Le ministère des Affaires religieuses et des Wakfs a présenté dernièrement au secrétariat général du gouvernement un projet de classification des mosquées dans le but d'élaborer une nouvelle carte des mosquées. Le ministère des Affaires religieuses et des Wakfs a présenté dernièrement au secrétariat général du gouvernement un projet de classification des mosquées dans le but d'élaborer une nouvelle carte des mosquées. L'inspecteur général du ministère des Affaires religieuses et des Wakfs, Mohamed Aïssa, a précisé que le projet en question visait "l'actualisation du décret exécutif de 1990 relatif à la construction, l'organisation et la gestion des mosquées" que le ministère a estimé "nécessaire d'enrichir". Le projet prévoit de placer toutes les mosquées du pays sous l'égide de la Mosquée d'Alger et la création d'un "Conseil national d'orientation religieuse". La mosquée d'Alger supervisera les mosquées dites "pôles" au niveau wilayal soit 48 mosquées au total dans tout le pays. Les imams connus pour leur compétence seront désignés à la tête de ces mosquées qui seront construites par l'Etat avec la contribution de bienfaiteurs. Chacune de ces mosquées comprend une salle de prière pouvant accueillir 10.000 fidèles, une école coranique, une salle de conférences, des salles de cours, une bibliothèque et sera dotée des moyens de communication (lignes téléphoniques et Internet), selon Mohamed Aïssa. L'imam de la mosquée pôle, également membre du Conseil national d'orientation au niveau de la mosquée d'Alger, aura pour tache l'amélioration du niveau des imams qui exercent dans les autres mosquées de la wilaya. Les mosquées nationales, les mosquées locales qui assurent la prière du vendredi seront chapeautées par la mosquée pôle. Ce projet appelé au ministère "Projet de réforme de la chose religieuse" intervient suite à la constatation de la multiplicité des prêches dispensés dans les mosquées sans référents communs, selon la même source. Il a été donc convenu, a-t-il ajouté, de réfléchir à l'élaboration d'un projet de réglementation du fonctionnement de la mosquée en créant des instances consultatives loin de l'administration et un espace de concertation et d'orientation impliquant des imams, des enseignants universitaires, des docteurs de la foi et des cheikh de zaouïas. Ce travail facilitera, selon M. Aïssa, la désignation des imams diplômés des instituts de formation et améliorera la gestion de la carte des mosquées et le prêche et permettra de réaliser les objectifs tracés au niveau des conseils scientifiques. L'inspecteur général du ministère des Affaires religieuses et des Wakfs, Mohamed Aïssa, a précisé que le projet en question visait "l'actualisation du décret exécutif de 1990 relatif à la construction, l'organisation et la gestion des mosquées" que le ministère a estimé "nécessaire d'enrichir". Le projet prévoit de placer toutes les mosquées du pays sous l'égide de la Mosquée d'Alger et la création d'un "Conseil national d'orientation religieuse". La mosquée d'Alger supervisera les mosquées dites "pôles" au niveau wilayal soit 48 mosquées au total dans tout le pays. Les imams connus pour leur compétence seront désignés à la tête de ces mosquées qui seront construites par l'Etat avec la contribution de bienfaiteurs. Chacune de ces mosquées comprend une salle de prière pouvant accueillir 10.000 fidèles, une école coranique, une salle de conférences, des salles de cours, une bibliothèque et sera dotée des moyens de communication (lignes téléphoniques et Internet), selon Mohamed Aïssa. L'imam de la mosquée pôle, également membre du Conseil national d'orientation au niveau de la mosquée d'Alger, aura pour tache l'amélioration du niveau des imams qui exercent dans les autres mosquées de la wilaya. Les mosquées nationales, les mosquées locales qui assurent la prière du vendredi seront chapeautées par la mosquée pôle. Ce projet appelé au ministère "Projet de réforme de la chose religieuse" intervient suite à la constatation de la multiplicité des prêches dispensés dans les mosquées sans référents communs, selon la même source. Il a été donc convenu, a-t-il ajouté, de réfléchir à l'élaboration d'un projet de réglementation du fonctionnement de la mosquée en créant des instances consultatives loin de l'administration et un espace de concertation et d'orientation impliquant des imams, des enseignants universitaires, des docteurs de la foi et des cheikh de zaouïas. Ce travail facilitera, selon M. Aïssa, la désignation des imams diplômés des instituts de formation et améliorera la gestion de la carte des mosquées et le prêche et permettra de réaliser les objectifs tracés au niveau des conseils scientifiques.