L'ancien Président tunisien, Moncef Merzouki, donne la nette impression d'être parti en croisade contre l'Algérie. Il a multiplié en effet les attaques contre l'Algérie. L'ancien Président tunisien, Moncef Merzouki, donne la nette impression d'être parti en croisade contre l'Algérie. Il a multiplié en effet les attaques contre l'Algérie. Depuis quelques mois, il en a fait même son exercice politique de prédilection. Ces attaques en règle ont poussé, à l'évidence, les observateurs et analystes à s'interroger sur les réelles motivations à l'origine de cette véritable croisade contre l'Algérie. Il y a juste quelques jours, Moncef Merzouki a déclaré que "l'Algérie s'est opposée à la révolution tunisienne et aurait tout fait pour qu'elle ne réussisse pas". Marzouki parle bien sûr de la révolution dite du Jasmin, qui a permis au peuple tunisien de se défaire du dictateur Ben Ali qui a pris la fuite vers l'Arabie saoudite. Des assertions gratuites et sans fondement qui s'inscrivent totalement en porte à faux avec les fondamentaux de la diplomatie algérienne. L'Algérie a de tout temps en effet fait de la politique de non-ingérence dans les affaires internes des autres pays un des piliers de sa diplomatie. Bien évidemment Moncef Merzouki n'avance aucun sérieux argument ou indice pouvant conforter ses accusations. Ce qui ne fait que confirmer son animosité à l'égard de l'Algérie. Et d'ailleurs il n'en est pas à son premier faux pas puisqu'il y a juste quelques mois, il a aussi prouvé de manière sans équivoque sa haine à l'égard de l'Algérie. Evoquant la question du Sahara occidental Merzouki a accusé l'Algérie de "vendre de l'illusion au front Polisario. Le régime algérien a commis un crime envers son peuple, envers l'union magrébine et envers le peuple sahraoui" a-t-il encore estimé dans une déclaration au mois de décembre dernier. Depuis quelques mois, il en a fait même son exercice politique de prédilection. Ces attaques en règle ont poussé, à l'évidence, les observateurs et analystes à s'interroger sur les réelles motivations à l'origine de cette véritable croisade contre l'Algérie. Il y a juste quelques jours, Moncef Merzouki a déclaré que "l'Algérie s'est opposée à la révolution tunisienne et aurait tout fait pour qu'elle ne réussisse pas". Marzouki parle bien sûr de la révolution dite du Jasmin, qui a permis au peuple tunisien de se défaire du dictateur Ben Ali qui a pris la fuite vers l'Arabie saoudite. Des assertions gratuites et sans fondement qui s'inscrivent totalement en porte à faux avec les fondamentaux de la diplomatie algérienne. L'Algérie a de tout temps en effet fait de la politique de non-ingérence dans les affaires internes des autres pays un des piliers de sa diplomatie. Bien évidemment Moncef Merzouki n'avance aucun sérieux argument ou indice pouvant conforter ses accusations. Ce qui ne fait que confirmer son animosité à l'égard de l'Algérie. Et d'ailleurs il n'en est pas à son premier faux pas puisqu'il y a juste quelques mois, il a aussi prouvé de manière sans équivoque sa haine à l'égard de l'Algérie. Evoquant la question du Sahara occidental Merzouki a accusé l'Algérie de "vendre de l'illusion au front Polisario. Le régime algérien a commis un crime envers son peuple, envers l'union magrébine et envers le peuple sahraoui" a-t-il encore estimé dans une déclaration au mois de décembre dernier.