HSBC a admis des manquements en matière de respect des procédures internes et de contrôle au sein de sa filiale suisse après la publication par plusieurs médias d'informations suggérant que cette filiale aurait aidé des clients à dissimuler au fisc des milliards de dollars d'actifs. HSBC a admis des manquements en matière de respect des procédures internes et de contrôle au sein de sa filiale suisse après la publication par plusieurs médias d'informations suggérant que cette filiale aurait aidé des clients à dissimuler au fisc des milliards de dollars d'actifs. La Banque d'Angleterre (BoE) pourrait ouvrir une enquête sur les informations selon lesquelles HSBC a aidé certains de ses clients à pratiquer l'évasion fiscale, a déclaré l'un de ses principaux responsables. "Les allégations autour de HSBC soulèvent des questions graves sur la conduite de HSBC", a dit à la BBC Jon Cunliffe, le gouverneur adjoint de la BoE chargé de la stabilité financière. "Nous devrions être en mesure d'attendre de la direction d'un groupe important qu'il fasse en sorte que la culture et les activités de ce groupe puissent permettre de maîtriser ce type de risques", a-t-il ajouté. "Il est certain que c'est une question qui pourrait être de notre ressort." HSBC a admis dimanche des "manquements" en matière de respect des procédures internes et de contrôle au sein de sa filiale suisse de banque privée, après la publication par plusieurs médias d'informations suggérant que cette filiale a aidé des clients à dissimuler au fisc des milliards de dollars d'actifs jusqu'en 2007. Au Royaume-Uni, la banque est sous l'autorité de la Prudential Regulation Authority (PRA), émanation de la Banque d'Angleterre en matière de respect des règles prudentielles, notamment sur les fonds propres. Le directeur général de la PRA, Andrew Bailey, a déclaré que l'inflation des amendes et autres sanctions infligées aux banques pour des infractions à la réglementation était susceptible de les déstabiliser. De son côté, la Financial Conduct Authority (FCA), qui peut infliger des amendes aux banques et interdire certaines activités à leurs salariés et dirigeants, se refuse à tout commentaire sur la situation d'un établissement en particulier. Quant au Serious Fraud Office, le service d'enquête sur les fraudes à grande échelle, il s'est dit jeudi prêt à débattre du dossier HSBC avec le HRMC, le fisc britannique. Le directeur général de HSBC, Stuart Gulliver, a dit vendredi que l'établissement avait parfois failli à sa réputation par le passé mais ajouté que la filiale suisse de banque privée avait été remaniée et que certaines personnes qui, selon les médias, auraient été clientes de la banque ne l'étaient pas en réalité. La Banque d'Angleterre (BoE) pourrait ouvrir une enquête sur les informations selon lesquelles HSBC a aidé certains de ses clients à pratiquer l'évasion fiscale, a déclaré l'un de ses principaux responsables. "Les allégations autour de HSBC soulèvent des questions graves sur la conduite de HSBC", a dit à la BBC Jon Cunliffe, le gouverneur adjoint de la BoE chargé de la stabilité financière. "Nous devrions être en mesure d'attendre de la direction d'un groupe important qu'il fasse en sorte que la culture et les activités de ce groupe puissent permettre de maîtriser ce type de risques", a-t-il ajouté. "Il est certain que c'est une question qui pourrait être de notre ressort." HSBC a admis dimanche des "manquements" en matière de respect des procédures internes et de contrôle au sein de sa filiale suisse de banque privée, après la publication par plusieurs médias d'informations suggérant que cette filiale a aidé des clients à dissimuler au fisc des milliards de dollars d'actifs jusqu'en 2007. Au Royaume-Uni, la banque est sous l'autorité de la Prudential Regulation Authority (PRA), émanation de la Banque d'Angleterre en matière de respect des règles prudentielles, notamment sur les fonds propres. Le directeur général de la PRA, Andrew Bailey, a déclaré que l'inflation des amendes et autres sanctions infligées aux banques pour des infractions à la réglementation était susceptible de les déstabiliser. De son côté, la Financial Conduct Authority (FCA), qui peut infliger des amendes aux banques et interdire certaines activités à leurs salariés et dirigeants, se refuse à tout commentaire sur la situation d'un établissement en particulier. Quant au Serious Fraud Office, le service d'enquête sur les fraudes à grande échelle, il s'est dit jeudi prêt à débattre du dossier HSBC avec le HRMC, le fisc britannique. Le directeur général de HSBC, Stuart Gulliver, a dit vendredi que l'établissement avait parfois failli à sa réputation par le passé mais ajouté que la filiale suisse de banque privée avait été remaniée et que certaines personnes qui, selon les médias, auraient été clientes de la banque ne l'étaient pas en réalité.