Le gouvernement n'a pas eu trop le choix concernant le budget de fonctionnement car il faut faire face à une crise économique très virulence, de l'autre côté, le citoyen n'a pas trop apprécié ces nouvelles mesures qui touchent de plein fouet son porte-monnaie. Le gouvernement n'a pas eu trop le choix concernant le budget de fonctionnement car il faut faire face à une crise économique très virulence, de l'autre côté, le citoyen n'a pas trop apprécié ces nouvelles mesures qui touchent de plein fouet son porte-monnaie. Ce denier a compris que la seule solution à ses problèmes financiers consiste à la baisse du pouvoir d'achat des ménages. Mais comment ? Sachant que le peuple algérien est orphelin de ses défenseurs ! En l'absence des partis politiques, syndicatset autres organisations crédibles. Face à cette situation, un appel à la grève à été lancé par les réseaux sociaux avant d'être popularisé par journaux et les sites électroniques. Cette information bien qu'elle ne soit pas vraiment crédible à été pourtant largement partagée sur les réseaux sociaux. Il s'agit selon ce qui a été relayé sur la Toile d'une grève générale d'une semaine devant être observée du 2 au 7 janvier. Surtout qu'une action similaire avait été organisée par les commerçants de Tizi-Ouzou, le 13 du mois dernier qui ont entièrement paralysé toute la wilaya. Ils dénoncent les "charges exorbitantes que subissent, les commerçants et artisans sans aucune prise en considération de la part des services publics". Voulant rééditer une action similaire qui durera presque une semaine, ces derniers l'ont annulée, car ils ont fini par avoir gain de cause. Les revendications, demeurées en suspens durant toute cette période, ont été satisfaites par qui de droit. Il faut donc admettre que cette grève pourra même s'étendre vers toutes les autres wilayas. D'ailleurs c'est le cas de la wilaya de Bejaia paralysée, hier, par un mouvement de grève générale, pour protester contre les hausses de taxes, contenues dans la loi de finances 2017, lancé anonymement sur les réseaux sociaux. Selon des sources locales, en sus du chef lieu de wilaya, plusieurs localités, telles Tichy, Kherrata, Tazmalt, ont connu le même phénomène alors qu'une activité minimale a été constatée dans les principaux marchés hebdomadaires. A Tichy, par exemple, des citoyens ont procédé à la fermeture de la RN 9. Par ailleurs, Des affrontements ont eu lieu hier à Béjaïa, et dans d'autres villes limitrophes, rapporte le site d'information TSA "De violents affrontements se déroulent actuellement au centre-ville de Bejaïa", a-t-on appris auprès de témoins sur place. "Des édifices et des voitures ont été saccagés. Les forces de sécurité font usage de gaz lacrymogènes." Ainsi ce qui ne devait être qu'une grève générale pour protester contre la pression fiscale et la cherté de la vie, a vite tourné aux affrontements et par endroits aux émeutes. Selon plusieurs témoignages et vidéos postées sur la Toile l'atmosphère y était très tendue notamment au centre-ville ou des échanges violents ont lieu entre les forces de sécurité, massées en nombre, et des jeunes émeutiers visiblement décidés à en découdre. Du coup, la capitale des Hamadites a renoué avec le climat de tension qu'elle a n'a pas connu depuis le fameux printemps noir de 2001. Pour cause, des bandes de casseurs s'en sont pris comme d'habitude aux édifices publics et saccagé des voitures qui appartiennent même à des particuliers. Les scènes se déroulent notamment aux alentours du siège de la wilaya où étaient embusqués des groupes de jeunes issus des quartiers populaires avoisinants. Du coup, les forces de sécurité ont été obligées d'user du gaz lacrymogène pour tenter de disperser ces manifestants. Au moment où nous mettons en ligne, des escarmouches se poursuivent ici et là dans les différents quartiers de la ville de Béjaïa. Ce denier a compris que la seule solution à ses problèmes financiers consiste à la baisse du pouvoir d'achat des ménages. Mais comment ? Sachant que le peuple algérien est orphelin de ses défenseurs ! En l'absence des partis politiques, syndicatset autres organisations crédibles. Face à cette situation, un appel à la grève à été lancé par les réseaux sociaux avant d'être popularisé par journaux et les sites électroniques. Cette information bien qu'elle ne soit pas vraiment crédible à été pourtant largement partagée sur les réseaux sociaux. Il s'agit selon ce qui a été relayé sur la Toile d'une grève générale d'une semaine devant être observée du 2 au 7 janvier. Surtout qu'une action similaire avait été organisée par les commerçants de Tizi-Ouzou, le 13 du mois dernier qui ont entièrement paralysé toute la wilaya. Ils dénoncent les "charges exorbitantes que subissent, les commerçants et artisans sans aucune prise en considération de la part des services publics". Voulant rééditer une action similaire qui durera presque une semaine, ces derniers l'ont annulée, car ils ont fini par avoir gain de cause. Les revendications, demeurées en suspens durant toute cette période, ont été satisfaites par qui de droit. Il faut donc admettre que cette grève pourra même s'étendre vers toutes les autres wilayas. D'ailleurs c'est le cas de la wilaya de Bejaia paralysée, hier, par un mouvement de grève générale, pour protester contre les hausses de taxes, contenues dans la loi de finances 2017, lancé anonymement sur les réseaux sociaux. Selon des sources locales, en sus du chef lieu de wilaya, plusieurs localités, telles Tichy, Kherrata, Tazmalt, ont connu le même phénomène alors qu'une activité minimale a été constatée dans les principaux marchés hebdomadaires. A Tichy, par exemple, des citoyens ont procédé à la fermeture de la RN 9. Par ailleurs, Des affrontements ont eu lieu hier à Béjaïa, et dans d'autres villes limitrophes, rapporte le site d'information TSA "De violents affrontements se déroulent actuellement au centre-ville de Bejaïa", a-t-on appris auprès de témoins sur place. "Des édifices et des voitures ont été saccagés. Les forces de sécurité font usage de gaz lacrymogènes." Ainsi ce qui ne devait être qu'une grève générale pour protester contre la pression fiscale et la cherté de la vie, a vite tourné aux affrontements et par endroits aux émeutes. Selon plusieurs témoignages et vidéos postées sur la Toile l'atmosphère y était très tendue notamment au centre-ville ou des échanges violents ont lieu entre les forces de sécurité, massées en nombre, et des jeunes émeutiers visiblement décidés à en découdre. Du coup, la capitale des Hamadites a renoué avec le climat de tension qu'elle a n'a pas connu depuis le fameux printemps noir de 2001. Pour cause, des bandes de casseurs s'en sont pris comme d'habitude aux édifices publics et saccagé des voitures qui appartiennent même à des particuliers. Les scènes se déroulent notamment aux alentours du siège de la wilaya où étaient embusqués des groupes de jeunes issus des quartiers populaires avoisinants. Du coup, les forces de sécurité ont été obligées d'user du gaz lacrymogène pour tenter de disperser ces manifestants. Au moment où nous mettons en ligne, des escarmouches se poursuivent ici et là dans les différents quartiers de la ville de Béjaïa.