Le documentaire français Les messagers, mettant en lumière le drame des migrants subsahariens, a été projeté dimanche soir en hors-compétition au Festival d'Annaba du film méditerranéen (FAFM). Le documentaire français Les messagers, mettant en lumière le drame des migrants subsahariens, a été projeté dimanche soir en hors-compétition au Festival d'Annaba du film méditerranéen (FAFM). Coréalisé par les réalisatrices françaises Hélène Crouzillat et Laetitia Tura, ce film sorti en 2015 donne la parole aux migrants qui racontent les exactions et les mauvais traitements inhumains qu'ils subissent. Recueillis auprès de migrants subsahariens, ces rescapés de naufrage témoignent face à la caméra de la façon dont ils frôlé la mort qui a emporté leurs compagnons de route. Emouvant, le documentaire s'interroge sur la mort et la disparition de migrants subsahariens qui ont tenté de rejoindre clandestinement la frontière espagnole via le Maroc. Le documentaire se déroule dans un décor naturel. Des éléments naturels comme la mer, le désert et les sépultures, renvoient à un milieu hostile et dangereux et donnent au film une dimension universelle. Le choix de plans cadrés et les images fixes est imposé par le sujet du documentaire, focalisé sur le message des migrants. Outre l'Algérie, douze pays, dont la Tunisie, la France, la Palestine et le Liban participent à cette édition qui se poursuit jusqu'au 9 décembre à Annaba. Coréalisé par les réalisatrices françaises Hélène Crouzillat et Laetitia Tura, ce film sorti en 2015 donne la parole aux migrants qui racontent les exactions et les mauvais traitements inhumains qu'ils subissent. Recueillis auprès de migrants subsahariens, ces rescapés de naufrage témoignent face à la caméra de la façon dont ils frôlé la mort qui a emporté leurs compagnons de route. Emouvant, le documentaire s'interroge sur la mort et la disparition de migrants subsahariens qui ont tenté de rejoindre clandestinement la frontière espagnole via le Maroc. Le documentaire se déroule dans un décor naturel. Des éléments naturels comme la mer, le désert et les sépultures, renvoient à un milieu hostile et dangereux et donnent au film une dimension universelle. Le choix de plans cadrés et les images fixes est imposé par le sujet du documentaire, focalisé sur le message des migrants. Outre l'Algérie, douze pays, dont la Tunisie, la France, la Palestine et le Liban participent à cette édition qui se poursuit jusqu'au 9 décembre à Annaba.