Le secrétaire général du parti du FLN, Djamal Ould Abbès, poursuit sa campagne en faveur d'un 5e mandat pour le président de la République, Abdelaziz Bouteflika. Le secrétaire général du parti du FLN, Djamal Ould Abbès, poursuit sa campagne en faveur d'un 5e mandat pour le président de la République, Abdelaziz Bouteflika. Cette fois-ci le chef de file du vieux parti, qui a pris son bâton de pèlerin il y a de cela quelques mois déjà, a jeté son dévolu sur les etudiants. Il a eneffet réuni hier au siège du parti pas moinsde six organisations estudiantines en vuede les rallier à sa cause. Pourr la circonstanceil s'est fait aider par le ministre del'Enseignement superieur et de la Rechercescientifique, Tahar Hadjar, qui ne s'est pas contenté d'être présent puisqu'il a prêché,lui aussi, en faveur du 5e mandat dans uneallocution. Ould Abbès, qui a tant louédans son discours cette frange juvénile enindiquant notamment qu'il lui fait"confiance" a annoncé, comme pourmieux canaliser et mobiliser cette nouvelleforce lorsque sonnera l'heure du combat pour le 5e mandat, la création d'unecoordination appelée "Jil Bouteflika"(génération Bouteflika). Le chef de file duFLN a, à l'évidence et comme à son habitude,pris la défense du chef de l'état enlouant notamment son bilan à la tête dupays. Il n'a pas manqué, de ce fait, d'énumérerles réalisations accomplies depuisson intronisation à la tête du pays en1999. Des réalisations qui vont du secteurde l'habitat, à celui de l'enseignementsuperieur. Mais l'orateut s'est longuementattardé aussi sur la bonne gouvernance duprésident Bouteflika qui a eu des effetsnotables sur la stabilité du pays et ce, aumoment où d'autres pays de la régionconnaissent de très graves conflits suite à ce que d'aucuns ont appelé le "printemps arabe". Un "printemps arabe" vilipendé par Ould Abbès en le qualifiant de "takhrib arabe". "Certains ont cherché à allumer la mèche en Algérie en provoquant des pénuries et de sucre, mais grâce à l'habiletéet à la clairvoyance du président Bouteflika, le complot a échoué" a martelé Ould Abbès qui a cité au passage lesravages causés au sein de certains pays, àl'exemple de l'Egypte, la Syrie et la Libye. Mais le patron contesté du FLN ne s'est pas arrêté à ce stade puisqu'il n'a pas omis d'adresser des répliques à tous ses détracteurs. Il a ainsi notamment souligné ne fait pas cas de toutes les manoeuvres auxquelles s'adonnent ses opposants en vue de le destituer de la tête du FLN. "Hna Imout Kaci" a-t-il répliqué, comme quoi il ne va pas quitter son poste de secrétaire general. Ses détracteurs, qui se recrutent toutes les tendances du vieux veulent sa tête. Ils lui reprochentd'avoir marginalisé les instances du parti et de faire cavalier seul. Pour preuve il n'a pas réuni la plus haute instance du parti congrés, à savoir le comité central(CC) depuis octobre 2016. La session CC a été reporté à plusieurs reprisesalors que les statuts du parti énoncent clairement que cette instance devrait se réunir en session une fois chaude année. situation qui est loin de plaire à sesdétracteurs qui comptent le destituer lorsqu'il daignera convoquer cette session. Cette fois-ci le chef de file du vieux parti, qui a pris son bâton de pèlerin il y a de cela quelques mois déjà, a jeté son dévolu sur les etudiants. Il a eneffet réuni hier au siège du parti pas moinsde six organisations estudiantines en vuede les rallier à sa cause. Pourr la circonstanceil s'est fait aider par le ministre del'Enseignement superieur et de la Rechercescientifique, Tahar Hadjar, qui ne s'est pas contenté d'être présent puisqu'il a prêché,lui aussi, en faveur du 5e mandat dans uneallocution. Ould Abbès, qui a tant louédans son discours cette frange juvénile enindiquant notamment qu'il lui fait"confiance" a annoncé, comme pourmieux canaliser et mobiliser cette nouvelleforce lorsque sonnera l'heure du combat pour le 5e mandat, la création d'unecoordination appelée "Jil Bouteflika"(génération Bouteflika). Le chef de file duFLN a, à l'évidence et comme à son habitude,pris la défense du chef de l'état enlouant notamment son bilan à la tête dupays. Il n'a pas manqué, de ce fait, d'énumérerles réalisations accomplies depuisson intronisation à la tête du pays en1999. Des réalisations qui vont du secteurde l'habitat, à celui de l'enseignementsuperieur. Mais l'orateut s'est longuementattardé aussi sur la bonne gouvernance duprésident Bouteflika qui a eu des effetsnotables sur la stabilité du pays et ce, aumoment où d'autres pays de la régionconnaissent de très graves conflits suite à ce que d'aucuns ont appelé le "printemps arabe". Un "printemps arabe" vilipendé par Ould Abbès en le qualifiant de "takhrib arabe". "Certains ont cherché à allumer la mèche en Algérie en provoquant des pénuries et de sucre, mais grâce à l'habiletéet à la clairvoyance du président Bouteflika, le complot a échoué" a martelé Ould Abbès qui a cité au passage lesravages causés au sein de certains pays, àl'exemple de l'Egypte, la Syrie et la Libye. Mais le patron contesté du FLN ne s'est pas arrêté à ce stade puisqu'il n'a pas omis d'adresser des répliques à tous ses détracteurs. Il a ainsi notamment souligné ne fait pas cas de toutes les manoeuvres auxquelles s'adonnent ses opposants en vue de le destituer de la tête du FLN. "Hna Imout Kaci" a-t-il répliqué, comme quoi il ne va pas quitter son poste de secrétaire general. Ses détracteurs, qui se recrutent toutes les tendances du vieux veulent sa tête. Ils lui reprochentd'avoir marginalisé les instances du parti et de faire cavalier seul. Pour preuve il n'a pas réuni la plus haute instance du parti congrés, à savoir le comité central(CC) depuis octobre 2016. La session CC a été reporté à plusieurs reprisesalors que les statuts du parti énoncent clairement que cette instance devrait se réunir en session une fois chaude année. situation qui est loin de plaire à sesdétracteurs qui comptent le destituer lorsqu'il daignera convoquer cette session.