Le suspense autour du déroulement de la prochaine élection présidentielle a pris officiellement fin hier. Abdelaziz Bouteflika an signé un décret convoquant le corps électoral, pour l'élection présidentielle qui se déroulera le 18 avril prochain. Le suspense autour du déroulement de la prochaine élection présidentielle a pris officiellement fin hier. Abdelaziz Bouteflika an signé un décret convoquant le corps électoral, pour l'élection présidentielle qui se déroulera le 18 avril prochain. "En application de l'article 136 dela loi organique relative aurégime électoral, MonsieurAbdelaziz Bouteflika, président de laRépublique a pris ce jour (vendredi), undécret présidentiel convoquant le corpsélectoral pour l'élection présidentielle qui se déroulera le jeudi 18 avil 2019", a préciseéle communiqué de la présidence de laRépublique, via l'agence APS."Le même décret dispose, également,d'une révision exceptionnelle des listes électorales qui s'effectuera du 23 janvier au 06 février 2019", est-il souligné dans le communiqué. Ce communiqué vient mettrefin à une période de rumeurs alimentéespar différentes sources, tantôt sur un reportdes élections, tantôt sur une révision de laConstitution.L'élection présidentielle aura donc bienlieu le 18 avril, comme nous l'avionsannoncé en exclusivité dans notre éditiondu 18 décembre 2018. Avant-hier, leministre de l'Intérieur, des Collectivitéslocales et de l'Aménagement du territoire,Noureddine Bedoui, a expliqué à la presse que l'administration était prête à organiserla prochaine élection présidentielle. Tous les moyens humains et matériels, ont été mobilisés à cet effet, avait-il précisé."Nous sommes matériellement prêts àorganiser l'élection présidentielle et tous les moyens humains et logistiques sontréunies", a délaré jeudi le ministre de l'Intérieur. Lors de sa conférence de presse, à l'occasion de la Journée nationale de la commune, Bedoui a ajouté que "l'Algérie dispose actuellement, de tous les moyens technologiques pour assainir les listes électorales des personnes décédées" Côté ceux qui briguent la magistrature suprême ont jusqu'au 5 mars prochain, pour se décider. Selon l'article 140 de la loi organique n° 16-10 du 25 août 2016, relative au régime électoral, la déclaration de candidature est déposée, au plus tard, dans les quarantecinq (45) jours qui suivent la publication du décret présidentiel portant convocation du corps électoral. Selon l'article 141 de la loi susdite, le Conseil constitutionnel statue sur la validité des candidatures à la présidence de la République par décision, dans un délai de dix (10) jours francs, à compter de la date de dépôt de la déclaration de candidature. La décision du Conseil constitutionnel immédiatement notifiée à l'intéressé avant d'être publiée au Journal A ce jour, on compte déjà cinq intentions de candidatures déclarées. Il s'agit de celles de Fethi Ghares du Mouvement démocratique et social (MDS), celle de Abdelaziz Belaid du parti Al Moustakbal, l'ancien député Tahar Missoum surnommé "spécifique", le fils du défunt Mohamed Boudiaf, Nacer Boudiaf, et le colonel à la retraite Ramdane Hamlet. Même s'il ne se fait pas d'illusions sur ses chances dans le prochain scrutin présidentiel, le porte-parole du MDS, Fethi Ghares, 45 ans, est convaincu que sa candidature offre une occasion unique, pour redynamiser et relancer la gauche algérienne dans la vie politique. Abdelaziz Belaid s'est vu, pour sa part, plébiscité par le congrès du parti en septembre dernier, pour postuler à la magistrature suprême. C'est la seconde fois que Belaïd se porte candidat à la présidentielle. En 2014, il avait été classé troisième avec 3,06% des voix, derrière Abdelaziz Bouteflika et Ali Benflis. Les trois autres candidats n'ont aucune appartenance partisane, et se proposent d'emblée comme "alternative", une chance pour le "changement convoité". "En application de l'article 136 dela loi organique relative aurégime électoral, MonsieurAbdelaziz Bouteflika, président de laRépublique a pris ce jour (vendredi), undécret présidentiel convoquant le corpsélectoral pour l'élection présidentielle qui se déroulera le jeudi 18 avil 2019", a préciseéle communiqué de la présidence de laRépublique, via l'agence APS."Le même décret dispose, également,d'une révision exceptionnelle des listes électorales qui s'effectuera du 23 janvier au 06 février 2019", est-il souligné dans le communiqué. Ce communiqué vient mettrefin à une période de rumeurs alimentéespar différentes sources, tantôt sur un reportdes élections, tantôt sur une révision de laConstitution.L'élection présidentielle aura donc bienlieu le 18 avril, comme nous l'avionsannoncé en exclusivité dans notre éditiondu 18 décembre 2018. Avant-hier, leministre de l'Intérieur, des Collectivitéslocales et de l'Aménagement du territoire,Noureddine Bedoui, a expliqué à la presse que l'administration était prête à organiserla prochaine élection présidentielle. Tous les moyens humains et matériels, ont été mobilisés à cet effet, avait-il précisé."Nous sommes matériellement prêts àorganiser l'élection présidentielle et tous les moyens humains et logistiques sontréunies", a délaré jeudi le ministre de l'Intérieur. Lors de sa conférence de presse, à l'occasion de la Journée nationale de la commune, Bedoui a ajouté que "l'Algérie dispose actuellement, de tous les moyens technologiques pour assainir les listes électorales des personnes décédées" Côté ceux qui briguent la magistrature suprême ont jusqu'au 5 mars prochain, pour se décider. Selon l'article 140 de la loi organique n° 16-10 du 25 août 2016, relative au régime électoral, la déclaration de candidature est déposée, au plus tard, dans les quarantecinq (45) jours qui suivent la publication du décret présidentiel portant convocation du corps électoral. Selon l'article 141 de la loi susdite, le Conseil constitutionnel statue sur la validité des candidatures à la présidence de la République par décision, dans un délai de dix (10) jours francs, à compter de la date de dépôt de la déclaration de candidature. La décision du Conseil constitutionnel immédiatement notifiée à l'intéressé avant d'être publiée au Journal A ce jour, on compte déjà cinq intentions de candidatures déclarées. Il s'agit de celles de Fethi Ghares du Mouvement démocratique et social (MDS), celle de Abdelaziz Belaid du parti Al Moustakbal, l'ancien député Tahar Missoum surnommé "spécifique", le fils du défunt Mohamed Boudiaf, Nacer Boudiaf, et le colonel à la retraite Ramdane Hamlet. Même s'il ne se fait pas d'illusions sur ses chances dans le prochain scrutin présidentiel, le porte-parole du MDS, Fethi Ghares, 45 ans, est convaincu que sa candidature offre une occasion unique, pour redynamiser et relancer la gauche algérienne dans la vie politique. Abdelaziz Belaid s'est vu, pour sa part, plébiscité par le congrès du parti en septembre dernier, pour postuler à la magistrature suprême. C'est la seconde fois que Belaïd se porte candidat à la présidentielle. En 2014, il avait été classé troisième avec 3,06% des voix, derrière Abdelaziz Bouteflika et Ali Benflis. Les trois autres candidats n'ont aucune appartenance partisane, et se proposent d'emblée comme "alternative", une chance pour le "changement convoité".