Ce genre d'initiatives, servent de messages de paix et de fraternité ! C'est ce qui ressort de la conférence de presse animée, hier, à l'Institut national supérieur de musique, par Abdelkader Bouazara, commissaire du Festival, devant un parterre de journalistes et de l'ensemble de l'équipe dirigeante, en compagnie du maestro français Thomas Dubienko et Alain Arias. Ce genre d'initiatives, servent de messages de paix et de fraternité ! C'est ce qui ressort de la conférence de presse animée, hier, à l'Institut national supérieur de musique, par Abdelkader Bouazara, commissaire du Festival, devant un parterre de journalistes et de l'ensemble de l'équipe dirigeante, en compagnie du maestro français Thomas Dubienko et Alain Arias. Organisée sous le patronage de Khalida Toumi, ministre de la Culture, et en partenariat avec la direction de la culture de la wilaya d'Oran, le Théâtre national algérien et l'Institut français d'Alger, les deux concerts, programmés pour jeudi prochain au Théâtre national algérien Mahieddine-Bachtarzi, pour le premier, et le second, le samedi d'après au théâtre régional d'Oran, seront dirigés par le maestro Thomas Dubienko et verront la participation du talentueux soliste violoniste Alain Arias. Il est notamment prévu au programme de ces soirées musicales : ouverture de Don Juan de Mozart concerto pour violon et orchestre en ré Majeur, Op.61 de Beethoven avec le soliste Alain Arias et la symphonie numéro 104 en ré majeur de Haydn, selon les animateurs de cette conférence. La culture dans sa diversité fait l'objet d'un intérêt grandissant à l'échelle internationale, comme enjeu de développement et d'identité. L'objectif est de valoriser le savoir-faire, de partager des savoirs, mais aussi de contribuer à une prise en compte d'un patrimoine de qualité, dans le respect de son intégrité et des populations dont il constitue le cadre de vie, et ce, dans un équilibre à trouver entre développement économique, dimension sociale et conservation patrimoniale. Pour cet homme dynamique, profondément engagé dans sa mission de développer et d'élargir la place de la musique universelle en Algérie. Pour M. Bouazara, cette grande musique n'est pas seulement le miroir de la musique universelle dans toutes ses composantes historiques et créatrices. Pour M. Bouazara, la grande musique, c'est aussi et surtout, l'écriture, la création et l'interprétation de notre patrimoine musical sous forme de musique universelle. Par cette voie, son objectif essentiel consiste à œuvrer, à donner la place que mérite notre musique sur le plan universel. Nous œuvrons pour la démocratisation de la musique universelle au profit de tous les Algériens. Pour nos invités d'honneur, ils ont tenu à exprimer leur bonheur d'être ici en Algérie et, plus particulièrement, de participer ces moments de bonheurs avec nos amis algériens. Pour eux, c'est une découverte, une rencontre, un moment de partage. Grâce à la musique universelle, des relations d'interaction se créent, se nouent. Grâce à ce genre d'événement que les rapprochements entre les peuples et les cultures sont favorisés. Etre parmi vous, c'est un plus, une expérience enrichissante. C'est constructif. Et il n'y a pas mieux que la musique universelle pour créer ce genre d'ambiance, de possibilités et moments d'humilité. Il est souligné à propos du parcours du chef d'orchestre Thomas Dubienko, qu'après de premières études de violon avec Nicole Tamestit, il étudie la direction d'orchestre à l'Ecole normale de musique Paris (dont il sort premier nommé), et à la Musikhochschule de Lausanne. Il rencontre ensuite Jorma Panula avec qui il étudie en Suède, en Finlande, et aux Pays-Bas. Il se forme dans le même temps en direction de chœur auprès de Pierre CAO. De 2001 à 2006, il fonde et dirige l'Orchestre de chambre d'Ile-de-France, et est invité à diriger dans divers festivals en France et à l'étranger. Parallèlement à cette formation et cette pratique de direction, il entreprend des études d'écriture, analyse, histoire de la musique. Lauréat du Cnsm de Lyon, il se spécialise dans les langages des XX et XXIe siècles (classe de culture musicale, spécialité théorie de l'analyse) et la pratique de la musique ancienne sur instruments d'époque. En 2010, il fonde un collectif, Sequenzae, qui regroupe des musiciens, des scientifiques, des auteurs, pour échanger sur des thèmes communs, organiser des Masterclasses et favoriser des rencontres entre personnalités reconnues établies et des musiciens en voie de professionnalisation. Il est depuis 2013 directeur artistique du Festival « Rencontres musicales en Aveyron ». Quant au talentueux violoniste Alain Arias a commencé l'apprentissage du violon à l'ENM (Ecole nationale de musique) de Lorient puis, en 2002 