Le Front des forces socialistes (FFS) est, à ce jour, le parti qui garde le silence le plus intriguant pour cette élection présidentielle du 17 avril prochain. Si aujourd'hui, il est certain que le FFS ne présentera pas de candidat, le plus vieux parti d'opposition en Algérie n'a pas encore pris de position sur la présidentielle. Le Front des forces socialistes (FFS) est, à ce jour, le parti qui garde le silence le plus intriguant pour cette élection présidentielle du 17 avril prochain. Si aujourd'hui, il est certain que le FFS ne présentera pas de candidat, le plus vieux parti d'opposition en Algérie n'a pas encore pris de position sur la présidentielle. A quelques jours de cette échéance, la fragilité du parti se sent de jour en jour, alors que les débats et les polémiques ne cessent d'alimenter l'actualité politique du pays. Au cours d'une conférence de presse tenue hier à Constantine, le premier secrétaire national de cette formation politique, Ahmed Bettatache a souligné que «la position FFS vis-à-vis de la situation politique dans le pays et des élections présidentielles sera rendue publique vendredi 7 mars à l'issue du conseil national du parti». Durant ce point de presse, il précisera notamment que «le conseil national, organe suprême de délibération, est seul habilité à se prononcer sur les décisions du parti». Soulignant que son parti «a une crédibilité à préserver», M.Bettatache a ajouté que le FFS «n'est pas partisan des accords tacites» et que son parti qui «soutient l'Etat mais pas le régime», «œuvre à la préservation de la stabilité du pays et milite pour le changement pacifique». S'agissant du boycott de l'ouverture de la session de printemps de l'Assemblée populaire nationale (APN) par le groupe parlementaire de son parti, M. Bettatache a considéré que cette session "est purement protocolaire" et que l'APN est devenue, selon lui, "une simple chambre d'enregistrement" évoquant «l'absence de vrais débats» et «l'absence de déclaration de politique générale» et «l'entrave aux initiatives», «ce qui porte atteinte aux libertés», selon lui. M. Bettatache qui s'est félicité de voir sa base militante à Constantine «s'élargir de plus en plus», a indiqué que le groupe parlementaire du FFS qui a initié, à Constantine, des rencontres, se déplacera dans les wilayas de Mila et d'Oum El Bouaghi pour «s'entretenir avec sa base militante avant la tenue du conseil national». Il est à rappeler que le FFS a connu récemment une véritable crise et une série de démissions. D'ailleurs, les anciens cadres du FFS qui ont créé récemment le Forum socialiste pour la liberté et la démocratie ont dénoncé "la dérive politique de leur ancienne formation politique". A quelques jours de cette échéance, la fragilité du parti se sent de jour en jour, alors que les débats et les polémiques ne cessent d'alimenter l'actualité politique du pays. Au cours d'une conférence de presse tenue hier à Constantine, le premier secrétaire national de cette formation politique, Ahmed Bettatache a souligné que «la position FFS vis-à-vis de la situation politique dans le pays et des élections présidentielles sera rendue publique vendredi 7 mars à l'issue du conseil national du parti». Durant ce point de presse, il précisera notamment que «le conseil national, organe suprême de délibération, est seul habilité à se prononcer sur les décisions du parti». Soulignant que son parti «a une crédibilité à préserver», M.Bettatache a ajouté que le FFS «n'est pas partisan des accords tacites» et que son parti qui «soutient l'Etat mais pas le régime», «œuvre à la préservation de la stabilité du pays et milite pour le changement pacifique». S'agissant du boycott de l'ouverture de la session de printemps de l'Assemblée populaire nationale (APN) par le groupe parlementaire de son parti, M. Bettatache a considéré que cette session "est purement protocolaire" et que l'APN est devenue, selon lui, "une simple chambre d'enregistrement" évoquant «l'absence de vrais débats» et «l'absence de déclaration de politique générale» et «l'entrave aux initiatives», «ce qui porte atteinte aux libertés», selon lui. M. Bettatache qui s'est félicité de voir sa base militante à Constantine «s'élargir de plus en plus», a indiqué que le groupe parlementaire du FFS qui a initié, à Constantine, des rencontres, se déplacera dans les wilayas de Mila et d'Oum El Bouaghi pour «s'entretenir avec sa base militante avant la tenue du conseil national». Il est à rappeler que le FFS a connu récemment une véritable crise et une série de démissions. D'ailleurs, les anciens cadres du FFS qui ont créé récemment le Forum socialiste pour la liberté et la démocratie ont dénoncé "la dérive politique de leur ancienne formation politique".