Le FFS, qui a fait une campagne de sensibilisation sur son projet, plaide en faveur d'une certaine équité politique entre tous les acteurs politiques en appelant à faire taire les différences idéologiques et d'aller vers la construction d'un Etat de droit. Le FFS, qui a fait une campagne de sensibilisation sur son projet, plaide en faveur d'une certaine équité politique entre tous les acteurs politiques en appelant à faire taire les différences idéologiques et d'aller vers la construction d'un Etat de droit. Le secrétaire national du FFS, Mohamed Nebou, a tenu à expliquer la démarche de son parti autour de la conférence nationale du consensus. Il fustige ceux qui le placent dans le giron du pouvoir. Le parti, martèle-t-il, « ne veut pas casser l'opposition ». Après un silence assez long, le premier responsable du FFS a clarifié l'initiative de la conférence nationale du consensus qui doit se tenir les 23 et 24 février prochain. Dans une lettre publiée sur son site internet, Mohamed Nebou a remis les pendules à l'heure à l'endroit de ses détracteurs, considérant que la démarche en question s'inspire des expériences passées. Le dialogue politique auquel il souhaite faire adhérer la classe politique n'a d'autre objectif que de mettre en place une relation de confiance entre les acteurs politiques et de faire valoir un dialogue entre opposition et pouvoir de nature "à éloigner le spectre du danger qui guette le pays". Il fait allusion à certains partisans de l'extérieur s'ingérant dans les affaires internes en Algérie en ouvrant la voie à l'intervention. Le FFS, qui nuance ses déclarations, ne veut pas entrer en guerre contre l'opposition. Le premier secrétaire du parti réitère plutôt que le FFS "ne s'insère pas dans la dynamique de casser l'opposition". Et il cite nommément la CNLTD et le Pôle de changement de Benflis dont il estime que l'unification est une première dans l'histoire du pays. Le plus vieux parti de l'opposition tente, par le biais de cette sortie, de ne pas comptabiliser des adversaires politiques inutilement. Il le fait savoir explicitement. Le FFS, qui a fait une campagne de sensibilisation sur son projet, plaide en faveur d'une certaine "équité politique" entre tous les acteurs politiques en appelant lors de cette conférence à faire taire les différences idéologiques et d'aller vers la "construction d'un Etat de droit". C'est que pour certains, cette idée n'est pas cautionnée par tous. La CNLTD, qui a fustigé cette démarche en mettant un rapport de proximité entre le FFS et le pouvoir, n'est pas de nature à trouver une nouvelle compromission ou une alliance entre FFS et opposition. Le parti de Nebou veut mettre terme aux "clichés et partis pris" en ce qui concerne son projet politique de réunir pourvoir et partis politiques quelles que soient leurs couleurs. L'idée de rapprochement existe déjà depuis les élections de 2009 mais n'avait pas été mise sur pied étant donné le contexte de l'époque. Il récidive au lendemain de l'élection de 2014 en soulignant que "l'opposition a un terrain propice pour s'unir autour d'un dialogue commun". Sauf que cette fois, le FFS a creusé le fossé en invitant des partis comme le FLN et le RND à le soutenir. Chose que l'opposition réfute et critique vertement. Mais attendu son expérience et sa connaissance les rouages du pouvoir, le vieux parti espère récolter les dividendes de son initiative. Le secrétaire national du FFS, Mohamed Nebou, a tenu à expliquer la démarche de son parti autour de la conférence nationale du consensus. Il fustige ceux qui le placent dans le giron du pouvoir. Le parti, martèle-t-il, « ne veut pas casser l'opposition ». Après un silence assez long, le premier responsable du FFS a clarifié l'initiative de la conférence nationale du consensus qui doit se tenir les 23 et 24 février prochain. Dans une lettre publiée sur son site internet, Mohamed Nebou a remis les pendules à l'heure à l'endroit de ses détracteurs, considérant que la démarche en question s'inspire des expériences passées. Le dialogue politique auquel il souhaite faire adhérer la classe politique n'a d'autre objectif que de mettre en place une relation de confiance entre les acteurs politiques et de faire valoir un dialogue entre opposition et pouvoir de nature "à éloigner le spectre du danger qui guette le pays". Il fait allusion à certains partisans de l'extérieur s'ingérant dans les affaires internes en Algérie en ouvrant la voie à l'intervention. Le FFS, qui nuance ses déclarations, ne veut pas entrer en guerre contre l'opposition. Le premier secrétaire du parti réitère plutôt que le FFS "ne s'insère pas dans la dynamique de casser l'opposition". Et il cite nommément la CNLTD et le Pôle de changement de Benflis dont il estime que l'unification est une première dans l'histoire du pays. Le plus vieux parti de l'opposition tente, par le biais de cette sortie, de ne pas comptabiliser des adversaires politiques inutilement. Il le fait savoir explicitement. Le FFS, qui a fait une campagne de sensibilisation sur son projet, plaide en faveur d'une certaine "équité politique" entre tous les acteurs politiques en appelant lors de cette conférence à faire taire les différences idéologiques et d'aller vers la "construction d'un Etat de droit". C'est que pour certains, cette idée n'est pas cautionnée par tous. La CNLTD, qui a fustigé cette démarche en mettant un rapport de proximité entre le FFS et le pouvoir, n'est pas de nature à trouver une nouvelle compromission ou une alliance entre FFS et opposition. Le parti de Nebou veut mettre terme aux "clichés et partis pris" en ce qui concerne son projet politique de réunir pourvoir et partis politiques quelles que soient leurs couleurs. L'idée de rapprochement existe déjà depuis les élections de 2009 mais n'avait pas été mise sur pied étant donné le contexte de l'époque. Il récidive au lendemain de l'élection de 2014 en soulignant que "l'opposition a un terrain propice pour s'unir autour d'un dialogue commun". Sauf que cette fois, le FFS a creusé le fossé en invitant des partis comme le FLN et le RND à le soutenir. Chose que l'opposition réfute et critique vertement. Mais attendu son expérience et sa connaissance les rouages du pouvoir, le vieux parti espère récolter les dividendes de son initiative.