obtient le premier prix en violon et en musique de chambre au Conservatoire d'Aulnay, suivi de deux premiers prix d'excellence. Lauréat d'un diplôme de virtuosité et d'un diplôme de concert de la Schola Cantorum de Paris, il obtiendra, avec l'Orchestre Sostenuto et l'Orchestre de chambre de Montpellier, un diplôme de mérite au Torneo Internationale Di Musica en Italie. Organisée sous le patronage de Khalida Toumi, ministre de la Culture, et en partenariat avec la direction de la culture de la wilaya d'Oran, le Théâtre national algérien et l'Institut français d'Alger, les deux concerts, programmés pour jeudi prochain au Théâtre national algérien Mahieddine-Bachtarzi, pour le premier, et le second, le samedi d'après au théâtre régional d'Oran, seront dirigés par le maestro Thomas Dubienko et verront la participation du talentueux soliste violoniste Alain Arias. Il est notamment prévu au programme de ces soirées musicales : ouverture de Don Juan de Mozart concerto pour violon et orchestre en ré Majeur, Op.61 de Beethoven avec le soliste Alain Arias et la symphonie numéro 104 en ré majeur de Haydn, selon les animateurs de cette conférence. La culture dans sa diversité fait l'objet d'un intérêt grandissant à l'échelle internationale, comme enjeu de développement et d'identité. L'objectif est de valoriser le savoir-faire, de partager des savoirs, mais aussi de contribuer à une prise en compte d'un patrimoine de qualité, dans le respect de son intégrité et des populations dont il constitue le cadre de vie, et ce, dans un équilibre à trouver entre développement économique, dimension sociale et conservation patrimoniale. Pour cet homme dynamique, profondément engagé dans sa mission de développer et d'élargir la place de la musique universelle en Algérie. Pour M. Bouazara, cette grande musique n'est pas seulement le miroir de la musique universelle dans toutes ses composantes historiques et créatrices. Pour M. Bouazara, la grande musique, c'est aussi et surtout, l'écriture, la création et l'interprétation de notre patrimoine musical sous forme de musique universelle. Par cette voie, son objectif essentiel consiste à œuvrer, à donner la place que mérite notre musique sur le plan universel. Nous œuvrons pour la démocratisation de la musique universelle au profit de tous les Algériens. Pour nos invités d'honneur, ils ont tenu à exprimer leur bonheur d'être ici en Algérie et, plus particulièrement, de participer ces moments de bonheurs avec nos amis algériens. Pour eux, c'est une découverte, une rencontre, un moment de partage. Grâce à la musique universelle, des relations d'interaction se créent, se nouent. Grâce à ce genre d'événement que les rapprochements entre les peuples et les cultures sont favorisés. Etre parmi vous, c'est un plus, une expérience enrichissante. C'est constructif. Et il n'y a pas mieux que la musique universelle pour créer ce genre d'ambiance, de possibilités et moments d'humilité. Il est souligné à propos du parcours du chef d'orchestre Thomas Dubienko, qu'après de premières études de violon avec Nicole Tamestit, il étudie la direction d'orchestre à l'Ecole normale de musique Paris (dont il sort premier nommé), et à la Musikhochschule de Lausanne. Il rencontre ensuite Jorma Panula avec qui il étudie en Suède, en Finlande, et aux Pays-Bas. Il se forme dans le même temps en direction de chœur auprès de Pierre CAO. De 2001 à 2006, il fonde et dirige l'Orchestre de chambre d'Ile-de-France, et est invité à diriger dans divers festivals en France et à l'étranger. Parallèlement à cette formation et cette pratique de direction, il entreprend des études d'écriture, analyse, histoire de la musique. Lauréat du Cnsm de Lyon, il se spécialise dans les langages des XX et XXIe siècles (classe de culture musicale, spécialité théorie de l'analyse) et la pratique de la musique ancienne sur instruments d'époque. En 2010, il fonde un collectif, Sequenzae, qui regroupe des musiciens, des scientifiques, des auteurs, pour échanger sur des thèmes communs, organiser des Masterclasses et favoriser des rencontres entre personnalités reconnues établies et des musiciens en voie de professionnalisation. Il est depuis 2013 directeur artistique du Festival « Rencontres musicales en Aveyron ». Quant au talentueux violoniste Alain Arias a commencé l'apprentissage du violon à l'ENM (Ecole nationale de musique) de Lorient puis, en 2002 obtient le premier prix en violon et en musique de chambre au Conservatoire d'Aulnay, suivi de deux premiers prix d'excellence. Lauréat d'un diplôme de virtuosité et d'un diplôme de concert de la Schola Cantorum de Paris, il obtiendra, avec l'Orchestre Sostenuto et l'Orchestre de chambre de Montpellier, un diplôme de mérite au Torneo Internationale Di Musica en Italie.