Le risque sismique et les catastrophes naturelles sont assimilés à une véritable menace sur la capitale. Alger doit bénéficier d'un plan Orsec dans l'immédiat d'autant que les experts concluent à la responsabilité du gouvernement sur ce dossier. Le risque sismique et les catastrophes naturelles sont assimilés à une véritable menace sur la capitale. Alger doit bénéficier d'un plan Orsec dans l'immédiat d'autant que les experts concluent à la responsabilité du gouvernement sur ce dossier. Après l'émoi subi par la population d'Alger et les villes avoisinantes suite à la forte secousse tellurique de vendredi dernier, les analystes du risque de séisme et des catastrophes naturelles concluent à la « nécessité de mettre en urgence un plan Orsec national » à titre préventif sur d'éventuels séismes ou catastrophes qui peuvent ébranler la capitale et sa périphérie dont le Craag a précisé qu'elle est entouré de 4 failles présentant un grand aléa sismique. Abdeslem Chelghoum, un expert en génie parasismique, estime « qu'il faut absolument protéger la ville en renforçant le vieux bâti ». Alger, qui compte actuellement près de 4.000 immeubles, voit ses vieilles bâtisses menacées de ruine après l'effondrement de 400 vieilles demeures durant ces 5 dernières années. A Alger, Oran et Constantine, des centaines d'habitations datant de l'époque coloniale ont été classées par le CTC orange ou rouge, leurs habitants devraient être évacués ces jours-ci. Des familles entières, vivant dans l'angoisse de l'effondrement de leurs plafonds en cas de séisme de haute magnitude, attendent dans l'urgence un nouveau toit. Pour le Pr Belgherbi, spécialiste en génie civil, « les constructions portant mention rouge ne sont plus habitables, les autorités doivent les évacuer dans l'immédiat car ces bâtisses ne résisteront plus ces jours-ci ». De plus, le vote d'un plan Orsec qui a été prévu depuis 2006 a été relégué en second plan. Pourtant selon un document d'analyse sur « les risques majeurs et aléas sismiques en Algérie », les différents spécialistes recommandent carrément le déplacement de la capitale. Ils exhortent les autorités à interdire les constructions sur les hauteurs, de limiter les paliers de construction à R+5 et de ne pas ériger de maisons autour des vals et cuvettes. Ces méthodes sont dénoncées comme fatales en cas de survenue d'une catastrophe naturelle ou d'un séisme de haute magnitude. Le respect de la construction selon la réglementation parasismique constitue le point nodal dont les pouvoirs publics doivent la soumettre obligatoirement. Après l'émoi subi par la population d'Alger et les villes avoisinantes suite à la forte secousse tellurique de vendredi dernier, les analystes du risque de séisme et des catastrophes naturelles concluent à la « nécessité de mettre en urgence un plan Orsec national » à titre préventif sur d'éventuels séismes ou catastrophes qui peuvent ébranler la capitale et sa périphérie dont le Craag a précisé qu'elle est entouré de 4 failles présentant un grand aléa sismique. Abdeslem Chelghoum, un expert en génie parasismique, estime « qu'il faut absolument protéger la ville en renforçant le vieux bâti ». Alger, qui compte actuellement près de 4.000 immeubles, voit ses vieilles bâtisses menacées de ruine après l'effondrement de 400 vieilles demeures durant ces 5 dernières années. A Alger, Oran et Constantine, des centaines d'habitations datant de l'époque coloniale ont été classées par le CTC orange ou rouge, leurs habitants devraient être évacués ces jours-ci. Des familles entières, vivant dans l'angoisse de l'effondrement de leurs plafonds en cas de séisme de haute magnitude, attendent dans l'urgence un nouveau toit. Pour le Pr Belgherbi, spécialiste en génie civil, « les constructions portant mention rouge ne sont plus habitables, les autorités doivent les évacuer dans l'immédiat car ces bâtisses ne résisteront plus ces jours-ci ». De plus, le vote d'un plan Orsec qui a été prévu depuis 2006 a été relégué en second plan. Pourtant selon un document d'analyse sur « les risques majeurs et aléas sismiques en Algérie », les différents spécialistes recommandent carrément le déplacement de la capitale. Ils exhortent les autorités à interdire les constructions sur les hauteurs, de limiter les paliers de construction à R+5 et de ne pas ériger de maisons autour des vals et cuvettes. Ces méthodes sont dénoncées comme fatales en cas de survenue d'une catastrophe naturelle ou d'un séisme de haute magnitude. Le respect de la construction selon la réglementation parasismique constitue le point nodal dont les pouvoirs publics doivent la soumettre obligatoirement.