Décidément les opposants au secrétaire général du RND, Ahmed Ouyahia, ne baissent pas les bras. Décidément les opposants au secrétaire général du RND, Ahmed Ouyahia, ne baissent pas les bras. Battus pourtant lors du dernier congrès extraordinaire, au cours duquel Ahmed Ouyahia a considérablement conforté son pouvoir sur le parti, et les ayant écarté des instances du parti, Ils ne veulent pas s'avouer vaincus. Mais pour eux, apparemment, pas question de reconnaitre les résultats du dernier conclave. Ils viennent, en effet, de le dire haut et fort. Car pour eux ce congrès n'a servi qu'à permettre au secrétaire général et ses fidèles de poursuivre leur politique d'exclusion et de marginalisation des cadres et des militants. Une politique entamée, selon eux, bien avant ce congrès extraordinaire. Dans un communiqué rendu public hier des cadres et des militants des régions ouest, centre, est et sud du pays, qui se sont réunis récemment, ont vivement dénoncé l'exclusion systématique des militants "porteurs des idées authentiques du parti". Les protestataires reprochent à la direction du parti de recourir aux "pratiques dictatoriales qui ont atteint un degré d'ignominie tel que les badges des militants contestataires leur ont été retirés subrepticement la veille de la tenue du congrès extraordinaire". En somme, pour eux, Ahmed Ouyahia a, au préalable, verrouillé le congrès puisque, comme cela a été d'ailleurs dénoncé, il a privilégié le principe de la cooptation au niveau des bases militantes. Une pratique qui lui a permis, note encore les rédacteurs du communiqué, "d'écarter les fondateurs et les militants probes et fidèles à la ligne politique authentique du parti au profit de la féodalité, de la médiocrité et de la puissance de l'argent". Pour les détracteurs d'Ahmed Ouyahia, qui n'ont donné aucune indication sur le lieu de leur réunion et n'ont pas dévoilé aussi l'identité des signataires du communiqué , le chef de file du parti vise , à travers cette opération, à "vider le RND de tous ses cadres sincères" et à "éloigner le parti du débat politique sur les questions importantes à l'intérieur des instances du RND". D'ou leur contestation de la légitimité d'Ouyahia à la tète du parti . Un parti qui est, selon eux, "l'otage d'une catégorie liée par des intérêts personnels étroits et imposée à la base militante dans le but d'en faire un parti éloigné de la société, sans vision politique et sans perspective d'avenir". Dans ce chapelet de griefs Ouyahia est aussi tenu responsable de la marginalisation et l'exclusion des membres de la famille révolutionnaire, ain si que ceux affiliés aux organisations de masse des instances du parti. IL est ainsi clairement fait allusion à Khalfa M'barek secrétaire général de l'Organisation des enfants de moudjahidine et Nouria Hafsi de l'UNFA qui ne sont plus membres du conseil national du parti. D'autres ténors du parti n'ont pu, eux aussi, se faire élire au conseil national et n'ont pas été repêchés par Ouyahia alors qu'il avait le moyen légal, à travers son quota, de les intégrer à la pus haute instance du parti entre deux congrès . C'est le cas de Cherif Rahmani et de Boubekeur Benboiuzid qui sont pourtant des membres fondateurs du RND. C'est le cas aussi de Belkacem Mellah, qui s'est présenté au poste du secrétaire général du RND, mais qui a été très largement battu par Ouyahia. Ce dernier a promis de faire le ménage lors du congrès et il a amplement réussi puisque ses opposants ont été éjectés des instances. Mais il n'a pas réussi à les réduire au silence come l'atteste ce communiqué. Et même les commissions de discipline installées au lendemain du congrès ne leur font pas peur puisqu'ils ont assuré être déterminés à poursuivre leur opposition au secrétaire général. Battus pourtant lors du dernier congrès extraordinaire, au cours duquel Ahmed Ouyahia a considérablement conforté son pouvoir sur le parti, et les ayant écarté des instances du parti, Ils ne veulent pas s'avouer vaincus. Mais pour eux, apparemment, pas question de reconnaitre les résultats du dernier conclave. Ils viennent, en effet, de le dire haut et fort. Car pour eux ce congrès n'a servi qu'à permettre au secrétaire général et ses fidèles de poursuivre leur politique d'exclusion et de marginalisation des cadres et des militants. Une politique entamée, selon eux, bien avant ce congrès extraordinaire. Dans un communiqué rendu public hier des cadres et des militants des régions ouest, centre, est et sud du pays, qui se sont réunis récemment, ont vivement dénoncé l'exclusion systématique des militants "porteurs des idées authentiques du parti". Les protestataires reprochent à la direction du parti de recourir aux "pratiques dictatoriales qui ont atteint un degré d'ignominie tel que les badges des militants contestataires leur ont été retirés subrepticement la veille de la tenue du congrès extraordinaire". En somme, pour eux, Ahmed Ouyahia a, au préalable, verrouillé le congrès puisque, comme cela a été d'ailleurs dénoncé, il a privilégié le principe de la cooptation au niveau des bases militantes. Une pratique qui lui a permis, note encore les rédacteurs du communiqué, "d'écarter les fondateurs et les militants probes et fidèles à la ligne politique authentique du parti au profit de la féodalité, de la médiocrité et de la puissance de l'argent". Pour les détracteurs d'Ahmed Ouyahia, qui n'ont donné aucune indication sur le lieu de leur réunion et n'ont pas dévoilé aussi l'identité des signataires du communiqué , le chef de file du parti vise , à travers cette opération, à "vider le RND de tous ses cadres sincères" et à "éloigner le parti du débat politique sur les questions importantes à l'intérieur des instances du RND". D'ou leur contestation de la légitimité d'Ouyahia à la tète du parti . Un parti qui est, selon eux, "l'otage d'une catégorie liée par des intérêts personnels étroits et imposée à la base militante dans le but d'en faire un parti éloigné de la société, sans vision politique et sans perspective d'avenir". Dans ce chapelet de griefs Ouyahia est aussi tenu responsable de la marginalisation et l'exclusion des membres de la famille révolutionnaire, ain si que ceux affiliés aux organisations de masse des instances du parti. IL est ainsi clairement fait allusion à Khalfa M'barek secrétaire général de l'Organisation des enfants de moudjahidine et Nouria Hafsi de l'UNFA qui ne sont plus membres du conseil national du parti. D'autres ténors du parti n'ont pu, eux aussi, se faire élire au conseil national et n'ont pas été repêchés par Ouyahia alors qu'il avait le moyen légal, à travers son quota, de les intégrer à la pus haute instance du parti entre deux congrès . C'est le cas de Cherif Rahmani et de Boubekeur Benboiuzid qui sont pourtant des membres fondateurs du RND. C'est le cas aussi de Belkacem Mellah, qui s'est présenté au poste du secrétaire général du RND, mais qui a été très largement battu par Ouyahia. Ce dernier a promis de faire le ménage lors du congrès et il a amplement réussi puisque ses opposants ont été éjectés des instances. Mais il n'a pas réussi à les réduire au silence come l'atteste ce communiqué. Et même les commissions de discipline installées au lendemain du congrès ne leur font pas peur puisqu'ils ont assuré être déterminés à poursuivre leur opposition au secrétaire général.