Le patrimoine matériel et immatériel inhérent aux pratiques cérémonielles constitue la thématique centrale d'un colloque national qui s'est tenu dimanche à Oran, a-t-on appris auprès des organisateurs. Le patrimoine matériel et immatériel inhérent aux pratiques cérémonielles constitue la thématique centrale d'un colloque national qui s'est tenu dimanche à Oran, a-t-on appris auprès des organisateurs. Plusieurs chercheurs représentant des universités du pays ont pris part à cette rencontre qui vise à "mettre en exergue la richesse de ce patrimoine et l'intérêt de sa préservation", a précisé le président du comité d'organisation, Mohamed Hireche Baghdad. Les participants se pencheront dans ce cadre sur "La symbolique et l'évolution à travers l'histoire des rituels, des structures (monuments) et des inscriptions", a expliqué M. Baghdad, chercheur permanent à l'Unité de recherche sur la culture, la communication, les langues, les littératures et les arts (UCCLLA), relevantdu Centre national de recherche en anthropologie sociale et culturelle (CRASC), d'Oran. Cette rencontre a permis aux intervenants de "mieux faire comprendre la place qu'occupent les pratiques cérémonielles (comme les rites funéraires) dans le processus social et historique, tout en mesurant leur impact sur les cultures locales", a-t-il fait valoir. Ce colloque a été mis à profit pour susciter l'intérêt des jeunes chercheurs à investir davantage ce domaine pluridisciplinaire qui englobe, entre autres spécialités, l'histoire, l'archéologie, la sociologie, l'anthropologie, la philosophie et l'art. Plusieurs chercheurs représentant des universités du pays ont pris part à cette rencontre qui vise à "mettre en exergue la richesse de ce patrimoine et l'intérêt de sa préservation", a précisé le président du comité d'organisation, Mohamed Hireche Baghdad. Les participants se pencheront dans ce cadre sur "La symbolique et l'évolution à travers l'histoire des rituels, des structures (monuments) et des inscriptions", a expliqué M. Baghdad, chercheur permanent à l'Unité de recherche sur la culture, la communication, les langues, les littératures et les arts (UCCLLA), relevantdu Centre national de recherche en anthropologie sociale et culturelle (CRASC), d'Oran. Cette rencontre a permis aux intervenants de "mieux faire comprendre la place qu'occupent les pratiques cérémonielles (comme les rites funéraires) dans le processus social et historique, tout en mesurant leur impact sur les cultures locales", a-t-il fait valoir. Ce colloque a été mis à profit pour susciter l'intérêt des jeunes chercheurs à investir davantage ce domaine pluridisciplinaire qui englobe, entre autres spécialités, l'histoire, l'archéologie, la sociologie, l'anthropologie, la philosophie et l'art.