Le système de défense antimissile américain de Deveselu (sud de la Roumanie) est devenu officiellement opérationnel jeudi lors d'une inauguration en présence du secrétaire général de l'Otan et de responsables américains et roumains. Le système de défense antimissile américain de Deveselu (sud de la Roumanie) est devenu officiellement opérationnel jeudi lors d'une inauguration en présence du secrétaire général de l'Otan et de responsables américains et roumains. Le secrétaire général de l'Otan Jens Stoltenberg a assuré : "Nous ne visons pas la Russie. Le site en Roumanie, tout comme celui qui sera érigé en Pologne, n'est pas dirigé contre la Russie", a-t-il assuré, alors que Moscou estime que ce site est "une menace pour sa sécurité". Vladimir Poutine a affirmé vendredi que la Russie prendrait des mesures pour faire face aux "menaces" posées par le déploiement d'éléments du bouclier antimissile américain, notamment en Pologne et en Roumanie. "Maintenant que ces éléments antimissiles ont été déployés, nous allons devoir réfléchir à la manière de faire face aux menaces qui sont apparues pour la sécurité de la Russie", a déclaré M. Poutine lors d'une réunion avec des responsables du complexe militaro-industriel russe. Il a, néanmoins, souligné que Moscou ne se lancerait pas dans une "nouvelle course aux armements". Le secrétaire général de l'Otan Jens Stoltenberg a assuré : "Nous ne visons pas la Russie. Le site en Roumanie, tout comme celui qui sera érigé en Pologne, n'est pas dirigé contre la Russie", a-t-il assuré, alors que Moscou estime que ce site est "une menace pour sa sécurité". Vladimir Poutine a affirmé vendredi que la Russie prendrait des mesures pour faire face aux "menaces" posées par le déploiement d'éléments du bouclier antimissile américain, notamment en Pologne et en Roumanie. "Maintenant que ces éléments antimissiles ont été déployés, nous allons devoir réfléchir à la manière de faire face aux menaces qui sont apparues pour la sécurité de la Russie", a déclaré M. Poutine lors d'une réunion avec des responsables du complexe militaro-industriel russe. Il a, néanmoins, souligné que Moscou ne se lancerait pas dans une "nouvelle course aux armements".