Dans la wilaya de Jijel, sur la vingtaine de plages surveillées et autorisées à la baignade, celle du Grand phare, située à 6 km à l'ouest du chef-lieu, reste indéniablement l'une des destinations préférées des estivants Dans la wilaya de Jijel, sur la vingtaine de plages surveillées et autorisées à la baignade, celle du Grand phare, située à 6 km à l'ouest du chef-lieu, reste indéniablement l'une des destinations préférées des estivants Cette portion du littoral, au sable fin et doré et qui s'étend sur près de 2 km, reçoit, chaque été, des milliers de candidats à la trempette dans une eau claire et non polluée, a indiqué l'APS, ajoutant que la silhouette du grand phare, ou Ras el-Afia, lui confère un panorama des plus envoûtants, particulièrement au coucher du soleil. Nombreux sont les photographes, amateurs ou professionnels qui y installent leurs trépieds pour immortaliser ce décor édénique et sublime de la célèbre corniche jijelienne. Depuis la nuit des temps, des oeuvres d'art vantent le charme des lieux sur lesquels veille le phare, un vieil édifice bâti aux alentours de 1865 par un tailleur de pierres du nom de Charles Salva. Cette tour blanche, au sommet de laquelle trône une lanterne rouge, fait partie des merveilles de la corniche jijelienne. Régulièrement, la plage en question fait le plein d'estivants, selon l'APS qui souligne que rien qu'à voir le nombre de véhicules alignés le long de la route nationale reliant Jijel à Béjaïa, l'on se fait une idée sur l'intérêt croissant porté à cette plage sécurisée. L'on y accède par un sentier encore mal aménagé, très étroit, permettant difficilement la circulation de deux véhicules lorsqu'ils s'y croisent. C'est à peu près le seul "défaut" de cet endroit à la beauté ensorcelante. Pour assurer la sécurité et la quiétude des vacanciers ayant choisi la côte du Saphir, des postes de la Protection civile et de la Gendarmerie nationale y sont aménagés. La présence de bambins équipés de bouées, de seaux et d'épuisettes pour des jeux de plage ou s'initiant à la pêche en ramassant moules, oursins et coquillages, ajoutent à l'ambiance colorée de la plage de Ras el-Afia où une kyrielle de parasols et de chaises pliantes, installés sur le sable, complètent le panorama clairsemé de rochers à fleur d'eau, parfois aux formes étranges, façonnées par le mouvement parfois impétueux des flots de la Grand bleue. La plage La crique, à quelques encablures, est une autre merveille très prisée, elle offre un décor à couper le souffle et les rochers de cette portion de plage servent toujours de plongeoirs pour de jeunes nageurs par trop téméraires. Ce petit coin de paradis que l'on découvre au détour d'un virage, à la sortie ouest de Jijel, ne désemplit pas malgré son exiguïté qui fait qu'ici on se dispute chaque centimètre d'espace. Jijel est redevenue une destination touristique très fréquentée durant l'été. Chaque saison estivale, elle accueille plusieurs millions de vacanciers. C'est une vraie transhumance sociale pour un rendez-vous convivial avec la mer et le soleil. Cette portion du littoral, au sable fin et doré et qui s'étend sur près de 2 km, reçoit, chaque été, des milliers de candidats à la trempette dans une eau claire et non polluée, a indiqué l'APS, ajoutant que la silhouette du grand phare, ou Ras el-Afia, lui confère un panorama des plus envoûtants, particulièrement au coucher du soleil. Nombreux sont les photographes, amateurs ou professionnels qui y installent leurs trépieds pour immortaliser ce décor édénique et sublime de la célèbre corniche jijelienne. Depuis la nuit des temps, des oeuvres d'art vantent le charme des lieux sur lesquels veille le phare, un vieil édifice bâti aux alentours de 1865 par un tailleur de pierres du nom de Charles Salva. Cette tour blanche, au sommet de laquelle trône une lanterne rouge, fait partie des merveilles de la corniche jijelienne. Régulièrement, la plage en question fait le plein d'estivants, selon l'APS qui souligne que rien qu'à voir le nombre de véhicules alignés le long de la route nationale reliant Jijel à Béjaïa, l'on se fait une idée sur l'intérêt croissant porté à cette plage sécurisée. L'on y accède par un sentier encore mal aménagé, très étroit, permettant difficilement la circulation de deux véhicules lorsqu'ils s'y croisent. C'est à peu près le seul "défaut" de cet endroit à la beauté ensorcelante. Pour assurer la sécurité et la quiétude des vacanciers ayant choisi la côte du Saphir, des postes de la Protection civile et de la Gendarmerie nationale y sont aménagés. La présence de bambins équipés de bouées, de seaux et d'épuisettes pour des jeux de plage ou s'initiant à la pêche en ramassant moules, oursins et coquillages, ajoutent à l'ambiance colorée de la plage de Ras el-Afia où une kyrielle de parasols et de chaises pliantes, installés sur le sable, complètent le panorama clairsemé de rochers à fleur d'eau, parfois aux formes étranges, façonnées par le mouvement parfois impétueux des flots de la Grand bleue. La plage La crique, à quelques encablures, est une autre merveille très prisée, elle offre un décor à couper le souffle et les rochers de cette portion de plage servent toujours de plongeoirs pour de jeunes nageurs par trop téméraires. Ce petit coin de paradis que l'on découvre au détour d'un virage, à la sortie ouest de Jijel, ne désemplit pas malgré son exiguïté qui fait qu'ici on se dispute chaque centimètre d'espace. Jijel est redevenue une destination touristique très fréquentée durant l'été. Chaque saison estivale, elle accueille plusieurs millions de vacanciers. C'est une vraie transhumance sociale pour un rendez-vous convivial avec la mer et le soleil.
