L'Est du pays a particulièrement été touché. La température avait atteint les 40 degrés. Ce n'est toutefois pas le seul facteur responsable du déclenchement des foyers d'incendies venus à bout de 200 hectares d'orge et de blé dans cette région. L'Est du pays a particulièrement été touché. La température avait atteint les 40 degrés. Ce n'est toutefois pas le seul facteur responsable du déclenchement des foyers d'incendies venus à bout de 200 hectares d'orge et de blé dans cette région. Comme une tradition, les feux de forêts et autres incendies ont encore fait leur apparition ces dernières semaines à l'approche des grandes chaleurs. L'est du pays a particulièrement été touché. La température avait atteint les 40 degrés. Ce n'est toutefois pas le seul facteur responsable de déclenchement des foyers d'incendies venus à bout de 200 hectares d'orge et de blé dans cette région, selon la Gendarmerie nationale, qui a enregistré durant seulement la période allant du 9 au 15 de ce mois, 21 foyers ayant parcouru une superficie totale de 34,54 ha, dont 16 ha en forêt, soit 3 foyers par jour. Bien que l'étendue de ces foyers soit moindre que celle de l'année dernière, le risque demeure grand au regard de leur nombre et des dégâts qu'ils ont causés, surtout quand il s'agit de récoltes. Selon toujours le premier bilan dressé par les services de la Gendarmerie nationale, les cultures les plus exposées restent celles des céréales. A l'extrême est du pays, il a été enregistré lundi dernier la perte de 101 hectares de blé et d'orge, dans des champs appartenant à cinq agriculteurs dans les mechtas de la commune de Merahna, wilaya de Souk-Ahras. Un autre incendie s'est déclaré le même jour dans des champs agricoles dans la commune de Telaghma, ravageant soixante hectares de blé. L'origine de ces deux incendies demeure «indéterminée». La wilaya de Oum El-Bouaghi a, comme chaque année, eu, en ce début d'été, son lot de sinistres. Trente-cinq hectares d'orge et de blé ont été la proie des flammes, à cause d'une étincelle provenant du moteur d'une moissonneuse batteuse. Biskra et Batna n'ont pas échappé, elles non plus, aux langues des flammes, accusant une perte de 30 hectares de céréales à Batna ainsi que d'une cinquantaine d'hectares de pin. Biskra, quant à elle, a été touchée dans sa ressource principale, où pas moins de 220 palmiers ont été détruits par des feux dont l'origine reste douteuse, selon la gendarmerie, qui a ouvert une enquête. Ainsi, environ 4.000 palmiers disparaissent chaque année dans cette région en raison du procédé d'incinération anarchique des herbes sèches. A Telaghma, également, la gendarmerie planche sur l'origine du feu qui a ravagé 60 ha de blé en début de cette semaine. La vigilance des éléments de la Protection civile tout au long de cette semaine a permis d'éviter le pire en cette période estivale et ce, en termes de feux de forêts. Cinq importants départs d'incendies de forêts avaient été rapidement maîtrisés dans la localité d'El-Bouni et dans les zones boisées de Sidi-Aïssa et Sidi-Achour ainsi que sur la route menant à Seraïdi, dans la wilaya d'Annaba. Selon le bilan officiel, 34,54 ha dont 16 ha de forêts ont été ravagés par le feu. Comme une tradition, les feux de forêts et autres incendies ont encore fait leur apparition ces dernières semaines à l'approche des grandes chaleurs. L'est du pays a particulièrement été touché. La température avait atteint les 40 degrés. Ce n'est toutefois pas le seul facteur responsable de déclenchement des foyers d'incendies venus à bout de 200 hectares d'orge et de blé dans cette région, selon la Gendarmerie nationale, qui a enregistré durant seulement la période allant du 9 au 15 de ce mois, 21 foyers ayant parcouru une superficie totale de 34,54 ha, dont 16 ha en forêt, soit 3 foyers par jour. Bien que l'étendue de ces foyers soit moindre que celle de l'année dernière, le risque demeure grand au regard de leur nombre et des dégâts qu'ils ont causés, surtout quand il s'agit de récoltes. Selon toujours le premier bilan dressé par les services de la Gendarmerie nationale, les cultures les plus exposées restent celles des céréales. A l'extrême est du pays, il a été enregistré lundi dernier la perte de 101 hectares de blé et d'orge, dans des champs appartenant à cinq agriculteurs dans les mechtas de la commune de Merahna, wilaya de Souk-Ahras. Un autre incendie s'est déclaré le même jour dans des champs agricoles dans la commune de Telaghma, ravageant soixante hectares de blé. L'origine de ces deux incendies demeure «indéterminée». La wilaya de Oum El-Bouaghi a, comme chaque année, eu, en ce début d'été, son lot de sinistres. Trente-cinq hectares d'orge et de blé ont été la proie des flammes, à cause d'une étincelle provenant du moteur d'une moissonneuse batteuse. Biskra et Batna n'ont pas échappé, elles non plus, aux langues des flammes, accusant une perte de 30 hectares de céréales à Batna ainsi que d'une cinquantaine d'hectares de pin. Biskra, quant à elle, a été touchée dans sa ressource principale, où pas moins de 220 palmiers ont été détruits par des feux dont l'origine reste douteuse, selon la gendarmerie, qui a ouvert une enquête. Ainsi, environ 4.000 palmiers disparaissent chaque année dans cette région en raison du procédé d'incinération anarchique des herbes sèches. A Telaghma, également, la gendarmerie planche sur l'origine du feu qui a ravagé 60 ha de blé en début de cette semaine. La vigilance des éléments de la Protection civile tout au long de cette semaine a permis d'éviter le pire en cette période estivale et ce, en termes de feux de forêts. Cinq importants départs d'incendies de forêts avaient été rapidement maîtrisés dans la localité d'El-Bouni et dans les zones boisées de Sidi-Aïssa et Sidi-Achour ainsi que sur la route menant à Seraïdi, dans la wilaya d'Annaba. Selon le bilan officiel, 34,54 ha dont 16 ha de forêts ont été ravagés par le feu.