Les préparatifs, en cours, des élections législatives du 4 mai prochain, ont été le sujet traité, hier durant l'émission l'Invité de la rédaction de la chaîne 3 de la Radio algérienne en compagnie du directeur des Affaires juridiques et des libertés publique au ministère de l'Intérieur. Les préparatifs, en cours, des élections législatives du 4 mai prochain, ont été le sujet traité, hier durant l'émission l'Invité de la rédaction de la chaîne 3 de la Radio algérienne en compagnie du directeur des Affaires juridiques et des libertés publique au ministère de l'Intérieur. L'un des aspects à y avoir été développé avec Lakhdar Lamara a notamment porté sur les conditions de "transparence" de ce scrutin et de la "neutralité" de l'administration à son égard. A propos de ces deux points, l'intervenant rappelle qu'ils "sont inscrits dans la Constitution". Il y ajoute la présence de la Haute instance de surveillance des élections, constituée de magistrats et de personnalités indépendantes et érigée, ajoute-t-il, au "rang d'institution constitutionnelle dotée de larges prérogatives avant, pendant et après le scrutin". M. Lamara explique, par ailleurs, que face aux 71 formations politiques à avoir été agréés il fallait avoir une "meilleure visibilité du paysage politique et amener, ainsi, tout parti aspirant au pouvoir à être présent dans toutes les circonscriptions du pays", soulignant qu'il ne s'agit nullement d'"une mesure visant à exclure quelque prétendant que ce soit". Comme pour mieux expliciter cette dernière, il rappelle que "dans un passé très récent, il y avait beaucoup de listes indépendantes qui, pour contourner les souscriptions, se faisaient parrainer par des partis politiques et en échange, des partis sans ancrage dans le pays, faisaient appel à ces listes pour être présents dans le paysage politique". A propos de l'organisation du scrutin, Lakhdar Lamara assure, d'autre part, que "toutes les dispositions techniques et administratives ont été mobilisées pour en assurer la réussite", relèvant que "l'un des aspects le plus important est relatif à l'assainissement du fichier électoral". Il signale, par ailleurs, que "sous réserve d'être âgé de 25 ans et plus, de posséder la nationalité algérienne, de n'avoir pas fait l'objet d'une condamnation et d'être en règle vis à vis du service national, toute personne peut se porter candidate à ces élections". L'un des aspects à y avoir été développé avec Lakhdar Lamara a notamment porté sur les conditions de "transparence" de ce scrutin et de la "neutralité" de l'administration à son égard. A propos de ces deux points, l'intervenant rappelle qu'ils "sont inscrits dans la Constitution". Il y ajoute la présence de la Haute instance de surveillance des élections, constituée de magistrats et de personnalités indépendantes et érigée, ajoute-t-il, au "rang d'institution constitutionnelle dotée de larges prérogatives avant, pendant et après le scrutin". M. Lamara explique, par ailleurs, que face aux 71 formations politiques à avoir été agréés il fallait avoir une "meilleure visibilité du paysage politique et amener, ainsi, tout parti aspirant au pouvoir à être présent dans toutes les circonscriptions du pays", soulignant qu'il ne s'agit nullement d'"une mesure visant à exclure quelque prétendant que ce soit". Comme pour mieux expliciter cette dernière, il rappelle que "dans un passé très récent, il y avait beaucoup de listes indépendantes qui, pour contourner les souscriptions, se faisaient parrainer par des partis politiques et en échange, des partis sans ancrage dans le pays, faisaient appel à ces listes pour être présents dans le paysage politique". A propos de l'organisation du scrutin, Lakhdar Lamara assure, d'autre part, que "toutes les dispositions techniques et administratives ont été mobilisées pour en assurer la réussite", relèvant que "l'un des aspects le plus important est relatif à l'assainissement du fichier électoral". Il signale, par ailleurs, que "sous réserve d'être âgé de 25 ans et plus, de posséder la nationalité algérienne, de n'avoir pas fait l'objet d'une condamnation et d'être en règle vis à vis du service national, toute personne peut se porter candidate à ces élections".