La contrebande est devenue une des principales menaces pour l'économie algérienne. En effet chaque année la contrebande fait perdre à l'économie nationale 10.000 milliards de centimes, selon des experts. La contrebande est devenue une des principales menaces pour l'économie algérienne. En effet chaque année la contrebande fait perdre à l'économie nationale 10.000 milliards de centimes, selon des experts. Chaque année, les services de sécurité, récupèrent, au terme d'opérations menées contre les contrebandiers, des millions de litres de carburant, des centaines de tonnes de fer, de bronze, d'aluminium et autres marchandises destinées aux grands projets en Algérie. Des sociétés publiques : Naftal, Sonelgaz, Sonatrach..., colonne vertébrale de l'économie algérienne, sont les premières victimes de ce phénomène. Ces sociétés perdent, chaque année, des milliers de milliards de centimes. Selon des experts, l'Algérie enregistre une perte sèche de près de 10.000 milliards de centimes. En dépit de la présence renforcée des services de sécurité et la lutte menée sans répit le fléau a triplé ces dix dernières années. Les autorités algériennes ont été même contraintes de revoir leurs dispositifs de dissuasion. Une armada de lois vient d'être adoptée par les députés. Entre août et octobre passé, les gardes-frontières ont réussi à faire avorter 1.350 tentatives de contrebande. Ces opérations ont permis de récupérer 300.000 litres de carburant et 300.000 tonnes de produits alimentaires. Les GGF ont également réussi, au cours des trois derniers mois, à arrêter 180 individus, entre contrebandiers, terroristes, immigrés clandestins, trafiquants de drogue et d'armes. Le même bilan indique que les GGF ont procédé à la saisie de 191 véhicules, 725 bêtes de somme et 15 motos ainsi que 301.451 t de produits alimentaires destinées aux pays voisins : Mali, Tunisie, Libye, Niger et Maroc. 50 tonnes de produits ferreux ont été également récupérées, de même que 500 unités de matériaux de construction, 30.000 articles de ménage et 4.459 kg de cuivre. Les produits exportés frauduleusement concernent essentiellement le carburant, les produits alimentaires, les produits ferreux, tandis que les marchandises importées sont les stupéfiants, cheptel et articles électroniques. Les GGF ont fait avorter l'infiltration de plus de 10 tonnes de cannabis,1.593 têtes de cheptel ont été récupérées de même qu'il y a eu la saisie d'une kalachnikov, 2.150 capsules, 250 cartouches de fusils de chasse, un chargeur pour arme automatique ainsi que 50 kg de produits chimiques servant à la fabrication de fléau 10.000 GGF sont mobilisés aux frontières du pays. Ce nombre est appelé à être augmenté, la situation sécuritaire qui prévaut dans les pays voisins est la cause de cette hausse inquiétante. Autrement dit, ce qui est en train de se dérouler en Tunisie, en Libye et au Mali cause de graves préjudices à la stabilité des frontières algériennes transformées en véritable plaque tournante en matière d'écoulement de plusieurs dizaines de tonnes de kif traité. Chaque année, les services de sécurité, récupèrent, au terme d'opérations menées contre les contrebandiers, des millions de litres de carburant, des centaines de tonnes de fer, de bronze, d'aluminium et autres marchandises destinées aux grands projets en Algérie. Des sociétés publiques : Naftal, Sonelgaz, Sonatrach..., colonne vertébrale de l'économie algérienne, sont les premières victimes de ce phénomène. Ces sociétés perdent, chaque année, des milliers de milliards de centimes. Selon des experts, l'Algérie enregistre une perte sèche de près de 10.000 milliards de centimes. En dépit de la présence renforcée des services de sécurité et la lutte menée sans répit le fléau a triplé ces dix dernières années. Les autorités algériennes ont été même contraintes de revoir leurs dispositifs de dissuasion. Une armada de lois vient d'être adoptée par les députés. Entre août et octobre passé, les gardes-frontières ont réussi à faire avorter 1.350 tentatives de contrebande. Ces opérations ont permis de récupérer 300.000 litres de carburant et 300.000 tonnes de produits alimentaires. Les GGF ont également réussi, au cours des trois derniers mois, à arrêter 180 individus, entre contrebandiers, terroristes, immigrés clandestins, trafiquants de drogue et d'armes. Le même bilan indique que les GGF ont procédé à la saisie de 191 véhicules, 725 bêtes de somme et 15 motos ainsi que 301.451 t de produits alimentaires destinées aux pays voisins : Mali, Tunisie, Libye, Niger et Maroc. 50 tonnes de produits ferreux ont été également récupérées, de même que 500 unités de matériaux de construction, 30.000 articles de ménage et 4.459 kg de cuivre. Les produits exportés frauduleusement concernent essentiellement le carburant, les produits alimentaires, les produits ferreux, tandis que les marchandises importées sont les stupéfiants, cheptel et articles électroniques. Les GGF ont fait avorter l'infiltration de plus de 10 tonnes de cannabis,1.593 têtes de cheptel ont été récupérées de même qu'il y a eu la saisie d'une kalachnikov, 2.150 capsules, 250 cartouches de fusils de chasse, un chargeur pour arme automatique ainsi que 50 kg de produits chimiques servant à la fabrication de fléau 10.000 GGF sont mobilisés aux frontières du pays. Ce nombre est appelé à être augmenté, la situation sécuritaire qui prévaut dans les pays voisins est la cause de cette hausse inquiétante. Autrement dit, ce qui est en train de se dérouler en Tunisie, en Libye et au Mali cause de graves préjudices à la stabilité des frontières algériennes transformées en véritable plaque tournante en matière d'écoulement de plusieurs dizaines de tonnes de kif traité.