L' ICSO compte convaincre plusieurs personnalités de prendre part à son deuxième congrès qui intervient presque deux années après la première édition qui s'est tenue à l'hotel Mazafran de Zeralda le 10 juin 2014. L' ICSO compte convaincre plusieurs personnalités de prendre part à son deuxième congrès qui intervient presque deux années après la première édition qui s'est tenue à l'hotel Mazafran de Zeralda le 10 juin 2014. Pour l'opposition, la dernière ligne droite est désormais entamée. Plus que quelques jours seulement avant le congrès prévu le 30 mars. Tout semble être fin prêt pour cet important rendezvous politique. L'ultime grande réunion de préparatifs s'est tenue mardi dernier au siège du MSP. Les membres de l'Instance de coordination et de suivi de l'opposition (ICSO), instance qui regroupe la majorité des détracteurs du pouvoir, ont finalisé l'ensemble des textes qui devaient être soumis à l'approbation des participants. Place maintenant à l'envoi des invitations et cela se fera dès aujourd'hui. "Toutes les forces politiques, sociales, syndicales, médiatiques et de jeunesse, ainsi que les représentants de la société civile" indique le communiqué rendu public à l'issue de cette réunion "et ce en vue d'aboutir à une contribution la plus efficace à la deuxième conférence de la transition démocratique, qui vise à protéger le pays contre les périls intérieurs et les menaces extérieurs auxquels il est confronté dans la conjoncture actuelle". L' ICSO compte ainsi convaincre plusieurs personnalités de prendre part à ce deuxième congrès qui intervient presque deux années après la première édition qui s'est tenue à l'hotel Mazafran de Zeralda le 10 juin 2014, soit deux mois seulement après l'élection présidentielle au cours de laquelle le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a été réélu pour un quatrième mandat. Ainsi plusieurs anciens chefs de gouvernement sont annoncés. Sid-Ahmed Ghozali, Mokdad Sifi, Abdelhamid Brahimi, qui vient de rentrer au pays après 25 années d'exil, et Mouloud Hamouche en font partie. Plus sans doute que les autres noms cités, qui répondront certainement positivement à l'invitation de l'ICSO, les organisateurs espèrent notamment la participation de Mouloud Hamrouche. Ce dernier, qui dispose d'une aura certaine, n'a rien laissé transparaître, à quelques jours seulement de ce que d'aucuns appellent Mazafran II, de ce que sera sa décision finale. Lors de sa dernière sortie publique cet ancien chef de gouvernement publique, pourtant sollicité par les médias sur cette question de sa participation ou non à ce congrès, a évité soigneusement d'y répondre laissant ainsi planer le doute. Pour les partis politiques l'ICSO espère aussi la participation du FFS, qui n'entretient pas de bonnes relations avec une partie de la composante de cette instance, en l'occurrence la Coordination pour les libertés et la transition démocratique(CLTD). Cette dernière a violemment critiqué le FFS lorsqu'il a lancé son initiative de conférence de consensus national. Initiative qui a été considérée comme concurante de celle de la CLTD. Depuis, les relations ne sont pas aussi tendues, mais le FFS maintient son initiative ce qui pourrait signifier que le plus vieux parti d'opposition n'est pas intéressé par une participation à ce prochain congrès. Pour mieux sensibiliser sur l'importance de la participation l'ICSO a estimé, dans son dernier communiqué, que cela constituerait "un engagement politique et militant responsable et une nouvelle opportunité de qualité pour étudier les différentes propositions de traitement de la crise politique, économique et sécuritaire, dans le sens qui garantisse au peuple sa souveraineté et au pays sa sécurité et sa stabilité"». Pour l'opposition, la dernière ligne droite est désormais entamée. Plus que quelques jours seulement avant le congrès prévu le 30 mars. Tout semble être fin prêt pour cet important rendezvous politique. L'ultime grande réunion de préparatifs s'est tenue mardi dernier au siège du MSP. Les membres de l'Instance de coordination et de suivi de l'opposition (ICSO), instance qui regroupe la majorité des détracteurs du pouvoir, ont finalisé l'ensemble des textes qui devaient être soumis à l'approbation des participants. Place maintenant à l'envoi des invitations et cela se fera dès aujourd'hui. "Toutes les forces politiques, sociales, syndicales, médiatiques et de jeunesse, ainsi que les représentants de la société civile" indique le communiqué rendu public à l'issue de cette réunion "et ce en vue d'aboutir à une contribution la plus efficace à la deuxième conférence de la transition démocratique, qui vise à protéger le pays contre les périls intérieurs et les menaces extérieurs auxquels il est confronté dans la conjoncture actuelle". L' ICSO compte ainsi convaincre plusieurs personnalités de prendre part à ce deuxième congrès qui intervient presque deux années après la première édition qui s'est tenue à l'hotel Mazafran de Zeralda le 10 juin 2014, soit deux mois seulement après l'élection présidentielle au cours de laquelle le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a été réélu pour un quatrième mandat. Ainsi plusieurs anciens chefs de gouvernement sont annoncés. Sid-Ahmed Ghozali, Mokdad Sifi, Abdelhamid Brahimi, qui vient de rentrer au pays après 25 années d'exil, et Mouloud Hamouche en font partie. Plus sans doute que les autres noms cités, qui répondront certainement positivement à l'invitation de l'ICSO, les organisateurs espèrent notamment la participation de Mouloud Hamrouche. Ce dernier, qui dispose d'une aura certaine, n'a rien laissé transparaître, à quelques jours seulement de ce que d'aucuns appellent Mazafran II, de ce que sera sa décision finale. Lors de sa dernière sortie publique cet ancien chef de gouvernement publique, pourtant sollicité par les médias sur cette question de sa participation ou non à ce congrès, a évité soigneusement d'y répondre laissant ainsi planer le doute. Pour les partis politiques l'ICSO espère aussi la participation du FFS, qui n'entretient pas de bonnes relations avec une partie de la composante de cette instance, en l'occurrence la Coordination pour les libertés et la transition démocratique(CLTD). Cette dernière a violemment critiqué le FFS lorsqu'il a lancé son initiative de conférence de consensus national. Initiative qui a été considérée comme concurante de celle de la CLTD. Depuis, les relations ne sont pas aussi tendues, mais le FFS maintient son initiative ce qui pourrait signifier que le plus vieux parti d'opposition n'est pas intéressé par une participation à ce prochain congrès. Pour mieux sensibiliser sur l'importance de la participation l'ICSO a estimé, dans son dernier communiqué, que cela constituerait "un engagement politique et militant responsable et une nouvelle opportunité de qualité pour étudier les différentes propositions de traitement de la crise politique, économique et sécuritaire, dans le sens qui garantisse au peuple sa souveraineté et au pays sa sécurité et sa stabilité"».