Le Premier ministre maintient a décision du gel des recrutements dans la fonction publique. Pour l'heure, les ressources financières ne permettent pas de faire autrement. Le Premier ministre maintient a décision du gel des recrutements dans la fonction publique. Pour l'heure, les ressources financières ne permettent pas de faire autrement. Beaucoup ont espéré une levée partielle sur la mesure prise par le gouvernement sur les recrutements publics. Mais au grand dam de ces derniers, la décision semble irréversible pour un secteur qui reste le plus grand pourvoyeur d'emplois en Algérie. En effet, Abdelmalek Sellal a notifié, encore une fois, aux entreprises et administrations publiques de ne pas reconduire les recrutements et de procéder à la rationalisation des budgets. Sellal reste donc défavorable à tout recrutement en justifiant que le Trésor ne pourra pas prendre en charge ces postes budgétaires. Mais existe-il une exception ? Il faut rappeler que lors de son instruction, fin décembre 2015, l'instruction gouvernementale avait laissé l'opportunité à certaines administrations ou entreprises "d'affecter des postes budgétaires exceptionnels si les besoins de recrutements s'avèrent cruciaux". Mieux, le ministre du Travail Mohamed El Ghazi a fermement interdit "toute embauche dans le secteur public" considérant qu'il y a déjà un surplus d'effectifs d'un million de fonctionnaires sur les 2,5 millions que compte le secteur. Or, il s'avère que les ressources publiques s'amenuisent de plus en plus et le déficit budgétaire se creuse dépassant le seuil des 25 %. D'ailleurs les autorisations de programmes pour cette année ont été toutes suspendues jusqu'à nouvel ordre alors que le reliquat des budgets de fonctionnements sera réaffecté à d'autres besoins. Une source bien informée du gouvernement évoque "d'importantes coupes budgétaires pour l'année 2016 pour beaucoup de secteurs". Le maintien de l'embauche ne concernera finalement que l'Education et Santé pour lesquels le gouvernement les a épargné étant donné que les besoins sont à combler. A ce sujet, il faut retenir à ce sujet que le secteur de l'Education assurera dès la rentrée le recrutement des enseignants ayant réussi l'épreuve des examens et au par ailleurs, le domaine de santé pourra embaucher prés de 600 paramédicaux pour enrayer le déficit dans certains établissements publics de la santé. En ce qui concerne le remplacement des postes vacants dans l'administration publique, la note du Premier ministre maintient également la décision ne pas procéder au recrutement du fait que les postes désignés à cet effet doivent être clairement identifiés et signalés au niveau de la direction générale de la Fonction publique. De plus, le gouvernement poursuivant la politique d'austérité, a refusé catégoriquement toute augmentation de salaires ou de mesure portant à leur revalorisation. On apprend ainsi que tous les walis doivent procéder à un contrôle périodique des administrations publiques sur d'éventuels recrutements en catimini. Les inspecteurs du ministère du Travail et ceux de la direction générale de la Fonction publique seront, eux aussi, concernés par l'établissement de rapports de situation sur l'embauche dans la fonction publique, le départ en retraite des fonctionnaires et de communiquer les noms et les postes de travail vacants aux différentes hiérarchie. Beaucoup ont espéré une levée partielle sur la mesure prise par le gouvernement sur les recrutements publics. Mais au grand dam de ces derniers, la décision semble irréversible pour un secteur qui reste le plus grand pourvoyeur d'emplois en Algérie. En effet, Abdelmalek Sellal a notifié, encore une fois, aux entreprises et administrations publiques de ne pas reconduire les recrutements et de procéder à la rationalisation des budgets. Sellal reste donc défavorable à tout recrutement en justifiant que le Trésor ne pourra pas prendre en charge ces postes budgétaires. Mais existe-il une exception ? Il faut rappeler que lors de son instruction, fin décembre 2015, l'instruction gouvernementale avait laissé l'opportunité à certaines administrations ou entreprises "d'affecter des postes budgétaires exceptionnels si les besoins de recrutements s'avèrent cruciaux". Mieux, le ministre du Travail Mohamed El Ghazi a fermement interdit "toute embauche dans le secteur public" considérant qu'il y a déjà un surplus d'effectifs d'un million de fonctionnaires sur les 2,5 millions que compte le secteur. Or, il s'avère que les ressources publiques s'amenuisent de plus en plus et le déficit budgétaire se creuse dépassant le seuil des 25 %. D'ailleurs les autorisations de programmes pour cette année ont été toutes suspendues jusqu'à nouvel ordre alors que le reliquat des budgets de fonctionnements sera réaffecté à d'autres besoins. Une source bien informée du gouvernement évoque "d'importantes coupes budgétaires pour l'année 2016 pour beaucoup de secteurs". Le maintien de l'embauche ne concernera finalement que l'Education et Santé pour lesquels le gouvernement les a épargné étant donné que les besoins sont à combler. A ce sujet, il faut retenir à ce sujet que le secteur de l'Education assurera dès la rentrée le recrutement des enseignants ayant réussi l'épreuve des examens et au par ailleurs, le domaine de santé pourra embaucher prés de 600 paramédicaux pour enrayer le déficit dans certains établissements publics de la santé. En ce qui concerne le remplacement des postes vacants dans l'administration publique, la note du Premier ministre maintient également la décision ne pas procéder au recrutement du fait que les postes désignés à cet effet doivent être clairement identifiés et signalés au niveau de la direction générale de la Fonction publique. De plus, le gouvernement poursuivant la politique d'austérité, a refusé catégoriquement toute augmentation de salaires ou de mesure portant à leur revalorisation. On apprend ainsi que tous les walis doivent procéder à un contrôle périodique des administrations publiques sur d'éventuels recrutements en catimini. Les inspecteurs du ministère du Travail et ceux de la direction générale de la Fonction publique seront, eux aussi, concernés par l'établissement de rapports de situation sur l'embauche dans la fonction publique, le départ en retraite des fonctionnaires et de communiquer les noms et les postes de travail vacants aux différentes hiérarchie.