Algérie Télécom a réagi, hier, contre ce qu'elle a qualifié de "contrevérités" diffusées sur les réseaux sociaux depuisquelques jours, concernant le procès qui aopposé l'opérateur historique de téléphoniefixe à l'entreprise Mobilink appartenant àl'homme d'affaires, Réda Kouninef. Algérie Télécom a réagi, hier, contre ce qu'elle a qualifié de "contrevérités" diffusées sur les réseaux sociaux depuisquelques jours, concernant le procès qui aopposé l'opérateur historique de téléphoniefixe à l'entreprise Mobilink appartenant àl'homme d'affaires, Réda Kouninef. Les informations relayées sur les réseauxsociaux font état d'un procès intenté par lesKouninef contre Algérie Télécom et danslequel l'opérateur public "ne s'est pasconstitué partie civile sur instruction deHouda-Imane Faraoun", ministre de laPoste, des Télécommunications et desTechnologies du numérique. "Ce projetdont l'accord a été signé entre l'entrepriseAlgérie Télécom et la société Mobilink à ladate du 19 octobre 2004, a connu des anomaliesdans l'application de ses clauses, cequi a conduit à un différend entre les deuxcontractants au terme duquel le projet a étéarrêté en 2010", explique AT dans soncommuniqué rendu public hier.L'entreprise Mobilink a "introduit uneplainte judiciaire auprès du tribunal d'El-Harrach, le 18 décembre 2012, réclamantdes réparations à Algérie Télécom et ladésignation d'un expert". Le tribunal aaccédé aux requêtes de l'entreprise privéeen faveur de laquelle il a tranché, selon lecommuniqué. Algérie Télécom expliques'être "opposée au contenu de l'expertise etun autre arrêté a été émis par le même tribunalen 2015 ordonnant de vider le jugement rendu en 2013 et soutenant l'expertise réalisée et ordonnant la réalisation d'une expertise complémentaire sur le volet L'expertise complémentaire aété déposée en 2017, selon AT et suite à cela, un jugement a été rendu en faveur de Mobilink et condamnant AT à lui payer "un dédommagement de près de 2,7 milliards de dinars". Algérie Télécom affirme avoir "immédiatement introduit un recours devant la cour de justice d'Alger qui a confirmé le jugement du tribunal d'El- Harrach", le 17 mai 2018. "La cour de justice d'Alger a émis une décision de séquestre de tous les comptes de l'entreprise Algérie Télécom dans toutes les banques, ce qui aurait pu conduire au gel total des activités de l'entreprise, ce qui l'a obligée à exécuter l'arrêté de la cour portant sur le paiement du dédommagement", précise le communiqué. Algérie Télécom "se réserve le droit d'entamer des poursuites judiciaires contre les auteurs ce genre d'informations mensongères et trompeuses",conclut le communiqué. Les informations relayées sur les réseauxsociaux font état d'un procès intenté par lesKouninef contre Algérie Télécom et danslequel l'opérateur public "ne s'est pasconstitué partie civile sur instruction deHouda-Imane Faraoun", ministre de laPoste, des Télécommunications et desTechnologies du numérique. "Ce projetdont l'accord a été signé entre l'entrepriseAlgérie Télécom et la société Mobilink à ladate du 19 octobre 2004, a connu des anomaliesdans l'application de ses clauses, cequi a conduit à un différend entre les deuxcontractants au terme duquel le projet a étéarrêté en 2010", explique AT dans soncommuniqué rendu public hier.L'entreprise Mobilink a "introduit uneplainte judiciaire auprès du tribunal d'El-Harrach, le 18 décembre 2012, réclamantdes réparations à Algérie Télécom et ladésignation d'un expert". Le tribunal aaccédé aux requêtes de l'entreprise privéeen faveur de laquelle il a tranché, selon lecommuniqué. Algérie Télécom expliques'être "opposée au contenu de l'expertise etun autre arrêté a été émis par le même tribunalen 2015 ordonnant de vider le jugement rendu en 2013 et soutenant l'expertise réalisée et ordonnant la réalisation d'une expertise complémentaire sur le volet L'expertise complémentaire aété déposée en 2017, selon AT et suite à cela, un jugement a été rendu en faveur de Mobilink et condamnant AT à lui payer "un dédommagement de près de 2,7 milliards de dinars". Algérie Télécom affirme avoir "immédiatement introduit un recours devant la cour de justice d'Alger qui a confirmé le jugement du tribunal d'El- Harrach", le 17 mai 2018. "La cour de justice d'Alger a émis une décision de séquestre de tous les comptes de l'entreprise Algérie Télécom dans toutes les banques, ce qui aurait pu conduire au gel total des activités de l'entreprise, ce qui l'a obligée à exécuter l'arrêté de la cour portant sur le paiement du dédommagement", précise le communiqué. Algérie Télécom "se réserve le droit d'entamer des poursuites judiciaires contre les auteurs ce genre d'informations mensongères et trompeuses",conclut le communiqué.