Le P.-DG de Sonelgaz estime que les riches peuvent payer cher la facture d'électricité précisant que "l'Etat, les entreprises et les citoyens sont de mauvais payeurs. Il faut appliquer la règle. Si les clients et les abonnés ne payent pas au bout de 15 jours, on vous coupe le courant électrique". Le P.-DG de Sonelgaz estime que les riches peuvent payer cher la facture d'électricité précisant que "l'Etat, les entreprises et les citoyens sont de mauvais payeurs. Il faut appliquer la règle. Si les clients et les abonnés ne payent pas au bout de 15 jours, on vous coupe le courant électrique". Noureddine Bouterfa a ,en effet, stigmatisé les fraudeurs qui utilisent illégalement les installations de Sonelgaz, soulignant que "des plaintes sont systématiquement déposées devant les juridictions compétentes pour le recouvrement des créances". Il explique qu'il devient impérieux de trouver des chemins de collaboration avec les autorités locales afin d'améliorer la qualité des services et le développement des régions en créant, notamment des filiales de transport et de distribution sachant qu'il y a 41 entreprises du groupe Sonelgaz qui activent aujourd'hui. Il s'agit donc de savoir quel est le mode de management et de gestion en ce sens que dans le monde les grandes et importantes entreprises sont celles qui réalisent des dividendes. "Il est nécessaire d'aller vers l'efficacité de gestion en valorisant le dinar" a-t-il dit. Le boss de Sonelgaz affirme que des milliers DA sont à chercher dans les banques, il faut créer de l'argent car il n' y a pas de liquidités et le client doit payer l'électricité selon son pouvoir d'achat. "Pourquoi tout le monde paie le même prix d'électricité ?" s'est-il interrogé. Aussi Bouterfa indique que les pouvoirs publics sont sollicités pour les couvertures financières à travers un programme de développement et d'assainissement financier du groupe. Il faut recourir également au marché international des investissements futurs, selon le conférencier. Il existe un déficit de 95 milliards DA à Sonelgaz alors que les revenus requis sont de l'ordre de 400 milliards DA, donc, il devient impérieux et nécessaire de rattraper 190 milliards DA. Pour lui, il y a lieu d'établir la vérité des prix mais le chemin est long à parcourir. Le conférencier a rappelé que les revenus de l'Etat sont drastiques suite à l'effondrement des cours du baril du pétrole, cependant, il revendique une solution pérenne pour réaliser des investissements en notant que 2.800 milliards DA doivent être mobilisés d'ici 2017. Sonelgaz estime que 2.800 milliards DA sont insuffisants pour boucler le programme, mais recommande le management moderne et positif ainsi que la conduite des projets en leur conférant une valeur ajoutée avec un minimum d'investissements, et cela sans remettre en cause la cohésion sociale. Il est plus que nécessaire donc d'améliorer la santé financière du groupe sachant que les contraintes financières sont importantes d'où un nécessaire recouvrement financier de l'Etat évalué à plus de 95 milliards DA. Noureddine Bouterfa a ,en effet, stigmatisé les fraudeurs qui utilisent illégalement les installations de Sonelgaz, soulignant que "des plaintes sont systématiquement déposées devant les juridictions compétentes pour le recouvrement des créances". Il explique qu'il devient impérieux de trouver des chemins de collaboration avec les autorités locales afin d'améliorer la qualité des services et le développement des régions en créant, notamment des filiales de transport et de distribution sachant qu'il y a 41 entreprises du groupe Sonelgaz qui activent aujourd'hui. Il s'agit donc de savoir quel est le mode de management et de gestion en ce sens que dans le monde les grandes et importantes entreprises sont celles qui réalisent des dividendes. "Il est nécessaire d'aller vers l'efficacité de gestion en valorisant le dinar" a-t-il dit. Le boss de Sonelgaz affirme que des milliers DA sont à chercher dans les banques, il faut créer de l'argent car il n' y a pas de liquidités et le client doit payer l'électricité selon son pouvoir d'achat. "Pourquoi tout le monde paie le même prix d'électricité ?" s'est-il interrogé. Aussi Bouterfa indique que les pouvoirs publics sont sollicités pour les couvertures financières à travers un programme de développement et d'assainissement financier du groupe. Il faut recourir également au marché international des investissements futurs, selon le conférencier. Il existe un déficit de 95 milliards DA à Sonelgaz alors que les revenus requis sont de l'ordre de 400 milliards DA, donc, il devient impérieux et nécessaire de rattraper 190 milliards DA. Pour lui, il y a lieu d'établir la vérité des prix mais le chemin est long à parcourir. Le conférencier a rappelé que les revenus de l'Etat sont drastiques suite à l'effondrement des cours du baril du pétrole, cependant, il revendique une solution pérenne pour réaliser des investissements en notant que 2.800 milliards DA doivent être mobilisés d'ici 2017. Sonelgaz estime que 2.800 milliards DA sont insuffisants pour boucler le programme, mais recommande le management moderne et positif ainsi que la conduite des projets en leur conférant une valeur ajoutée avec un minimum d'investissements, et cela sans remettre en cause la cohésion sociale. Il est plus que nécessaire donc d'améliorer la santé financière du groupe sachant que les contraintes financières sont importantes d'où un nécessaire recouvrement financier de l'Etat évalué à plus de 95 milliards DA.