A 48 heures du match retour Algérie-Burkina Faso comptant pour la qualification au Mondial 2014 qui se déroulera au Brésil, l'ambiance bat son plein dans les rues à travers le pays. Les Algériens veulent croire au rêve brésilien. A 48 heures du match retour Algérie-Burkina Faso comptant pour la qualification au Mondial 2014 qui se déroulera au Brésil, l'ambiance bat son plein dans les rues à travers le pays. Les Algériens veulent croire au rêve brésilien. Drapeaux, banderoles, maillots, bracelets, écharpes, aux couleurs vert, rouge et blanc se vendent comme des petits pains. En effet une ambiance particulière régne dans les rues pour y plonger, un tant soit peu, nous nous sommes rendus à Bab El-Oued, Belouizdad, Kouba, El Biar et à Boufarik. Nous avons commencé notre petite virée par Bab El Oued, quartier populaire et populeux par excellence, là les jeunes ont dressé des étals proposant drapeaux, banderoles, maillots, bracelets et autres photos géantes des joueurs de l'EN. En dépit de prix relativement élevés les affaires marchent bien. Tout le monde achète : enfants, ménagères, pères de famille. Mohamed, un jeune vendeur nous avoue fièrement: « J'ai installé ma table depuis deux semaines et j'ai déjà vendu des dizaines de maillots des joueurs de l'équipe nationale. » Pour Mohamed, les maillots les plus demandés sont ceux de Slimani. en dehors des étals Bab El-Oued est pavoisé d'emblêmes nationaux installés sur les balcons, les véhicules et les magasins. « Inchalah nous irons au Brésil », lance un jeune à son ami, qui lui répond « Men foumek l rebi khoya Hamid ». A Kouba, les supporters se préparent dans la même fièvre de même qu'à Belouizdad qui se retrouve décorée des trois couleurs vert, rouge et blanc, tandis que les véhiculent commencent déjà à sillonner bruyamment les rues. « On va se qualifier au mondial. Vive l'Algérie » « One, two, three viva l'Algérie » scandent les supporters. Une ambiance qui nous rappelle celle de 2010 lorsque l'Algérie s'était qualifiée au Mondial sud-africain. Même les filles n'hésitent pas à arborer des bracelets au couleurs des Verts. à Kouba, plus précisément à Ben Omar, même ambian ce de fête, les drapeaux et autres accessoires sont proposés par terre, surdes étals de fortune et dans des magasins devant un rush sans précédent des supporteurs de l'EN. « Bien qu'on est un peu triste de ne pas voir un joueur du RCK jouer au sein de l'EN comme cela a été le cas durant les années 80 et 90, nous sommes heureux de voir des joueurs de talent porter haut le drapeau national », nous dira Ami Mouloud. Nous avons décidé de nous rendre ensuite à Boufarik, la ville des Oranges a adopté pour l'occasion le rouge, vert et blanc. Des drapeaux partout, sur le balcons, dans les rues, dans les magasins, les véhicules. à Boufarik, il n'y a pas de doute les Verts vont gagneravec des joueurs pétris de qualité à l'image des Belfodil, Slimani et Djebbour. "On y croit . Nous allons gagner inchalah" est le leitmotiv ressassé. Aux quartiers de Dallas, Rahni et Ben Chaâbane, les supporteurs des Verts font déjà la fête. Un petit but seulement nous sépare de la Coupe du monde 2014 à Brésil. On y croit dur comme fer. Drapeaux, banderoles, maillots, bracelets, écharpes, aux couleurs vert, rouge et blanc se vendent comme des petits pains. En effet une ambiance particulière régne dans les rues pour y plonger, un tant soit peu, nous nous sommes rendus à Bab El-Oued, Belouizdad, Kouba, El Biar et à Boufarik. Nous avons commencé notre petite virée par Bab El Oued, quartier populaire et populeux par excellence, là les jeunes ont dressé des étals proposant drapeaux, banderoles, maillots, bracelets et autres photos géantes des joueurs de l'EN. En dépit de prix relativement élevés les affaires marchent bien. Tout le monde achète : enfants, ménagères, pères de famille. Mohamed, un jeune vendeur nous avoue fièrement: « J'ai installé ma table depuis deux semaines et j'ai déjà vendu des dizaines de maillots des joueurs de l'équipe nationale. » Pour Mohamed, les maillots les plus demandés sont ceux de Slimani. en dehors des étals Bab El-Oued est pavoisé d'emblêmes nationaux installés sur les balcons, les véhicules et les magasins. « Inchalah nous irons au Brésil », lance un jeune à son ami, qui lui répond « Men foumek l rebi khoya Hamid ». A Kouba, les supporters se préparent dans la même fièvre de même qu'à Belouizdad qui se retrouve décorée des trois couleurs vert, rouge et blanc, tandis que les véhiculent commencent déjà à sillonner bruyamment les rues. « On va se qualifier au mondial. Vive l'Algérie » « One, two, three viva l'Algérie » scandent les supporters. Une ambiance qui nous rappelle celle de 2010 lorsque l'Algérie s'était qualifiée au Mondial sud-africain. Même les filles n'hésitent pas à arborer des bracelets au couleurs des Verts. à Kouba, plus précisément à Ben Omar, même ambian ce de fête, les drapeaux et autres accessoires sont proposés par terre, surdes étals de fortune et dans des magasins devant un rush sans précédent des supporteurs de l'EN. « Bien qu'on est un peu triste de ne pas voir un joueur du RCK jouer au sein de l'EN comme cela a été le cas durant les années 80 et 90, nous sommes heureux de voir des joueurs de talent porter haut le drapeau national », nous dira Ami Mouloud. Nous avons décidé de nous rendre ensuite à Boufarik, la ville des Oranges a adopté pour l'occasion le rouge, vert et blanc. Des drapeaux partout, sur le balcons, dans les rues, dans les magasins, les véhicules. à Boufarik, il n'y a pas de doute les Verts vont gagneravec des joueurs pétris de qualité à l'image des Belfodil, Slimani et Djebbour. "On y croit . Nous allons gagner inchalah" est le leitmotiv ressassé. Aux quartiers de Dallas, Rahni et Ben Chaâbane, les supporteurs des Verts font déjà la fête. Un petit but seulement nous sépare de la Coupe du monde 2014 à Brésil. On y croit dur comme fer.