La flambée des prix, sans précédent, s'est emparée depuis déjà un bon bout de temps et ne semble pas connaître de répit, donnant le tournis aux ménagères. Une hausse des prix qui affaiblit davantage le pouvoir d'achat des Algériens, confrontés à une inflation galopante. La flambée des prix, sans précédent, s'est emparée depuis déjà un bon bout de temps et ne semble pas connaître de répit, donnant le tournis aux ménagères. Une hausse des prix qui affaiblit davantage le pouvoir d'achat des Algériens, confrontés à une inflation galopante. L'Union générale des commerçants et artisans d'Algérie (UGCAA) s'attend dans les prochains jours, à ce que cette tendance haussière s'accentue. Remettant en cause la politique du « bricolage » menée par le département de Kamel Rezig. Une simple virée au niveau de quelques marchés confirme ce constat. Sur les étals des marchés, la carotte est proposée à 120 dinars, la tomate à 130 dinars et la courgette à 150 dinars. Le poivron, le piment et la laitue s'accordent sur le même prix de 200 dinars. Le kilo de haricot vert est cédé entre 200 et 250 dinars. La pomme de terre a carrément pris des ailes, son prix oscille entre 95 et 100 dinars. À ce rythme, le tubercule risque de reproduire l'épisode du mois de Ramadhan dernier, durant lequel son prix avait atteint 150 dinars le kilogramme. La hausse des prix ne s'est pas limitée aux légumes. Elle a également affecté les fruits dont les prix sont déjà exagérés en temps normal. Sur les étals des marchés et des épiceries, le prix du raisin oscille entre 250 et 400 dinars le kilogramme. La figue est affichée entre 300 et 350 dinars, la pomme entre 200 et 300 dinars et la poire entre 250 et 450 dinars. La banane, elle, est cédée à 290 dinars. Face à cette situation, les pères de famille ne savent plus à quel ciel se vouer. Ils affichent unanimement leur mécontentement face à ces pratiques d'un autre temps. Devant la cherté de ces produits qui ne sont même pas à la portée ni des bourses moyennes, encore moins de celles dela couche démunie, les consommateur optent pour un système « D », une autre option d'achat sans pour autant affecter leurs portefeuilles. Une situation qui en dit trop sur la « survie » des citoyens à faible revenus et surtout dans un contexte où les inégalités se creusent, où l'individualisme, renforcé par l'insécurité d'existence. Tout le monde s'interroge où sont passés les pouvoirs publics ? Ne répondant à aucune logique du marché, ces hausses de prix trouvent toujours des justificatifs auprès des responsables et surtout des marchands. Pour l'Union générale des commerçants et artisans d'Algérie (UGCAA), « ce sont les marchands informels qui provoquent la hausse des prix de ces produits », assure son secrétaire général et porteparole, Hazab Benchohra, avant de préciser que 60% des commerçants exerçant actuellement sont illicites. Benchohra, dénonce à cet effet, les « réactions » du département du commerce qui, selon lui, s'attaque au maillon faible de la chaîne au lieu de se concentrer sur l'origine du mal. « On s'en prend aux commerçants de détail et on leur exige la facture, alors que la facturation doit être généralisée à tous les niveaux, à commencer par le tout premier maillon de la chaîne pas au tout dernier », explique-t-il. L'Union générale des commerçants et artisans d'Algérie (UGCAA) s'attend dans les prochains jours, à ce que cette tendance haussière s'accentue. Remettant en cause la politique du « bricolage » menée par le département de Kamel Rezig. Une simple virée au niveau de quelques marchés confirme ce constat. Sur les étals des marchés, la carotte est proposée à 120 dinars, la tomate à 130 dinars et la courgette à 150 dinars. Le poivron, le piment et la laitue s'accordent sur le même prix de 200 dinars. Le kilo de haricot vert est cédé entre 200 et 250 dinars. La pomme de terre a carrément pris des ailes, son prix oscille entre 95 et 100 dinars. À ce rythme, le tubercule risque de reproduire l'épisode du mois de Ramadhan dernier, durant lequel son prix avait atteint 150 dinars le kilogramme. La hausse des prix ne s'est pas limitée aux légumes. Elle a également affecté les fruits dont les prix sont déjà exagérés en temps normal. Sur les étals des marchés et des épiceries, le prix du raisin oscille entre 250 et 400 dinars le kilogramme. La figue est affichée entre 300 et 350 dinars, la pomme entre 200 et 300 dinars et la poire entre 250 et 450 dinars. La banane, elle, est cédée à 290 dinars. Face à cette situation, les pères de famille ne savent plus à quel ciel se vouer. Ils affichent unanimement leur mécontentement face à ces pratiques d'un autre temps. Devant la cherté de ces produits qui ne sont même pas à la portée ni des bourses moyennes, encore moins de celles dela couche démunie, les consommateur optent pour un système « D », une autre option d'achat sans pour autant affecter leurs portefeuilles. Une situation qui en dit trop sur la « survie » des citoyens à faible revenus et surtout dans un contexte où les inégalités se creusent, où l'individualisme, renforcé par l'insécurité d'existence. Tout le monde s'interroge où sont passés les pouvoirs publics ? Ne répondant à aucune logique du marché, ces hausses de prix trouvent toujours des justificatifs auprès des responsables et surtout des marchands. Pour l'Union générale des commerçants et artisans d'Algérie (UGCAA), « ce sont les marchands informels qui provoquent la hausse des prix de ces produits », assure son secrétaire général et porteparole, Hazab Benchohra, avant de préciser que 60% des commerçants exerçant actuellement sont illicites. Benchohra, dénonce à cet effet, les « réactions » du département du commerce qui, selon lui, s'attaque au maillon faible de la chaîne au lieu de se concentrer sur l'origine du mal. « On s'en prend aux commerçants de détail et on leur exige la facture, alors que la facturation doit être généralisée à tous les niveaux, à commencer par le tout premier maillon de la chaîne pas au tout dernier », explique-t-il.