semestre de l'année 2018, une réunion du Groupe africain de l'Union internationale des magistrats (UIM), qui s'articulera autour de la corruption dans l'appareil judiciaire et l'indépendance de la magistrature conformément au recueil des obligations déontologiques des magistrats, récemment approuvé, a indiqué samedi le président du Syndicat national des magistrats (SNM), Aïdouni semestre de l'année 2018, une réunion du Groupe africain de l'Union internationale des magistrats (UIM), qui s'articulera autour de la corruption dans l'appareil judiciaire et l'indépendance de la magistrature conformément au recueil des obligations déontologiques des magistrats, récemment approuvé, a indiqué samedi le président du Syndicat national des magistrats (SNM), Aïdouni Djamel dans un communiqué. Intervenant à l'ouverture de la session ordinaire du Conseil national du SNM, Aïdouni a annoncé que la réunion du groupe africain de l'Union internationale des magistrats aura lieu en Algérie durant le printemps 2018 et que le Maroc abritera, la même année, le 61e congrès de l'UIM. Précisant que ces deux rencontres seront principalement axées sur l'indépendance de la magistrature et la corruption dans l'appareil judiciaire, il a ajouté que les deux thèmes sont au coeur du recueil des obligations déontologiques des magistrats, approuvé par l'UIM lors de son dernier congrès) Santiago (Chili) et adressé à l'Onu, "pour être à l'avenir obligatoire à tous les pays membres". Concernant l'Algérie, M. Aïdouni a rappelé que la magistrature "est une autorité indépendante qui exerce ses missions dans le cadre de la loi et prononce les jugements au nom du peuple algérien". "La lutte contre la corruption doit se faire dans le respect de la loi", a-t- déclaré. En marge de cette session le syndicaliste a affirmé que le cheval de bataille du SNM demeure la"moralisation de la profession". Toutefois, il a rappelé que "la corruption est un mal qui gangrène tout les secteurs et pas uniquement le domaine de lamagistrature". "C'est une réalité qu'on doit combattre par tout les moyens. Nous avons des magistrats qui sont à la hauteur du défi. Ils sontd'ailleurs en formation permanente pour pouvoir étudier les dossiers y afférents. Leurs compétences sont reconnues à l'échelle internationale", a-t-il assuré.Selon Aidouni "une justice forte et puissante consacre la démocratie". Dans ce sillage il a évoqué l'implication des magistrats dans la surveillance et le contrôle des élections et leur détermination à "défendre l'Etat et ses institutions". Avoir cependant un salaire similaire à celui du Premier Ministre demeure une revendication "primordiale" dusyndicat. Sauf que cette organisation tient compte de la situation financière que subit le pays et accepte de laisser la question au temps en attendant des jours meilleurs, a indiqué Aidouni avant d'annoncer que le ministre de la Justice vientd'accepter la création de la mutuelle des travailleurs du secteur de la justice. Les nouvelles dispositions de la Constitution amendée en 2016 s'inscrivent dans le cadrede consacrer cet objectif partant du principe que "l'indépendance de la magistrature et du magistrat sont deux notions et complémentaires qui ne sauraient être concrétisées qu'à travers l'application des loisconsolidant l'autorité judiciaire". Evoquant les principales réalisations de la réforme de la Justice à l'instar de la constitutionnalisation du principe de justice à deux niveaux dans le domaine pénal et lesmesures visant à faciliter l'accès du citoyenà la justice. S'agissant du SNM, M. Aïdouni a soutenu qu'il "continuera à défendre l'indépendancede l'autorité judiciaire et à soulever lesrevendications socio-professionnelles", annonçant un accord portant création de la mutuelle des personnels relevant du ministère de la justice. Djamel dans un communiqué. Intervenant à l'ouverture de la session ordinaire du Conseil national du SNM, Aïdouni a annoncé que la réunion du groupe africain de l'Union internationale des magistrats aura lieu en Algérie durant le printemps 2018 et que le Maroc abritera, la même année, le 61e congrès de l'UIM. Précisant que ces deux rencontres seront principalement axées sur l'indépendance de la magistrature et la corruption dans l'appareil judiciaire, il a ajouté que les deux thèmes sont au coeur du recueil des obligations déontologiques des magistrats, approuvé par l'UIM lors de son dernier congrès) Santiago (Chili) et adressé à l'Onu, "pour être à l'avenir obligatoire à tous les pays membres". Concernant l'Algérie, M. Aïdouni a rappelé que la magistrature "est une autorité indépendante qui exerce ses missions dans le cadre de la loi et prononce les jugements au nom du peuple algérien". "La lutte contre la corruption doit se faire dans le respect de la loi", a-t- déclaré. En marge de cette session le syndicaliste a affirmé que le cheval de bataille du SNM demeure la"moralisation de la profession". Toutefois, il a rappelé que "la corruption est un mal qui gangrène tout les secteurs et pas uniquement le domaine de lamagistrature". "C'est une réalité qu'on doit combattre par tout les moyens. Nous avons des magistrats qui sont à la hauteur du défi. Ils sontd'ailleurs en formation permanente pour pouvoir étudier les dossiers y afférents. Leurs compétences sont reconnues à l'échelle internationale", a-t-il assuré.Selon Aidouni "une justice forte et puissante consacre la démocratie". Dans ce sillage il a évoqué l'implication des magistrats dans la surveillance et le contrôle des élections et leur détermination à "défendre l'Etat et ses institutions". Avoir cependant un salaire similaire à celui du Premier Ministre demeure une revendication "primordiale" dusyndicat. Sauf que cette organisation tient compte de la situation financière que subit le pays et accepte de laisser la question au temps en attendant des jours meilleurs, a indiqué Aidouni avant d'annoncer que le ministre de la Justice vientd'accepter la création de la mutuelle des travailleurs du secteur de la justice. Les nouvelles dispositions de la Constitution amendée en 2016 s'inscrivent dans le cadrede consacrer cet objectif partant du principe que "l'indépendance de la magistrature et du magistrat sont deux notions et complémentaires qui ne sauraient être concrétisées qu'à travers l'application des loisconsolidant l'autorité judiciaire". Evoquant les principales réalisations de la réforme de la Justice à l'instar de la constitutionnalisation du principe de justice à deux niveaux dans le domaine pénal et lesmesures visant à faciliter l'accès du citoyenà la justice. S'agissant du SNM, M. Aïdouni a soutenu qu'il "continuera à défendre l'indépendancede l'autorité judiciaire et à soulever lesrevendications socio-professionnelles", annonçant un accord portant création de la mutuelle des personnels relevant du ministère de la justice.