L'élection présidentielle annoncée pour le 4 juillet prochain risque de connaitremoult perturbations. En effet, des magistrats viennent d'annoncer leur volonté de nepas superviser ce rendez-vous électoral. L'élection présidentielle annoncée pour le 4 juillet prochain risque de connaitremoult perturbations. En effet, des magistrats viennent d'annoncer leur volonté de nepas superviser ce rendez-vous électoral. L'annonce a été faite, hier, par Merzougui Saâd-Eddine, juged'instruction près la cour de justicede Oued-Souf et porte-parole du Club desmagistrats, une nouvelle organisation syndicalenée dans la foulée du mouvementpopulaire née le 22 février dernier. "Convaincus que le juge est le fils du peupleet son serviteur, qu'il juge en son nomet pour lui et en réponse aux revendicationspopulaires, nous, membres du Clubdes magistrats algériens, avons décidéirrémédiablement de boycotter la supervisiondes élections présidentielles du 4 juillet2019" a en effet indiqué Merzouguilors d'un rassemblement de protestationorganisé conjointement avec l'Unionnationale des ordres des avocats devant leministère de la Justice, à Alger. "Nousrefusons de faire un faux témoignage pourdes élections dont les résultats sontconnus d'avance", a-t-il ajouté. "Nousavons été parmi les premiers et les seuls parmi les hauts fonctionnaires de l'Etat à refuser de superviser les élections du cinquièmemandat et nous sommes les seuls qui avons demandé la démission du président de la République", a-t-il dit. Pour rappel le nouveau chef de l'Etat, Abdelkader Bensalah, a annoncé procéder,mercredi dernier, à la convocation du corps électoral pour la tenue du scrutin présidentiel qui aura lieu donc le 4 juillet prochain. Cette élection fait suite à la démission du président de la République Abdelaziz Bouteflika, intervenue le 2 avril. Ce scrutin, qui fait suite à la désignation de Bensalah au poste de chef de l'Etat, vient donc conséquemment à l'application de l'article 102 de la Constitution. D'ores et déjà le ministère de l'Intérieur a invité les personnes désireuses de se présenter à cette élection à retirer les formulaires pour la collecte des signatures des citoyens ou des élus. En perspective de cette échéance électorale Ali Ghediri a confirmé sa candidature, lui qui était déjà candidat 0au scrutin avortédu 18 avril. L'annonce a été faite, hier, par Merzougui Saâd-Eddine, juged'instruction près la cour de justicede Oued-Souf et porte-parole du Club desmagistrats, une nouvelle organisation syndicalenée dans la foulée du mouvementpopulaire née le 22 février dernier. "Convaincus que le juge est le fils du peupleet son serviteur, qu'il juge en son nomet pour lui et en réponse aux revendicationspopulaires, nous, membres du Clubdes magistrats algériens, avons décidéirrémédiablement de boycotter la supervisiondes élections présidentielles du 4 juillet2019" a en effet indiqué Merzouguilors d'un rassemblement de protestationorganisé conjointement avec l'Unionnationale des ordres des avocats devant leministère de la Justice, à Alger. "Nousrefusons de faire un faux témoignage pourdes élections dont les résultats sontconnus d'avance", a-t-il ajouté. "Nousavons été parmi les premiers et les seuls parmi les hauts fonctionnaires de l'Etat à refuser de superviser les élections du cinquièmemandat et nous sommes les seuls qui avons demandé la démission du président de la République", a-t-il dit. Pour rappel le nouveau chef de l'Etat, Abdelkader Bensalah, a annoncé procéder,mercredi dernier, à la convocation du corps électoral pour la tenue du scrutin présidentiel qui aura lieu donc le 4 juillet prochain. Cette élection fait suite à la démission du président de la République Abdelaziz Bouteflika, intervenue le 2 avril. Ce scrutin, qui fait suite à la désignation de Bensalah au poste de chef de l'Etat, vient donc conséquemment à l'application de l'article 102 de la Constitution. D'ores et déjà le ministère de l'Intérieur a invité les personnes désireuses de se présenter à cette élection à retirer les formulaires pour la collecte des signatures des citoyens ou des élus. En perspective de cette échéance électorale Ali Ghediri a confirmé sa candidature, lui qui était déjà candidat 0au scrutin avortédu 18 avril.