L'Algérie fait face, depuis quelques semaines, à une vague virulente du Covid- 19. L'ensemble des médecins et spécialistes du secteur sanitaire multiplient les mises en garde en tentant de mettre l'accent sur les facteurs les plus importants de propagation. L'Algérie fait face, depuis quelques semaines, à une vague virulente du Covid- 19. L'ensemble des médecins et spécialistes du secteur sanitaire multiplient les mises en garde en tentant de mettre l'accent sur les facteurs les plus importants de propagation. Si les rassemblements des citoyens et le non-respect des mesures barrières, notamment la distanciation physique et le port des masques, constituent le facteur de propagation le plus cité par les spécialistes, d'autres vont jusqu'à évoquer d'autres éléments pouvant également être assez propices pour une contamination au nouveau variant. Intervenant sur les ondes de la radio locale de Sétif, le docteur Abdelbasset Maout, spécialiste en biologie clinique et virologie affirme que les "climatiseurs constituent un facteur propice à la propagation du virus et un bon conducteur de circulation". Par conséquent, le spécialiste préconise "de ne recourir à la climatisation qu'en cas de force majeure, notamment la forte hausse des températures". Il conseille également d'ouvrir les fenêtres et les portes pour l'aération. Dans le même sillage, l'intervenant souligne que le seul moyen efficace pour endiguer la propagation du virus reste le respect des citoyens des mesures barrières et de se faire vacciner. Pour le premier point, il souligne qu'il peut endiguer la propagation en seulement 15 jours. "Il s'agit d'une toute nouvelle vague du même virus" S'exprimant autour de la situation épidémiologique, le docteur Abdelbasset Maoutestime qu'il "ne s'agit pas d'une troisième vague, mais plutôt d'une toute nouvelle vague, d'autant que toutes les tranches d'âges sont exposées au risque de contamination, même ceux qui l'ont été auparavant et même les vaccinés contre le virus". Il explique également que ce qui se passe ces derniers jours est causé par les variants indien et britannique, du moment qu'une personne ne peut pas être contaminée deux fois par le même variant. Selon lui, une "recontamination à un variant freine l'immunité acquise par la première contamination". Cependant, la "recontamination chez la plupart des personnes contaminées auparavant est plutôt légère", a-t-il encore expliqué. Dans le même contexte, il a révélé que "la souche mutée a connu un changement dans le récepteur membranaire du virus. Il n'y a pas eu de changement dans l'information génétique, donc il n'y a pas de place pour parler d'un nouveau virus", a-t-il précisé. Or, en termes d'impact sur la santé publique avec le nombre croissant de personnes infectées, l'invité de Radio Sétif estime qu'on "peut comparer la période actuelle à des situati ns où un nouveau virus apparaît". Si les rassemblements des citoyens et le non-respect des mesures barrières, notamment la distanciation physique et le port des masques, constituent le facteur de propagation le plus cité par les spécialistes, d'autres vont jusqu'à évoquer d'autres éléments pouvant également être assez propices pour une contamination au nouveau variant. Intervenant sur les ondes de la radio locale de Sétif, le docteur Abdelbasset Maout, spécialiste en biologie clinique et virologie affirme que les "climatiseurs constituent un facteur propice à la propagation du virus et un bon conducteur de circulation". Par conséquent, le spécialiste préconise "de ne recourir à la climatisation qu'en cas de force majeure, notamment la forte hausse des températures". Il conseille également d'ouvrir les fenêtres et les portes pour l'aération. Dans le même sillage, l'intervenant souligne que le seul moyen efficace pour endiguer la propagation du virus reste le respect des citoyens des mesures barrières et de se faire vacciner. Pour le premier point, il souligne qu'il peut endiguer la propagation en seulement 15 jours. "Il s'agit d'une toute nouvelle vague du même virus" S'exprimant autour de la situation épidémiologique, le docteur Abdelbasset Maoutestime qu'il "ne s'agit pas d'une troisième vague, mais plutôt d'une toute nouvelle vague, d'autant que toutes les tranches d'âges sont exposées au risque de contamination, même ceux qui l'ont été auparavant et même les vaccinés contre le virus". Il explique également que ce qui se passe ces derniers jours est causé par les variants indien et britannique, du moment qu'une personne ne peut pas être contaminée deux fois par le même variant. Selon lui, une "recontamination à un variant freine l'immunité acquise par la première contamination". Cependant, la "recontamination chez la plupart des personnes contaminées auparavant est plutôt légère", a-t-il encore expliqué. Dans le même contexte, il a révélé que "la souche mutée a connu un changement dans le récepteur membranaire du virus. Il n'y a pas eu de changement dans l'information génétique, donc il n'y a pas de place pour parler d'un nouveau virus", a-t-il précisé. Or, en termes d'impact sur la santé publique avec le nombre croissant de personnes infectées, l'invité de Radio Sétif estime qu'on "peut comparer la période actuelle à des situati ns où un nouveau virus apparaît".