule de communication de la DGSN. Selon le même communiqué, publié avant-hier, la DGSN indique que 71 parmi les fugueurs sont des filles. Les jeunes fugueurs ont quitté le toit familial pour diverses raisons. Toutefois, comparant le taux des fugues d'enfants durant l'année 2012 à celui recensé en 2010, la DGSN indique qu'une baisse sensible a été enregistrée, ce qui prouve que le phénomène est en baisse régulière. Les raisons de cette baisse, selon la police, sont dues aux différentes campagnes de sensibilisation menées jusqu'à présent par la DGSN. Grâce à ces campagnes ciblant particulièrement les parents, les fugues d'enfants ont beaucoup régressé, ce qui est déjà un résultat positif, souligne le communiqué de la DGSN. Mieux, la mise en ligne du numéro vert le "48 15" ou celui de la ligne d'urgence le "17" ont permis, également, de mieux contrôler le phénomène, explique la DGSN. Ces deux numéros ont été salutaires lors de disparitions signalées d'enfants. Par ailleurs, la plupart des enfants ayant quitté le toit familial vers d'autres horizons qu'ils pensaient plus cléments l'ont souvent fait avec la complicité de tierces personnes. Certains des petits fugueurs sont malheureusement enrôlés dans les milieux de la débauche, alors que d'autres se retrouvent otages de réseaux de trafics en tous genres. Beaucoup d'entre eux sont, heureusement, sauvés à temps par la police, qui ne ménage pas ses efforts au cours des opérations de recherche lancées tout de suite après l'alerte donnée d'une disparition d'enfant. âgés entre 13 et 18 ans, 204 mineurs ont fugué durant l'année 2012, rapporte un bilan de la cellule de communication de la DGSN. Selon le même communiqué, publié avant-hier, la DGSN indique que 71 parmi les fugueurs sont des filles. Les jeunes fugueurs ont quitté le toit familial pour diverses raisons. Toutefois, comparant le taux des fugues d'enfants durant l'année 2012 à celui recensé en 2010, la DGSN indique qu'une baisse sensible a été enregistrée, ce qui prouve que le phénomène est en baisse régulière. Les raisons de cette baisse, selon la police, sont dues aux différentes campagnes de sensibilisation menées jusqu'à présent par la DGSN. Grâce à ces campagnes ciblant particulièrement les parents, les fugues d'enfants ont beaucoup régressé, ce qui est déjà un résultat positif, souligne le communiqué de la DGSN. Mieux, la mise en ligne du numéro vert le "48 15" ou celui de la ligne d'urgence le "17" ont permis, également, de mieux contrôler le phénomène, explique la DGSN. Ces deux numéros ont été salutaires lors de disparitions signalées d'enfants. Par ailleurs, la plupart des enfants ayant quitté le toit familial vers d'autres horizons qu'ils pensaient plus cléments l'ont souvent fait avec la complicité de tierces personnes. Certains des petits fugueurs sont malheureusement enrôlés dans les milieux de la débauche, alors que d'autres se retrouvent otages de réseaux de trafics en tous genres. Beaucoup d'entre eux sont, heureusement, sauvés à temps par la police, qui ne ménage pas ses efforts au cours des opérations de recherche lancées tout de suite après l'alerte donnée d'une disparition d'enfant.