L'Ecole supérieure de la Gendarmerie nationale des Issers (Boumerdès) a abrité hier une cérémonie de sortie de 4 promotions d'officiers, présidée par le Commandant de la Gendarmerie nationale, le général-major, Ahmed Bousteila, en présence des autorités civiles, militaires et judicaires. L'Ecole supérieure de la Gendarmerie nationale des Issers (Boumerdès) a abrité hier une cérémonie de sortie de 4 promotions d'officiers, présidée par le Commandant de la Gendarmerie nationale, le général-major, Ahmed Bousteila, en présence des autorités civiles, militaires et judicaires. Il s'agit de 138 officiers de la 18e promotion du Cours d'état-major dont des stagiaires issus de pays étrangers (Palestine, Sahara occidental, Mauritanie, Mali), 108 officiers de la 47e promotion du Cours de perfectionnement et 440 officiers des 47e et 48e promotions de la Formation professionnelle dont 30 filles et des étrangers (Mauritaniens, Nigériens et Maliens). Ces nouveaux éléments viendront renforcer les rangs de la Gendarmerie nationale (GN) pour être orientés vers l'exercice de leurs missions dans les différentes unités de la GN (unités territoriales, sécurité routière, gardes-frontières, unités d'intervention,...) réparties sur l'ensemble du territoire national. Baptisée du nom du martyr de la guerre de Libération nationale, Meghraoui Mohamed, cette promotion vient en apothéose pour couronner un cursus "d'efforts et de sacrifices", pour la formation d'officiers "compétents et aptes à exercer leurs fonctions futures avec professionnalisme et garantir en toutes circonstances, l'exécution des lois de la République" et assurer ainsi la sécurité du citoyen et de ses biens. Elle concerne des officiers qui sont détenteurs de diplômes universitaires et ayant passé avec succès leur examen de fin de stage devant une commission mixte composée de magistrats et d'officiers de la Gendarmerie nationale. L'Ecole supérieure de la Gendarmerie nationale des Issers oeuvre, selon ses responsables, avec "abnégation à préparer des cadres capables d'assumer leurs responsabilités professionnelles, et - de répondre aux préoccupations et aux attentes de l'institution et du citoyen" selon un programme de formation adapté aux exigences d'une lutte moderne, intelligente et efficace contre la criminalité sous toutes ses formes. Dans ce contexte, il convient de souligner que le Commandement de la Gendarmerie nationale, fait de la formation la « clef » de réussite de sa stratégie de lutte contre la criminalité, qui doit permettre aux gendarmes la maîtrise des moyens modernes en dotation dans les unités et surtout de les rentabiliser au cours de l'accomplissement de leurs tâches quotidiennes. Il est à rappeler que le général-major, Ahmed Bousteila a présidé déjà il y a quelques jours, à l'école des sous-officiers de la GN de Sétif, une cérémonie de sortie de trois promotions de 2440 éléments qui ont subi une formation de 24 mois dont la plus importante est la 55e promotion des agents de la Police judicaire qui compte plus de 2.000 gendarmes. Les autres promos ont concerné le certificat militaires et professionnel 2, spécialité administration, et le brevet militaire professionnel 1, spécialité administration. Il s'agit de 138 officiers de la 18e promotion du Cours d'état-major dont des stagiaires issus de pays étrangers (Palestine, Sahara occidental, Mauritanie, Mali), 108 officiers de la 47e promotion du Cours de perfectionnement et 440 officiers des 47e et 48e promotions de la Formation professionnelle dont 30 filles et des étrangers (Mauritaniens, Nigériens et Maliens). Ces nouveaux éléments viendront renforcer les rangs de la Gendarmerie nationale (GN) pour être orientés vers l'exercice de leurs missions dans les différentes unités de la GN (unités territoriales, sécurité routière, gardes-frontières, unités d'intervention,...) réparties sur l'ensemble du territoire national. Baptisée du nom du martyr de la guerre de Libération nationale, Meghraoui Mohamed, cette promotion vient en apothéose pour couronner un cursus "d'efforts et de sacrifices", pour la formation d'officiers "compétents et aptes à exercer leurs fonctions futures avec professionnalisme et garantir en toutes circonstances, l'exécution des lois de la République" et assurer ainsi la sécurité du citoyen et de ses biens. Elle concerne des officiers qui sont détenteurs de diplômes universitaires et ayant passé avec succès leur examen de fin de stage devant une commission mixte composée de magistrats et d'officiers de la Gendarmerie nationale. L'Ecole supérieure de la Gendarmerie nationale des Issers oeuvre, selon ses responsables, avec "abnégation à préparer des cadres capables d'assumer leurs responsabilités professionnelles, et - de répondre aux préoccupations et aux attentes de l'institution et du citoyen" selon un programme de formation adapté aux exigences d'une lutte moderne, intelligente et efficace contre la criminalité sous toutes ses formes. Dans ce contexte, il convient de souligner que le Commandement de la Gendarmerie nationale, fait de la formation la « clef » de réussite de sa stratégie de lutte contre la criminalité, qui doit permettre aux gendarmes la maîtrise des moyens modernes en dotation dans les unités et surtout de les rentabiliser au cours de l'accomplissement de leurs tâches quotidiennes. Il est à rappeler que le général-major, Ahmed Bousteila a présidé déjà il y a quelques jours, à l'école des sous-officiers de la GN de Sétif, une cérémonie de sortie de trois promotions de 2440 éléments qui ont subi une formation de 24 mois dont la plus importante est la 55e promotion des agents de la Police judicaire qui compte plus de 2.000 gendarmes. Les autres promos ont concerné le certificat militaires et professionnel 2, spécialité administration, et le brevet militaire professionnel 1, spécialité administration.