Le ministère de l'Habitat a décidé de retirer l'agrément au promoteur Mohamed Sahraoui suite à l'effondrement vendredi d'un immeuble en construction à El Achour au niveau de la cité "Urba 2000", a annoncé la Télévision nationale. Le ministère de l'Habitat a décidé de retirer l'agrément au promoteur Mohamed Sahraoui suite à l'effondrement vendredi d'un immeuble en construction à El Achour au niveau de la cité "Urba 2000", a annoncé la Télévision nationale. La commission d'enquête mise en place par le ministère s'est déplacée sur le lieu du sinistre où elle s'est enquise du dossier administratif et technique de la société de promotion immobilière (Sopiref ) et d'un projet immobilier jouxtant l'immeuble qui s'est effondré et relevant de la promotion Immo Hat. Selon les résultats de l'enquête, la Sarl Sopiref, dont M'hamed Sahraoui est gérant ne dispose pas de permis de construire. Le promoteur a été mis en demeure par les services techniques de la commune en date du 4 septembre 2014 après lui avoir adressé trois procès-verbaux de contravention. Une décision d'arrêt des travaux a été rendue le 6 septembre 2016 mais le gérant de Sopiref ne s'y est pas conformé. Pour Immo Hat, l'enquête a démontré que son gérant qui possédait le permis de conduire avait conclu une convention avec les services du centre de contrôle technique de la construction mais n'avait pas tenu compte des réserves émises par cet organisme. L'enquête a révélé également qu'Immo Hat a mis en garde dans une requête aux services techniques de la commune contre les risques découlant des travaux engagés sans permis de construire sur le projet mitoyen relevant de Sopiref. Sur la base de ces résultats la commission ministérielle a décidé de la démolition immédiate d'un immeuble jouxtant la bâtisse effondrée et relevant de la Sopiref et du retrait de l'agrément du promoteur M'hamed Sahraoui. Une étude pour le confortement des autres immeubles du même projet a été décidée également. Pour rappel, le promoteur immobilier M'hamed Sahraoui gérant de la Sarl Sopiref, spécialisée notamment dans la construction des résidences haut de gamme, est également le président de l'Organisation nationale des promoteurs immobiliers. Pour rappel, une bâtisse en construction, située au niveau de la cité "Urba 2000" s'est effondrée vendredi vers les coups de 12H34 à El Achour , sans causer des pertes humaines, selon les services de la Protection civile de la wilaya d'Alger. Une commission d'enquête a été dépêchée sur les lieux ce matin par le ministère de l'Habitat. Elle est composée du directeur général de la construction et des moyens de réalisation, du directeur général de l'urbanisme et de l'architecture, et du directeur de l'habitat de la wilaya d'Alger, ainsi que du directeur de l'urbanisme et de l'architecture de la wilaya d'Alger, du directeur général du centre national de recherche appliquée en génie parasismique, du directeur du centre national d'études et de recherches intégrées du bâtiment et du directeur du Laboratoire national de l'habitat et de la construction (LNHC). "La commission s'est rendue sur place pour constater les dysfonctionnements au niveau de cette bâtisse et mettre la lumière sur les véritables raisons à l'origine de l'effondrement de cette construction pour établir les responsabilités, en proposant les mesures à prendre à l'égard des acteurs, après l'établissement des responsabilités", pouvait-on lire dans le communiqué annonçant la mise en place de ladite commission. La commission d'enquête mise en place par le ministère s'est déplacée sur le lieu du sinistre où elle s'est enquise du dossier administratif et technique de la société de promotion immobilière (Sopiref ) et d'un projet immobilier jouxtant l'immeuble qui s'est effondré et relevant de la promotion Immo Hat. Selon les résultats de l'enquête, la Sarl Sopiref, dont M'hamed Sahraoui est gérant ne dispose pas de permis de construire. Le promoteur a été mis en demeure par les services techniques de la commune en date du 4 septembre 2014 après lui avoir adressé trois procès-verbaux de contravention. Une décision d'arrêt des travaux a été rendue le 6 septembre 2016 mais le gérant de Sopiref ne s'y est pas conformé. Pour Immo Hat, l'enquête a démontré que son gérant qui possédait le permis de conduire avait conclu une convention avec les services du centre de contrôle technique de la construction mais n'avait pas tenu compte des réserves émises par cet organisme. L'enquête a révélé également qu'Immo Hat a mis en garde dans une requête aux services techniques de la commune contre les risques découlant des travaux engagés sans permis de construire sur le projet mitoyen relevant de Sopiref. Sur la base de ces résultats la commission ministérielle a décidé de la démolition immédiate d'un immeuble jouxtant la bâtisse effondrée et relevant de la Sopiref et du retrait de l'agrément du promoteur M'hamed Sahraoui. Une étude pour le confortement des autres immeubles du même projet a été décidée également. Pour rappel, le promoteur immobilier M'hamed Sahraoui gérant de la Sarl Sopiref, spécialisée notamment dans la construction des résidences haut de gamme, est également le président de l'Organisation nationale des promoteurs immobiliers. Pour rappel, une bâtisse en construction, située au niveau de la cité "Urba 2000" s'est effondrée vendredi vers les coups de 12H34 à El Achour , sans causer des pertes humaines, selon les services de la Protection civile de la wilaya d'Alger. Une commission d'enquête a été dépêchée sur les lieux ce matin par le ministère de l'Habitat. Elle est composée du directeur général de la construction et des moyens de réalisation, du directeur général de l'urbanisme et de l'architecture, et du directeur de l'habitat de la wilaya d'Alger, ainsi que du directeur de l'urbanisme et de l'architecture de la wilaya d'Alger, du directeur général du centre national de recherche appliquée en génie parasismique, du directeur du centre national d'études et de recherches intégrées du bâtiment et du directeur du Laboratoire national de l'habitat et de la construction (LNHC). "La commission s'est rendue sur place pour constater les dysfonctionnements au niveau de cette bâtisse et mettre la lumière sur les véritables raisons à l'origine de l'effondrement de cette construction pour établir les responsabilités, en proposant les mesures à prendre à l'égard des acteurs, après l'établissement des responsabilités", pouvait-on lire dans le communiqué annonçant la mise en place de ladite commission.