Le syndicat du SNPAPAP appelle les pouvoirs publics à ne pas appliquer l'austérité sur les travailleurs. Il exhorte les autorités à revoir la pension de la retraite, la liberté syndicale et l'application de la parité du pouvoir d'achat avec les salaires. Le syndicat du SNPAPAP appelle les pouvoirs publics à ne pas appliquer l'austérité sur les travailleurs. Il exhorte les autorités à revoir la pension de la retraite, la liberté syndicale et l'application de la parité du pouvoir d'achat avec les salaires. Le Syndicat national autonome des personnels de l'administration publique sort de son mutisme. Sa récente réunion qui a regroupé les membres de son conseil n'a pas manqué d'interpeller les autorités sur le marasme que vivent les fonctionnaires du secteur public. Selon Rachid Malaoui, le SG du syndicat « les fonctionnaires de tous les corps de la Fonction publique sont dans une situation d'exclusion des dernières recommandations de la tripartite». En effet, les estimations du syndicat à ce propos rapportent que 700.000 fonctionnaires n'ont pas reçu leurs indemnités dont l'objet de la recommandation a été approuvé lors de la dernière tripartite. Ce qui se traduit par une grogne de tous les corps communs des secteurs comme l'éducation, la santé et les collectivités locales qui ne comprennent pas pourquoi cette attitude de la part des autorités. Le Snapap qui a réussi à mobiliser des milliers de ses membres ne compte pas se taire. Son SG qui mène le front de guerre à l'endroit des pouvoirs publics, ne mâche pas ses mots. Il considère que l'Etat doit absolument sauver la Fonction publique dont la peur actuellement ronge les syndicalistes. C'est la peur de la compression des effectifs qui met dans l'embarras le Snapap qui croit que 500.000 fonctionnaires seraient menacés d'être mis à la porte. Une information qui n'a pas été vérifiée ni validée par le gouvernement. D'autre part, la contestation qui se laisse poindre est motivée également par des dossiers qui sont à la traîne selon le syndicat. Il s'agit de révision du statut général de la Fonction publique que le Snapap réclame haut et fort. Le deuxième point est en liaison avec l'article 87 bis qui a été abrogé et qui selon Rachid Malaoui représente des « miettes » pour le travailleur dans la Fonction publique. Une hausse de 3000 DA dans la catégorie moyenne des travailleurs de la Fonction publique n'est rien comparativement au pouvoir d'achat qui se dégrade de plus en plus. C'est dans ce cadre que le porteparole du syndicat appelle à reconsidérer l'enjeu de la parité des salaires avec le pouvoir d'achat. L'autre axe sur lequel s'appuie la revendication du Snapap est relatif à la retraite. Selon ce dernier « il n'est pas significatif de porter l'âge de la retraite à 62 ans » mais il est important de « revoir les mécanismes de la cotisation sociale ». Les caisses de sécurité sociale qui sont selon le SG du Snapap dans le rouge, doivent trouver une issue salvatrice. Surtout si l'on sait que 40% des salariés sont dans la Fonction publique. Pour mettre la pression, le syndicat des fonctionnaires publics va se mettre à l'épreuve du terrain à travers des sit-in de protesta qu'il compte organiser au courant du mois de décembre prochain. Dans le contexte qui va s'annoncer plutôt chaud, le syndicat va livrer bataille aux autorités concernant la liberté syndicale. C'est la création de la Confédération algérienne des syndicats autonomes qui a été reportée à maintes reprises par le gouvernement qui fait jaser ce syndicat. Le SG du Snapap compte saisir les instances internationales dont le BIT et la FIDH pour une action à large échelle d'où il peut espérer un revirement du pouvoir sur la question de la liberté syndicale. Le Syndicat national autonome des personnels de l'administration publique sort de son mutisme. Sa récente réunion qui a regroupé les membres de son conseil n'a pas manqué d'interpeller les autorités sur le marasme que vivent les fonctionnaires du secteur public. Selon Rachid Malaoui, le SG du syndicat « les fonctionnaires de tous les corps de la Fonction publique sont dans une situation d'exclusion des dernières recommandations de la tripartite». En effet, les estimations du syndicat à ce propos rapportent que 700.000 fonctionnaires n'ont pas reçu leurs indemnités dont l'objet de la recommandation a été approuvé lors de la dernière tripartite. Ce qui se traduit par une grogne de tous les corps communs des secteurs comme l'éducation, la santé et les collectivités locales qui ne comprennent pas pourquoi cette attitude de la part des autorités. Le Snapap qui a réussi à mobiliser des milliers de ses membres ne compte pas se taire. Son SG qui mène le front de guerre à l'endroit des pouvoirs publics, ne mâche pas ses mots. Il considère que l'Etat doit absolument sauver la Fonction publique dont la peur actuellement ronge les syndicalistes. C'est la peur de la compression des effectifs qui met dans l'embarras le Snapap qui croit que 500.000 fonctionnaires seraient menacés d'être mis à la porte. Une information qui n'a pas été vérifiée ni validée par le gouvernement. D'autre part, la contestation qui se laisse poindre est motivée également par des dossiers qui sont à la traîne selon le syndicat. Il s'agit de révision du statut général de la Fonction publique que le Snapap réclame haut et fort. Le deuxième point est en liaison avec l'article 87 bis qui a été abrogé et qui selon Rachid Malaoui représente des « miettes » pour le travailleur dans la Fonction publique. Une hausse de 3000 DA dans la catégorie moyenne des travailleurs de la Fonction publique n'est rien comparativement au pouvoir d'achat qui se dégrade de plus en plus. C'est dans ce cadre que le porteparole du syndicat appelle à reconsidérer l'enjeu de la parité des salaires avec le pouvoir d'achat. L'autre axe sur lequel s'appuie la revendication du Snapap est relatif à la retraite. Selon ce dernier « il n'est pas significatif de porter l'âge de la retraite à 62 ans » mais il est important de « revoir les mécanismes de la cotisation sociale ». Les caisses de sécurité sociale qui sont selon le SG du Snapap dans le rouge, doivent trouver une issue salvatrice. Surtout si l'on sait que 40% des salariés sont dans la Fonction publique. Pour mettre la pression, le syndicat des fonctionnaires publics va se mettre à l'épreuve du terrain à travers des sit-in de protesta qu'il compte organiser au courant du mois de décembre prochain. Dans le contexte qui va s'annoncer plutôt chaud, le syndicat va livrer bataille aux autorités concernant la liberté syndicale. C'est la création de la Confédération algérienne des syndicats autonomes qui a été reportée à maintes reprises par le gouvernement qui fait jaser ce syndicat. Le SG du Snapap compte saisir les instances internationales dont le BIT et la FIDH pour une action à large échelle d'où il peut espérer un revirement du pouvoir sur la question de la liberté syndicale.